🦄 La Sécurité Est L Affaire De Tous

Objectif: zéro accident responsable . Conducteurs, opérateurs de maintenance, managers la sécurité est l’affaire de tous. Et parce que la sécurité repose avant tout sur les compétences de nos collaborateurs, nous proposons des formations et des conférences sur plusieurs thématiques : sécurité de l'exploitation, sécurité sanitaire, risques voyageurs,
"La sécurité n'est pas une compétence de la Région, mais la région peut co-produire de la sécurité", estime ce lundi matin Cyril Hemardinquer, têter de liste du Rassemblement National dans le Loiret aux élections régionales et par ailleurs candidat aux élections départementales sur le canton de Courtenay. Le syndicaliste policier, en poste dans les Yvelines, en fait son axe de campagne. Il était l'invité de France Bleu Orléans. Les élections départementales tout d'abord zéro élu pour le Rassemblement National en 2015. Vous pensez réussir à faire mieux cette fois ci? En tout cas, je l'espère. J'ai grand espoir de faire mieux. Le climat politique nous est quand même assez favorable. Il faut savoir qu'on avait des cantons qui avaient dépassé la barre des 40% en 2015. J'espère qu'avec l'évolution politique actuelle, la dictature d'En Marche, le "ni gauche ni droite" de nos partis centristes et l'ensemble de l'échiquier politique, nous devrions arriver à réveiller les Français et à les amener à réaliser que le Rassemblement National est la meilleure option pour eux, sur tous les scrutins. Une dictature d'En Marche qui vous permet tout de même d'être candidat à ces élections. Vous êtes d'ailleurs candidat sur le canton de Courtenay, l'un des cantons où le Rassemblement National a fait le plus gros score en 2015. Vous vous dites, "je ne prends pas de risque" ? Non du tout. Déjà, rien n'est acquis en politique. On ne peut pas aller sur un canton et se dire qu'on ne prend pas de risque. Prendre Courtenay, même pour moi est un gros risque puisque c'est le canton qui avait fait le meilleur résultat la dernière fois, et si je ne le fais pas basculer ce coup-ci, ce sera un échec qu'il faudra que j'assume personnellement. Cela veut dire quoi ? Si vous n'êtes pas élu Courtenay, vous quittez la tête du Rassemblement National dans le Loiret ? Non, absolument pas. Le Loiret ne se résume pas au canton de Courtenay. C'est juste que j'ai un engagement vis-à-vis de mes militants. J'ai un engagement vis-à-vis de mes sympatisants et de tous les Français qui votent Rassemblement National et donc je dois atteindre mes objectifs. Pour moi, l'échec n'est pas d'une option. Si jamais j'ai, j'étais en échec, bien évidemment, il faudra rebondir pour continuer à aller de l'avant avant. Nous avons l'élection présidentielle en 2022, c'est quand même une étape décisive pour le pays et nous oeuvrerons en ce sens par la suite. Le Rassemblement national a du mal à fidéliser dans le Loiret. Sur les 42 candidats présentés pour les départementales, seuls quatre étaient déjà présents en 2015. Ça vient d'où ? C'est un problème d'image, de réussir à tenir dans le temps? Non, du tout, c'est un problème de turn-over des personnes. Dans un de vos articles, là, il était écrit que j'avais réussi à boucler tous les cantons, non sans mal. C'est tout à fait faux. Il faut savoir que j'avais un grand panel de candidats. Nous avons pu les choisir. Nous avons pu faire face aux éventuelles défections de dernière minute. Nous avons déposé la liste de nos 21 cantons le premier jour où c'était possible à la préfecture, je n'ai eu aucun mal à trouver des candidats. C'est vrai que le dernier article qui a été fait par France Bleu indique que j'ai des couples chez moi. Je ne savais pas que c'était interdit en politique d'avoir les deux qui s'engagent en politique. C'est une nouveauté. Vous savez, quand on s'engage en politique, très souvent, c'est très chronophage, et si la famille ne suit pas ou n'adhère pas au projet, c'est très compliqué. Ce qui explique pourquoi nous avons tant de couples représentés. Vous êtes donc tête de liste pour les élections régionales dans le Loiret. Un policier en tête de liste, ça annonce la couleur la sécurité, pincipal axe de campagne du Rassemblement National ? Tout à fait. La sécurité, c'est un problème essentiel en France aujourd'hui. La sécurité, c'est aussi l'affaire de tous et on ne voit pas pourquoi ça ne serait pas l'affaire des régions. Les Régions n'ont pas vraiment la main sur la sécurité. Ce n'est pas la Région qui décide du nombre de policiers municipaux ou de policiers nationaux dans nos rues. La sécurité n'est pas une compétence de la Région, mais la région peut co-produire de la sécurité comme cela s'est déjà vu notamment en région Île-de-France, par exemple. La Région, peut subventionner ou du moins cofinancer et aider les mairies à obtenir des budgets plus conséquents pour recruter des policiers municipaux. La région a certains leviers pour pouvoir amener plus de sécurité, notamment dans les transports. Elle peut être un acteur vraiment très important et nous avons plusieurs expérimentations en termes de sécurité que nous souhaiterions mettre en place dans la région Centre-Val de Loire. Vous êtes donc policier dans les Yvelines, élu au conseil municipal à Maintenon, en Eure et Loir, candidat aux départementales dans le Loiret, tête de liste aux régionales pour le Loiret. Ce département, c'est une étape parmi d'autres ? Non, le Loiret, c'est ma nouvelle destination. Initialement, j'aurais dû m'installer dans le Loiret cette année, à cause de la Covid, tout a pris un petit peu de retard. Je suis aussi contraint par la profession de mon épouse, donc, pour l'instant, je suis toujours physiquement sur Maintenon. J'ai assumé mon mandat de conseiller municipal qui est un mandat totalement bénévole, où je siège dans huit commissions qui ne me rapportent absolument rien, je fais ça vraiment parce que je me suis engagé auprès des gens qui m'ont élu. Quand je serai sur le Loiret et que je passerai la main à ma seconde de liste, elle continuera l'engagement du Rassemblement National sur place. Cest accompagné de ce leitmotiv que le Bureau de sécurité aérienne de l’état-major de l’armée de l’Air (EMAA) a organisé, à Balard, le séminaire de sécurité aérienne de haut niveau, les 25 et 26 mai derniers, ouvert par l’inspecteur général des armées-Air et présidé par le général Philippe Lavigne, chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace
Chaque année, le 7 juin, se tient la Journée mondiale de la sécurité alimentaire pour souligner l'importance de la sécurité alimentaire dans la réalisation du Programme 2030. ©Eleonora Grunge/ 06/06/2019Sans un accès universel à une alimentation saine, nous ne pourrons pas réaliser les objectifs du Programme 2030. On estime que 600 millions de personnes tombent malades chaque année en mangeant des aliments contaminés par des bactéries, des virus, des toxines ou des produits chimiques - et 420 000 d'entre elles en meurent. Lorsque la nourriture n'est pas saine, les enfants ne peuvent pas apprendre et les adultes ne peuvent pas travailler. En d'autres termes, le manque d'accès à des aliments sains entrave le développement humain. Pour souligner le rôle crucial de la sécurité sanitaire des aliments dans la promotion de la santé et l'élimination de la faim, la Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments est célébrée chaque année le 7 juin. Son but est d'attirer l'attention et d'inspirer des actions pour aider à prévenir, détecter et gérer les risques d'origine alimentaire, contribuant ainsi à la sécurité alimentaire, la santé humaine, la prospérité économique, l'agriculture, au tourisme, au développement durable et permettant l’accès aux marchés. Si vous produisez, transformez, vendez ou préparez des aliments, vous avez un rôle à jouer dans leur salubrité. Voici cinq façons de faire la différence en matière de sécurité sanitaire des aliments 1. S'assurer que la nourriture est saine Les gouvernements ont un rôle essentiel à jouer pour garantir que les aliments sont sûrs et nutritifs pour tous. Et ils ont de bonnes raisons de le faire selon la Banque mondiale, les aliments dangereux coûtent - à eux seuls - aux économies à revenu faible et moyen environ 95 milliards de dollars EU en perte de productivité annuelle. Pour aider à réduire ce chiffre, les décideurs peuvent promouvoir des systèmes agricoles et alimentaires durables, en encourageant la collaboration entre les secteurs de la santé publique, de la santé animale, de l'agriculture et autres. Les pays peuvent également se conformer aux normes internationales établies par la Commission du Codex Alimentarius. 2. Cultiver des aliments en toute sécurité Pour garantir un approvisionnement suffisant en denrées alimentaires sûres au niveau mondial tout en minimisant leur impact environnemental et en s'adaptant au changement climatique, les producteurs de denrées alimentaires doivent adopter de bonnes pratiques. Au fur et à mesure que les systèmes de production alimentaire se transforment et s'adaptent aux conditions changeantes, les agriculteurs doivent étudier soigneusement les meilleurs moyens de faire face aux risques potentiels et de s'assurer de la salubrité des aliments. Prendre en compte la santé des plantes et des animaux, par exemple, peut contribuer à combattre la résistance aux antimicrobiens et à réduire ce chiffre de 700 000 personnes qui meurent chaque année dans le monde d'infections résistantes aux antimicrobiens. La sécurité sanitaire des aliments doit être assurée à chaque étape de la chaîne de valeur - du producteur au consommateur, en passant par le vendeur. A gauche ©Edmund Lowe Photography/ A droite ©Dusan Petkovic/ 3. Préserver la salubrité des aliments Pour les exploitants d'entreprises, les contrôles préventifs peuvent résoudre la plupart des problèmes de sécurité alimentaire. Tous ceux qui participent aux opérations alimentaires - de la transformation à la vente au détail - doivent s'assurer du respect de programmes tels que le Système d’analyse des risques – points critiques pour leur maîtrise HACCP, qui identifie, évalue et maîtrise les risques importants pour la sécurité sanitaire des aliments. En plus de réduire les risques de maladie, les bonnes pratiques de transformation, de stockage et de conservation peuvent également permettre de réduire les pertes après récolte et aider à préserver la valeur nutritionnelle des aliments. Elles permettent aussi aux entreprises de maximiser leur participation à un commerce alimentaire mondial de 1,6 trillion de dollars EU. 4. Vérifier la salubrité des aliments Les consommateurs ont le pouvoir d'exiger des aliments sûrs et sains. Vu la complexité de la sécurité sanitaire des aliments, les consommateurs doivent avoir accès en temps opportun à des renseignements clairs et fiables sur les risques nutritionnels et les risques de maladie associés à leurs choix alimentaires. Investir dans l’éducation des consommateurs à la sécurité sanitaire des aliments peut permettre de réduire les maladies d'origine alimentaire et de réaliser des économies allant jusqu'à dix fois chaque dollar investi. Les consommateurs doivent avoir la capacité de faire, pour eux-mêmes, des choix alimentaires sains et pour la planète, de soutenir des systèmes alimentaires durables. 5. Soutenir ensemble la sécurité sanitaire des aliments En fin de compte, la sécurité sanitaire des aliments est une responsabilité partagée. Les gouvernements, les organismes économiques régionaux, les organisations des Nations Unies, les agences de développement, les organisations commerciales, les groupes de consommateurs et de producteurs, les institutions universitaires et de recherche et les entités du secteur privé doivent travailler ensemble sur ces questions qui nous concernent tous. La collaboration est nécessaire à l'échelle mondiale, régionale et locale - entre les secteurs au sein d'un gouvernement et au-delà des frontières - pour lutter contre les épidémies de maladies d'origine alimentaire dans le monde. La sécurité sanitaire des aliments est essentielle pour promouvoir la santé et éradiquer la faim. Elle pourrait sauver chaque année la vie de 420 000 personnes. ©WAYHOME studio/ La salubrité des aliments est essentielle, non seulement pour améliorer la santé et la sécurité alimentaire, mais aussi pour préserver les moyens d’existence, le développement économique, le commerce et la réputation internationale de chaque pays. Les maladies d'origine alimentaire entravent le développement socio-économique en mettant à rude épreuve les systèmes de santé et en nuisant aux économies nationales, au tourisme et au commerce. Un monde FaimZéro ne peut être atteint que si les aliments consommés sont sans danger. A l’occasion de cette Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments, soyons, comme chaque jour, reconnaissants pour la salubrité de nos aliments et prenons des mesures pour nous assurer que la sécurité alimentaire est bien l'affaire de tous. Pour en savoir plus Site web Les normes alimentaires internationales du Codex Alimentarius Site web La FAO et la sécurité sanitaire des aliments Site web Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments en anglais Récit L'avenir de l'alimentation FutureofFood dépend de l'avenir de la sécurité alimentaire Récit Si c’est nocif, ce n’est pas un aliment Récit Codex Alimentarius protéger la santé, faciliter le commerce
Lasécurité routière est ce corps de règles et services établis dans le but de garantir la sécurité des usagers de la route. Il est important de savoir que les usagers de la route ne sont pas que les personnes se déplaçant à l’aide d’un engin. Les piétons aussi font partie des usagers de la route. C’est donc tout le monde qui
La sécurité, c`est l`affaire de tous n°21 PAGES SPÉCIALES Congrès Nantes 2012 ........................................... 7 > 11 Nouveau bureau exécutif ........................................................... 4 Infos congrès Beaune et régions ............................................. 5 PARTENARIATS AVEC L’ASTEE et L’AFE . ................................... 12 > 14 COLLOQUE AMF-ATTF NANTES 2012 Prévention des risques professionnels Les échanges ont été animés par Bruno LEPRAT, journaliste, et placés sous la présidence de Jacques PELISSARD président de l’Association des Maires de France excusé et représenté par Yves METAIREAU qui souligne l’intérêt du partenariat. Ce colloque a été l’occasion de nombreux et enrichissants échanges constructifs entre participants et intervenants. Ils ont, tant pour les élus que pour les techniciens contribué à la qualité de la séance. En ouverture Dominique MICHEL et Yves METAIREAU remercient les participants et mettent en exergue la nécessaire complémentarité entre les techniciens et les élus pour ce véritable enjeu que représente la mise en place d’une politique d’hygiène et de sécurité. Partenariats Colloque Nantes 2012 Retour sur le 44è congrès Infos congrès Bureau exécutif Édito Dominique MICHEL souligne que le couple technicien / élu doit permettre d’améliorer les situations. Ce colloque prolongeant les actions communes - se propose de faire le point sur les connaissances indispensables, les pistes d’actions envisageables et de prendre en compte l’expérience acquise, tant par les élus que par les techniciens - souvent agents de prévention et interfaces au quotidien entre les uns et les autres - les contraintes règlementaires mais aussi morales» et développer ainsi une ambiance porteuse de synergie de progrès dans nos collectivités. Collectivités responsabilité exposée ? Bruno Leprat Yves Métaireau Trois sortes de prévention Yves Métaireau, maire de La Baule, décrit les types de prévention recensés par l’organisation mondiale de la santé OMS > la prévention dite primaire», qui comprend tous les actes destinés à réduire les risques avant apparition et avant constat d’éventuelles conséquences. Cette prévention a pour but d’éliminer les risques à la source». > la prévention secondaire» qui, elle, comprend les actes destinés au dépistage des maladies en lien avec le travail, de préférence avant qu’elles ne se déclarent. Cette prévention veut aider les agents à faire face à l’exposition aux risques. Par exemple à La Baule, dans le cadre de notre réflexion sur le bien être et pour lutter contre les RPS en particulier, une assistance téléphonique psychologique» a été ouverte 24 h/24 pour écouter les agents sur le plan professionnel ou personnel». > la prévention tertiaire», enfin, qui comprend tous les actes destinés à limiter les effets des maladies professionnelles installées, à prévenir les rechutes» et à favoriser la réinsertion des salariés. Ce type de prévention est curatif, indique Yves Métaireau. Elle doit réduire et compenser les troubles dus à des risques que l’on n’a pas su ou pu éviter». Premier à ouvrir la réflexion, Luc Brunet, juriste à l’Observatoire SMACL des risques territoriaux, a indiqué que si la sécurité devait être considérée comme une priorité» dans les collectivités, leurs élus et managers devraient accepter qu’elle ait un coût formation des agents, matériel aux normes, organisation optimale du travail,etc». Il a ensuite signalé que la sécurité devait primer sur toute considération y compris les exigences de service public». À l’appui de son propos, une décision de tribunal correctionnel du 17 janvier 2004, jugeant que le principe de continuité de service public, mis en avant par une collectivité pour se défendre après la mort d’un de ses rippeurs lors d’une manœuvre de camion dans une impasse, n’implique pas que le service de ramassage soit assuré à la porte de chaque habitation et n’interdit pas que des regroupements soient aménagés». Après l’accident, a commenté Luc Brunet, la collectivité a ainsi décidé de ne plus desservir l’impasse et imposé aux usagers un point de ramassage au début de la rue». Enfin le juriste a recommandé aux collectivités, afin de ne pas voir leur responsabilité exposée, d’être intransigeantes» sur le respect des consignes de sécurité. L’employeur est tenu à une obligation de résultat. C’est dire qu’il doit fournir aux agents un matériel adapté et diffuser les consignes mais aussi s’assurer de leur effectivité». Et d’ajouter Si un agent ne met pas les équipements de sécurité à disposition, il doit être sanctionné. En cas d’accident, la collectivité pourra se retourner contre lui». Il conclut avec une recommandation préciser aux agents le Qui fait quoi» et le Qui est responsable de quoi». Cela nécessite de rédiger les procédures - et sortir de la culture de l’oral». Cela signifie aussi que la dimension sécurité» doit être intégrée dans les fiches de poste pour responsabiliser les acteurs». 8 Lettre T - numéro 21 - janv. fév. mars 2013 L’ATTF adresse ses remerciements à tous ceux qui ont permis la réussite de ces journées, et en particulier aux animateurs et intervenants. Dominique MICHEL et Jean Paul TRUFFY les intervenants Dominique MICHEL Président de l’ATTF Yves METAIREAU Président de l’association des maires 44, maire de LA BAULE Luc BRUNETSMACL-Assurances Xavier SEGUETTECentre de gestion 44 Johan LEONIDEGroupama Gisèle GOYAC Maire adjointe VERTOU Laurent BERNARD Agent de prévention VERTOU Propos recueillis par Bruno Leprat La sécurité, c’est l’affaire de tous !» Luc Brunet Édito Bureau exécutif Infos congrès Retour sur le 44è congrès Colloque Nantes 2012 Partenariats Xavier Seguette Technicien préventeur au CDG 44, Xavier Seguette a quant à lui, indiqué que la prise de conscience est l’étape qui déclenche actions et formations». Et d’expliquer ce paradoxe un accident grave est souvent déclencheur d’actions, or les collectivités sont sensées intervenir en amont pour que l’accident n’arrive pas, et c’est souvent parce qu’il est arrivé que l’on nous demande d’intervenir». Le préventeur suggère que cette prise de conscience soit collective». La sécurité est l’affaire de tous !» sachant que du salarié à l’élu, chaque strate est impliquée, l’autorité territoriale disposant en outre, de ressources ayant une mission spécifique assistants et conseillers de prévention, agents chargés de missions d’inspection, membres du CT/CHSCT, médecin - et à l’extérieur, du CDG bien sûr». Comment articuler ces compétences ? Xavier Seguette propose que l’autorité territoriale impulse et affiche clairement» sa volonté - cela sera plus efficace que le discours d’un agent qui se débat pour sensibiliser ses collègues» - et qu’une structure soit dédiée, outillée du document unique pierre angulaire de toute démarche», afin que la prévention reste un domaine dynamique parcouru de démarches et de projets». Le représentant du CDG, enfin, a décrit les effets d’un accident Tout le monde est perdant. La victime, qui souffre de douleurs, d’un trauma psychologique ou de handicaps de la vie courante ; les collègues, qui sont désorientés par l’événement, et lors de l’absence de l’agent, doivent faire son travail, ou accueillir un remplaçant ; la collectivité, qui est confrontée à des réorganisations dans un contexte tendu, au coût de l’affaire, voire à des suites juridiques, des frais d’avocat, une médiatisation négative, etc». Johan Léonide Pragmatique, Xavier Seguette conclut en précisant que si la prévention est urgente» à diffuser plus amplement dans la FPT, elle prend du temps pour que les agents comprennent l’intérêt d’appliquer ces démarches. Il faut donc ne pas être trop ambitieux, et y aller pas à pas» les agents y adhéreront d’autant plus facilement». Le document unique outil clé» de la prévention Johan Léonide, ingénieur prévention chez Groupama, a souligné, lors d’un point sur le document unique que c’est l’ outil clé» de la prévention, la criticité du sujet. Aujourd’hui, au regard du contexte, réglementaire d’une part, économique et social réduction des coûts et des effectifs dans la FPT, vieillissement des agents, etc. d’autre part, les questions de santé et sécurité au travail deviennent un sujet d’actualité ; je les décris même comme primordiales, tant en matière de préservation des ressources humaines» que comme levier d’amélioration des conditions de travail». Pourtant les collectivités peinent à se lancer dans des démarches construites et suivies. Johan Léonide estime nécessaire d’expliquer aux élus qu’ils ne sont pas seuls. Une démarche demande des initiateurs, du temps et des compétences. Mais les collectivités ont des alliés ! Elles sont entourées d’acteurs qui peuvent les aider et accompagner les CDG, le CNFPT, le Fond national de Prévention, mais aussi les assureurs ou des prestataires spécialisés ergonomes, consultants en management, psychologues du travail et experts des RPS, etc. Ces profils doivent être bien choisis. Un préventeur interne est un catalyseur» et son implication doit être forte pour faire passer les messages». Il préfère toutefois élargir son propos Un autre facteur est capital à mes yeux c’est l’implication. Elle est indispensable, du niveau le plus haut de l’autorité territoriale pour ancrer» les actions dans les objectifs de la collectivité aux agents qui vivent les risques au quotidien, et sont les mieux positionnés pour donner le point de vue opérationnel». Johan Léonide pointe pour finir l’importance des régulateurs d’une démarche préventive au sein des collectivités les ACMO, devenus assistants et conseillers de prévention» par un décret de février 2012. 9 Lettre T - numéro 21 - janv. fév. mars 2013 prévention des risques professionnels Expérience/Témoignage collectivité La ville de Vertou [22 000 habitants] se situe à quelques km de Nantes au sud ouest de l’agglomération et emploie 300 employés environ Parole d’élue > Gisèle Goyac Partenariats Colloque Nantes 2012 Retour sur le 44è congrès Infos congrès Bureau exécutif Édito Il s’agit d’un enjeu humain» Pourquoi défendre en interne ces postes d’assistants de prévention ex-ACMO, à l’heure où chaque collectivité s’interroge sur le meilleur emploi possible de ses ressources humaines ? Mais c’est la loi - et une bonne loi ! Depuis 2004, Vertou a deux agents assistants de prévention, et leur rôle est essentiel ; il est celui d’être à l’interface entre tous les rouages de la collectivité les élus, la direction générale, les encadrants, le service des ressources humaines et les agents. Ils sensibilisent à la problématique de la sécurité, donc à celle de la santé. J’apprécie leur vigilance pour explorer les causes des accidents, afin qu’ils ne se renouvellent pas, et en anticiper d’autres. De cette vigilance et de leurs analyses dépen- dent des aménagements de postes, des achats d’équipements ou la remise en cause de notre organisation auxquels je consens très volontiers. Quel message êtes-vous venue passer» aux techniciens territoriaux et à vos collègues élus présents à Nantes ? Je voulais témoigner de l’importance de ces questions de sécurité, afin qu’elles entrent ou perdurent dans les préoccupations des employeurs publics territoriaux. Il s’agit d’un enjeu humain, afin de prévenir les risques de tous genres, comportementaux et psycho-sociaux en particulier qui sont un genre croissant. Mais cette préoccupation sécuritaire» comporte aussi un enjeu financier. Moins d’accidents, cela se traduit sur l’absentéisme, donc sur l’efficience de notre collectivité - et en cela, cette préoccupation interne rejoint la gestion intelligente des fonds publics que nous devons à nos concitoyens. De quelle action passée ou de quel chantier en cours êtes-vous la plus fière ? Je ne veux pas isoler une action, car c’est la dynamique d’ensemble qui doit être soutenue, sa cohérence mais aussi les résultats qu’elle engendre forcément. Le travail est partenarial le Centre de gestion, la médecine du travail, tous les services ont contribué à la mise en place de notre document unique. Ce document est une étape clé dans l’appropriation d’une démarche par chaque agent, chaque chef de service. La sécurité est une chaîne, et tous les agents la composent. Le document unique invite à l’analyse des risques, à des actions correctives mais aussi à une prise de conscience que la santé au travail est un droit, et que la garantir appartient à une politique durable des ressources humaines. riches échanges entre intervenants et participants 10 Lettre T - numéro 21 - janv. fév. mars 2013 COLLOQUE AMF-ATTF NANTES 2012 Parole d’ACMO Bien connaître les métiers de la collectivité Laurent Bernard est assistant de prévention ex-ACMO à Vertou. Nommé en 2004, il est en charge par ailleurs de la location des salles de la commune. Il témoigne de sa fonction Comment aurait-on pu l’éviter ? Telle est la question qu’un assistant de prévention AP, lorsqu’un accident survient, se pose et se re-pose». Laurent Bernard Gisèle Goyac Édito Bureau exécutif Infos congrès Retour sur le 44è congrès Colloque Nantes 2012 Partenariats C’est une fonction sensible que celle d’AP, très suivie - en principe - par les élus et les managers, également proche des agents. Il faut être volontaire, et je vois des collègues qui ont été nommés contre leur gré. Rien ne suivra la loi est respectée, mais sur le papier ! Cest aussi une fonction exigeante, qui demande de connaître les procédures et les métiers. De savoir écrire des synthèses et argumenter. D’être curieux. Et de susciter la confiance des agents. Car ils vont beaucoup nous voir, et parfois, nous troublerons leurs habitudes. Des fiches et des stages Si des élus ne sont pas convaincus de la nécessité d’une prévention, ils bloqueront toute décision équiper tels agents, modifier telle organisation, etc. Ce qui les sensibilise ? La peur d’être pris pour responsable d’un accident, bien sûr. Mais je crois plus à l’argument du bien-être des agents en sécurité, travaillent mieux et partent moins en congés maladie. C’est aussi un argument pour des élus employeurs. en tribune Je ne suis pas pour autant l’encyclopédie» de l’hygiène et la sécurité. Nous avons des stages, des fiches adressées par le CDG. Exemples de thèmes les nuisances sonores, travailler en hauteur ou élaguer en toute sécurité. À moi ensuite, de voir dans les services où réside le risque, et d’amener les agents à procéder autrement. Ce ne sont pas forcément des dépenses matérielles. Réorganiser une tournée de ramassage de poubelles ne coûte rien». en salle Pour en savoir plus... 11 Lettre T - numéro 21 - janv. fév. mars 2013
Mercredimatin, le dispositif de la participation citoyenne est devenu officiel aux yeux de tous, puisque le premier panneau a été
Publié le 12/03/2003 à 0000 La sécurité c'est l'affaire de tous »... La direction départementale de la sécurité publique DDSP de Tarn-et-Garonne martelle actuellement ce slogan et tente d'en convaincre les jeunes en menant des actions de sensibilisation auprès des établissements scolaires tarn-et-garonnais. Lundi, les policiers étaient au lycée Montauriol. En avril, ils seront au lycée agricole de Capou... etc. Sécurité? Insécurité? Les policiers ont choisi de traiter plusieurs thèmes au contact des élèves les incivilités, les violences scolaires, familiales, urbaines, racket..., l'alcool et les produits stupéfiants, le civisme, le respect de soi et des autres, le rappel à la loi, le rôle et les missions des policiers. Depuis le début de cette année, les fonctionnaires de la DDSP ont décidé de privilégier le thème de la sécurité routière, sous l'angle de la consommation d'alcool et de l'usage des stupéfiants. A l'appui de leur action, les policiers soulignent que 26 % des accidents corporels concernent la tranche d'âge des 15/24 ans, et que la vitesse et le défaut de maîtrise, mais aussi le refus de priorité... et l'alcool, apparaissent comme les facteurs aggravant de cette accidentologie. Un message d'autant plus pertinent à délivrer aux jeunes tarn-et-garonnais que ce département pointe en sixième position sur les 95 départements français au niveau de la dangerosité de ses routes. ALCOOL, STUPEFIANTS Les élèves montalbanais ont reçu ou recevront au cours des prochaines semaines, un policier animateur et formateur anti-drogue. De la même manière ces élèves devraient se voir proposer une animation avec le simulateur de conduite de la DDE. Dans tous les cas, ces visites des forces de l'ordre dans les collèges et lycées de Montauban permettent de rappeler quelques constantes au service de la sécurité port de la ceinture à l'avant comme à l'arrière, port du casque sur les deux-roues, rappel des taux d'alcoolémie légaux, effets de l'alcool sur l'organisme, comportements liés à l'alcool... Au chapitre stupéfiants, sont passés en revue les grandes familles de produits et les effets qu'ils induisent, leur répercussion sur la santé mentale et physique du sujet, la vente et la consommation des produits stupéfiants... Autant d'éléments portés à la connaissance de ce jeune public qui, une fois informé, peut être en mesure de se prémunir... C'est là toute la philosophie de cette action lancée dans le département il y a deux ans. exemplaires et des tas de bons conseils La sécurité c'est l'affaire de tous » est aussi le titre d'un recueil diffusé à exemplaires auprès des établissements scolaires, des CCAS et de la fédération des aînés ruraux, de la CCI 1... Ce livret balaye une multitude d'aspects Les violences familiales et conjugales », qu'elles soient verbales, psychologiques, physiques, sexuelles, ainsi que les violences faites aux enfants, avec à la clé des numéros utiles... Le harcèlement ou le viol » avec là aussi des infos pour les victimes y compris mineures sur la conduite à tenir, étant entendu que sur ce type de faits, les mentalités ont évolué, au sein de la police qui prend mieux en compte la détresse des victimes, et de la part des victimes elles mêmes qui osent de plus en plus souvent, rompre le silence... Sécurité en milieu scolaire » avec quelques conseils de bon sens pour limiter les risques de vols et d'agressions et la conduite à tenir en tant que victime, ou en tant que témoins de faits graves qu'il convient de signaler... Personnes âgées, prévention et attention » avec dans ce chapitre, les précieux conseils de prudence visant à déjouer la ruse des voleurs à domicile, mais aussi l'action des malfaiteurs dans la rue, les personnes âgées étant fréquemment victimes de vols à l'arraché... Ce recueil aborde aussi la sécurité routière » avec un rappel du triste palmarès du Tarn-et-Garonne, 6e département français sur 95 en matière de dangerosité des routes, l'alcool » et la drogue » avec un rappel des numéros utiles offrant une prise en charge de la prévention et des soins... Il offre également de précieuses informations sur le cheminement d'une plainte... ______ 1Ce recueil très utile est également disponible à l'accueil des services de police et de gendarmerie de Montauban.
Et loin de l’adage – « la sécurité est l’affaire de tous » – l’on peut vous dire que que « la sécurité est, en réalité, l’affaire de SERI ! » SARI Sécurité a fait du gardiennage live vidéo à distance (GVLD) sa spécialité. Son PC de commandement est particulièrement impressionnant et efficace. SERI Sécurité. 8A 24 octobre 2013 Les policiers de la BAC de Toulouse interpellent un braqueur de bijouterie, et des déménageurs à proximité font de même avec son complice ! Mercredi 23 octobre dans la matinée, deux hommes casqués font irruption dans une bijouterie de luxe du centre-ville de Toulouse 31 et exigent la remise du contenu du bijoutier parvenant à faire donner l'alarme, les deux malfrats se voient obligés d'accélérer la commission de leur forfait, et prennent la fuite avec tout de même un sac de bijoux d'une valeur de plus de 100 000 euros !Arrivés rapidement sur les lieux, les policiers de la Brigade Anti-Criminalité interpellent l'un des deux braqueurs, porteur du sac rempli des bijoux ce temps, des déménageurs ayant entendu l'alarme parviennent à maîtriser son complice, et le remettent aux effectifs de la BAC en vue de son deux malfrats sont placés en garde à vue, et la brigade criminelle de la sûreté départementale de Haute-Garonne poursuit l'enquête.
Lasécurité est l'affaire de tous. En 2018, l’Université a renforcé la sécurité en créant un état-major directement rattaché à la Direction administrative et en introduisant un nouveau poste de responsable santé et sécurité. Trois mois après sa mise en place en mars 2018, le Rectorat validait le nouveau concept de sécurité qui
Des Citoyens agressés à coups de couteau, de marteau, de barre de fer, à Paris et dans plusieurs autres villes de France. Des patrouilles de Sentinelle qui subissent des attaques verbales ou physiques, la dernière en date à la voiture bélier. Fait tout aussi grave, une voiture qui réussit à s’introduire sur les pistes d’un aéroport. Sur ce dernier cas, on ne peut que s’interroger comment le conducteur n’a pas été arrêté plus tôt alors que par deux fois il a pris deux autoroutes en sens inverse de circulation » ? La facilité avec laquelle il est entrée sur l’aéroport doit nous interroger, tout comme doit nous interroger la difficulté rencontrée par la Gendarmerie Nationale, les Douanes et la Police Nationale a l’interpeller comme le montre les vidéos diffusées dans les médias. Mais ce qui nous pousse le plus à nous interroger ce sont la multiplication de ces attaques et la rapidité avec laquelle l’exécutif nous dit ” pas d’amalgame” et met la piste du déséquilibré en avant quasi systématiquement. Il nous faut donc réfléchir différemment et adapter nos réponses à ce qui se trouve être pour l’instant non plus des attaques suicides de masse mais des actions de loups » solitaires en lien ou non avec DAESH. Le renforcement des Forces de l’Ordre, l’armement généralisé des Polices Municipales ainsi qu’une extension en la matière pour la Sécurité Privé et certains citoyens sont une des priorités d’action immédiate. Il faut aussi, à côté de cela, que les Citoyens se responsabilisent pour être en mesure d’appliquer la loi* lorsque la situation l’exige. La vérité en matière de sécurité n’est plus dans l’ancien temps ». Grégory Baudouin Délégué national à la Sécurité et à la Défense *Article 122-7 du Code pénal traitant de l’état de nécessité, articles 122-5 et 122-6 du Code pénal traitant de la légitime défense, articles 223-5/6/7 du Code pénal relatifs à la non-assistance, articles 53 et 73 du Code de procédure pénale faisant référence au flagrant délit ou à l’interpellation.
Lasécurité, l’affaire de tous Le partage de la route en toute sérénité est possible ! Il convient d’adopter les bons réflexes parce qu’à vélo, la sécurité n’est pas une option. La Fédération française de cyclotourisme vous propose quelques rappels utiles avant de monter sur le vélo. Cliquez ici pour accéder aux
Depuis 2019, chaque 7 juin sera l’occasion de mettre en évidence les avantages d’une alimentation sûre. 7 juin 2020, Le Caire - À l’occasion de la Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments JISSA, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture FAO et l’Organisation mondiale de la santé OMS ont publié la déclaration commune suivante pour souligner le rôle crucial de la sécurité sanitaire des aliments dans la promotion de la santé et l’éradication de la faim Sans accès universel à une alimentation sûre, l’Agenda 2030 sera impossible à atteindre. Toute personne a le droit à une alimentation sûre, nutritive et suffisante. La sécurité sanitaire des aliments est essentielle pour promouvoir la santé et éliminer la faim, deux des 17 objectifs de l’Agenda 2030 pour le développement durable. Si elle n’est pas sûre, ce n’est pas de la nourriture. La sécurité sanitaire des aliments est atteinte lorsque toutes les personnes, à tout moment, ont un accès physique et économique à une nourriture qui répond à leurs besoins alimentaires pour une vie saine et active. En effet, la sécurité alimentaire est une partie fondamentale de la composante utilisation des quatre dimensions de la sécurité alimentaire - disponibilité, accès, utilisation et stabilité. Aujourd’hui, environ 55 millions de personnes dans les États arabes sont en situation d’insécurité alimentaire. En définitive, une alimentation saine est essentielle non seulement pour améliorer la santé et la sécurité alimentaire, mais également pour les moyens de subsistance, le développement économique, le commerce et la réputation internationale de chaque pays de la région. Les maladies d’origine alimentaire entravent le développement socio-économique en mettant à rude épreuve les systèmes de soins de santé et en nuisant aux économies nationales, au tourisme et au commerce. La FAO et l’OMS unissent leurs forces dans la région pour assister les pays à prévenir, gérer et répondre aux risques tout au long de la chaîne d’approvisionnement alimentaire, en travaillant avec les producteurs et les vendeurs de denrées alimentaires, les autorités de réglementation et les acteurs de la société civile, que les aliments soient produits localement ou importés. La FAO aide les pays membres à prévenir, gérer et répondre aux risques tout au long de la chaîne de production alimentaire tandis que l’OMS facilite la prévention, la détection et la réponse au niveau mondial aux menaces pour la santé publique associées à des aliments insalubres. Les deux organisations œuvrent à garantir la confiance des consommateurs dans leurs autorités et dans la sécurité de l’approvisionnement alimentaire. La sécurité sanitaire des aliments est une responsabilité partagée entre les gouvernements, les producteurs et les consommateurs. Tout le monde a un rôle à jouer, de la ferme à la table, pour garantir que les aliments que nous consommons sont sûrs et ne causeront pas de dommages à notre santé. Nous appelons les gouvernements, les partenaires du développement international, les donateurs et le secteur privé à faire une différence durable en matière de sécurité alimentaire. Ceci peut se faire par le biais des actions suivantes Assurer la sécurité sanitaire des aliments. Les gouvernements nationaux doivent garantir une nourriture sûre et nutritive pour tous. Produire des aliments sûrs. Les agriculteurs et producteurs doivent adopter de bonnes pratiques culturales. Bonnes pratiques de transformation. Les exploitants du secteur alimentaire doivent veiller à ce que les aliments soient transportés, stockés et préparés sans danger pour la santé. Vérifier la sécurité des aliments. Les consommateurs doivent avoir accès en temps opportun à des informations claires et fiables sur les risques nutritionnels et les risques de maladie associés à leurs choix alimentaires. Faire équipe pour la sécurité. Les gouvernements, les organismes économiques régionaux, les organisations des Nations unies, les agences de développement, les organisations commerciales, les groupes de consommateurs et de producteurs, les institutions universitaires et de recherche et les entités du secteur privé doivent travailler ensemble sur les questions de sécurité alimentaire. *** Depuis 2019, chaque 7 juin sera l’occasion de mettre en évidence les avantages d’une alimentation sûre. La Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments JISSA a été adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies en décembre 2018. La deuxième édition de la Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments vise à attirer l’attention et à inspirer l’action en matière de prévention, de détection et de gestion des risques d’origine alimentaire, contribuant ainsi à la sécurité sanitaire des aliments, à la santé humaine, à la prospérité économique, à l’agriculture, à l’accès aux marchés, au tourisme et au développement
Notresécurité est l'affaire de tous 24 octobre 2013 Les policiers de la BAC de Toulouse interpellent un braqueur de bijouterie, et des déménageurs à proximité font de même avec son complice !
Bonjour à tous, Cet exercice a pour but de vous accompagner dans l'analyse de la consigne du sujet. Il vient compléter le document pdf mis en ligne sur la base Dissertation n°1 la sécurité est-elle l'affaire de tous?, semaine 1 analyse du sujet. Vous trouverez dans un premier temps une question vous invitant à réfléchir aux différentes composantes de la notion de sécurité. Dans un second temps, vous serez invités à classer les parties du cadrage en fonction de leur pertinence au regard de la question du sujet. Bon courage à tous!
\n la sécurité est l affaire de tous
Gestiondes risques en milieu hospitalier : La sécurité des soins est l'affaire de tous. La qualité et la sécurité des soins sont au centre des actions mises en oeuvre par les pouvoirs publics, amenant les établissements de santé à renforcer leurs actions en matière de gestion des risques. Un sujet dont s'emparent aussi les assureurs. La sécurité sur les pistes de ski alpin est assurée dans chaque station par le service des pistes composé de personnels qualifiés spécialement formés et entraînés les pisteurs-secouristes, les conducteurs d’engins de damage, les nivoculteurs, les artificiers, les observateurs nivo-météo, les maîtres-chiens d’avalanche, les opérateurs du central des pistes. Mais la sécurité c’est aussi l’affaire de tous! Pour que votre séjour se passe au mieux et sans encombre, des règles sont à respecter. Alors prenez un instant pour connaître ces règles en visionnant le reportage ci-dessous. Les 8 règles du Piste X Code La difficulté des pistes Pour sécuriser la pratique du ski alpin, les pistes sont classées en quatre catégories identifiées par un code couleur selon leur niveau de difficulté. Des balises sont positionnées sur l’un des bords de la piste pour vous permettre de vous repérer. Elles sont numérotées par ordre décroissant et indiquent le nom de la piste sur laquelle vous évoluez. Par exemple, le chiffre 1 sur fond vert signifie que vous êtes arrivé en bas d’une piste verte. Autrement dit, en bas d'une piste de niveau facile. En cas d'accident, les indications "nom de la piste" et "n° de balise" doivent être communiquées pour faciliter l’éventuelle intervention du service des pistes. A titre d'information, seules les pistes déclarées ouvertes sont contrôlées par les pisteurs, en dehors de celles-ci vous évoluez à vos risques et périls. Pour précision, sont affichés sur les lieux de passage les plus fréquentés le bulletin météorologique et le bulletin sur le risque d'avalanche. Se préparer avant son séjour - Préparé Le ski ou le surf reste un sport. Alors pensez à vous échauffer, à doser vos efforts et vous hydrater correctement et tout ira bien! - Équipé Pour bien skier, vous devez d’abord choisir un matériel adapté à votre niveau technique, votre taille et votre poids. Le réglage et l’entretien des fixations sont ensuite essentiels pour limiter les risques en cas de chute ou de choc. Pour cela, demandez conseil dans les magasins spécialisés. - Protégé La tête est très exposée dans les sports de glisse. Pour limiter les traumatismes, portez un casque! - Assuré Les secours sur pistes ne sont pas gratuits... Avant de vous lancer, vérifiez que vous êtes bien assuré. En savoir plus sur l'assurance ski... LAISSEZ-VOUS SURPRENDRE Réservez votre forfait
Lesspécialistes de la cybercriminalité se réunissent cette semaine à Monaco afin de sensibiliser la population pour mieux résister aux pirates informatiques. Votre navigateur est obsolète.
SÉCURITÉ - Un accident du travail coûte cher en amitiés, en compétences, en énergie, en argent... Bien sûr, l’employeur doit assurer la sécurité des salariés. En réalité, la sécurité est l’affaire de tous chacun est responsable de sa sécurité et de celle des autres. Détaillons. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Sed bibendum, sapien nec interdum commodo, ex elit feugiat velit, vel tincidunt nibh massa nec turpis. Phasellus rutrum pulvinar tristique. Aenean vel maximus velit. Integer in purus dictum, commodo diam sed, facilisis metus. Duis sed consequat nisi. Phasellus et risus neque. Curabitur mattis, nibh ac finibus bibendum, nulla augue commodo ipsum, vitae tristique urna felis in velit. Cras et eleifend lorem, in convallis leo. Fusce id nibh et leo congue convallis. Vivamus imperdiet ipsum sit amet felis condimentum, a lobortis felis rutrum. Integer ullamcorper, turpis in aliquet tincidunt, est tellus volutpat leo, id pretium massa nibh sed orci. Pellentesque ac viverra lacus. Class aptent taciti sociosqu ad litora torquent per conubia nostra, per inceptos himenaeos. Ut ut ante eget nulla volutpat tempor. Donec commodo leo mi, congue blandit leo euismod ut.

La sécurité c'est l'affaire de tous, ça n'est pas uniquement l'affaire des forces de l'ordre», vient de rappeler aujourd'hui même le

Ali Kahlane plaide pour "La prise en compte de la cyber sécurité par l'ensemble des acteurs, au niveau de chaque continent, de chaque État, de chaque institution, de chaque entreprise, de chaque citoyen. "A travers le monde, pas une seule entreprise n’est à l’abri d’une cyber-attaque. En quoi consiste cette menace ?Une cyberattaque est un acte de malveillance qui peut cibler différents dispositifs informatiques. Cela peut être des ordinateurs, des serveurs ou toute intelligence matérielle et numérique tels que les smartphones ou tout objet connecté à Internet ou pas d’ailleurs. Il existe en fait quatre types de risques ou menaces la cybercriminalité, la déstabilisation, l’espionnage et le sabotage. Ces cyber risques affectent directement ou indirectement aussi bien les particuliers que les administrations et les et son pendant visible, le World Wide Web qui a beaucoup évolué au fil des ans, n’est plus le gentil réseau que l’on connaissait à ses débuts. Très vite de nombreux méchants personnages ont joué sur ses vulnérabilités pour attaquer les ordinateurs et tout ce qui s’y connecte. Dans un premier temps c’était surtout pour récupérer des données sensibles auprès d’utilisateurs imprudents, c’était la plus commune des menaces. Dans la plupart du temps, tout cela se faisait sans que la victime s’en rende compte, jusqu'à ce qu'il soit trop tard. Mais ça c’était avant. 60% des problèmes de cybersécurité dans l'entreprise, dans le monde viennent de l'intérieurComment ces pirates de l’informatique arrivent-ils à s’infiltrer aussi facilement dans l’entreprise via le net?L’Internet est un endroit fantastique pour communiquer pour s’informer ainsi que pour travailler. C’est l’une des innovations humaines qui a le plus radicalement changé jusqu’à notre façon de vivre. La quasi totalité de la population mondiale s’y connecte. Sur les 7,76 milliards d'humains sur Terre en 2020, près de 61% utilisent Internet alors que 65% d’entre eux possèdent un téléphone un an, le nombre d'utilisateurs du web s'est accru de près de 10 %, tandis que la population mondiale n'a progressé que de 1 %. Les réseaux sociaux ont eux aussi vu leur public s'accroître et comptent plus de 3,8 milliards d'adeptes, soit 49 % de l'humanité, dont plus de 50% y est connecté nuit et jour. L’Algérie n’est pas en reste avec ces plus plus de 26 millions de connectés à Internet 59% de la population dont 22 millions utilisent les réseaux sociaux avec 95% sur de connectés à Internet et d’utilisateurs actifs sur les réseaux sociaux est un terrain propice pour tous les maliciels qui grouillent dans le cyber espace tel un capharnaüm de germes et de bactéries infectieux, numériques. Tout cela rend tout ordinateur ou dispositif connecté vulnérable. L’entreprise, encore plus que tout le reste à cause des dégâts que cela peut occasionner en très peu de temps et à moindre coût. Nous savons que 60% des problèmes de cybersécurité dans l’entreprise, dans le monde viennent de l’intérieur. Aucun appareil, aucune entreprise n'est à l'abri!En Algérie, cela peut dépasser les 80%. Cette différence de taux est dû au peu de sensibilisation des utilisateurs aux risques qu’ils comportent, à la méconnaissance ou à la non utilisation des outils de protection et de précaution aussi bien actifs que passifs. Mais pas que car, paradoxalement, l’instabilité de notre connexion, la faiblesse du débit internet associées au peu de numérisation des entreprises algériennes concourent à l’augmentation des cyberattaques et exacerbent la vulnérabilité de nos entreprises, qui ne sont pas ou très peu protégés face aux maliciels de tout bord. Les menaces de cyberattaques sont réelles et de plus en plus dangereuses, causant de grands peut aller du fait des employés indélicats ou imprudents dont la négligence est exploitée pour subtiliser des codes d’accès et compromettre des données ou des systèmes d’informations jusqu’aux attaques en bonne et due forme qui seraient effectuées par des professionnels pour eux-mêmes ou pour le compte de quelqu’un qui les rétribuent pour se sont les types de menaces auxquelles nous sommes confrontés Il existe de nombreuses menaces malveillantes pouvant se déclencher ou s’installer à tout moment et dans toutes les situations. Pour faire simple, on peut identifier au moins une dizaine de types menaces de cyberattaques pouvant être utilisées soit par des personnes réelles soit par des robots ou bots ou la combinaison des Algérie, ces actes de malveillance trouvent un terrain propice dans la méconnaissance du danger et le peu de sensibilisation ds utilisateurs, ajoutés à l'instabilité récurrente du réseau InternetEn Algérie, ces actes de malveillance trouvent un terrain propice dans la méconnaissance du danger et le peu de sensibilisation ds utilisateurs, ajoutés à l'instabilité récurrente du réseau InternetCes menaces sont les spams, Advertisement et Software ou publiciel, le cheval de Troie, les virus, les vers, le phishing ou hameçonnage, les logiciels espions ou spyware, les keyloggers ou encore KeyGrapbber, le pharming et, enfin le logiciel de sécurité de type Escroc ou Rogue security software Chacune de ces menaces est expliquée en détail dans un encarté.En Algérie l’entreprise est-elle outillée pour répondre à ces attaques? Y a-t-il une compréhension du risque par le chef d’ Loi n° 18-07 du 10 juin 2018 relative à la protection des personnes physiques dans le traitement des données à caractère personnel qui a été promulguée le 20 janvier 2020, complète et renforce l’arsenal juridique qui existait jusqu’à présent pour encadrer le domaine numérique et ses environnements. C’est un bon début pour mettre de l’ordre et mieux protéger le cyberespace ailleurs, nous devons reconnaître une carence manifeste de statistiques sur les dommages qu’occasionnent les cyber attaques et les maliciels d’une manière générale dans notre pays. Le manque d’implication de l’Etat dans la sensibilisation à la cybersécurité et surtout l’absence d’une politique nationale de cybersécurité rend toute analyse difficile. Il appartient maintenant aux institutions interpellés dans cette Loi de passer à l’action pour mettre en place les dispositions et dispositifs prévus. Notamment l’installation de celui relatif à la sécurité des systèmes d’information qui prévoit notamment l'élaboration d'une stratégie nationale en matière de sécurité des Systèmes d'information, incluant des investigations numériques en cas d'attaques cybernétiques ciblant les institutions nationales y compris les entreprises privés et publiques. Sans oublier la mise en opération le plus rapidement possible de l’Autorité nationale de protection des données personnelles. Des outils dont l’Algérie avait énormément besoin pour mieux protéger et promouvoir son économie numérique une demande en la matière de la part du chef d’entreprise algérienne? De même les compagnies d’assurance proposent-elles ce produit?Il faut poser la question à un professionnel des Assurances pour la deuxième partie de votre question. Par contre je peux dire que la confiance et la cybersécurité sont les deux piliers de l'entreprise de demain. Nous sommes dans une économie mondialisée, il est important de souligner que tout au long de l'histoire économique, c'est bien la confiance qui a contribué à favoriser l'éclosion de l'économie marchande. C'est donc la prise en compte de la cybersécurité par l'ensemble des acteurs - au niveau de chaque continent, de chaque État, de chaque institution, de chaque entreprise, de chaque citoyen - qui assurera l'émergence de l’économie numérique au niveau d’un pays. L’Algérie n’a jamais été aussi proche d’une bonne fenêtre de tir pour réussir sa transition recueillis par Meriem Chibane de la revue CNAPublié la première fois par la Revue du Conseil National des Assurances CNA, dans son dossier Cyber-Assurances, Page 18-21, mars 2020.
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Lasécurité au quotidien est « l’affaire de tous » 17 juin 2018 Defense, En Circonscription, Le Conseil de circonscription, Les débats publics, Sécurité, Thématiques Et de trois ! Le député Thomas Gassilloud poursuit sa série de débats publics, dans la 10e circonscription de Lyon. Temps de lecture 10 minutesLa sécurité concerne chacun et chacune d’entre nous. C’est un fait. Quand on pense à la navigation sur l’Internet, il peut paraître évident que naviguer “safe” dépend surtout de la façon dont nous utilisons les outils mis à notre disposition et les bonnes pratiques sécurité informatique que nous nous choisissons de mettre en oeuvre – bien plus que du rêve chimérique d’un Internet complètement sécurisé par défaut. Changement de mot de passe régulier, double authentification, protection en continu contre les malwares, mises à jour de sécurité, hygiène numérique et bonnes pratiques la sécurité sur l’Internet demeure un ensemble d’actions qui, à titre personnel, requiert rigueur, lucidité et surtout volonté. Peut-être que vous vous dites “bon, encore un article sur la sécurité écrit par un divin expert du numérique tentant de communiquer avec nous, simples mortels”. Eh bien, spoiler alert absolument pas. Parce que moi, la sécurité, à la base, j’y connais rien ! “Je n’ai rien à cacher” ; “Si c’est gratuit, c’est toi le produit” ; “Il ne faut pas tomber dans la paranoïa” ; “C’est trop technique pour moi” voilà grosso-modo ce qui caractérisait mes échanges lorsque j’abordais la question de la sécurité des données sur Internet. Pas très concluant, je vous l’accorde. Cependant, la sécurité des données est pourtant bel et bien l’affaire de chacun et chacune d’entre nous. Peut-être l’apprendrez-vous à vos dépends – mais rassurez-vous, l’humain est résilient. Me voilà donc, jeune étudiante de la génération Z, questionnant mon rapport à la technologie et notamment à la sécurité sur le net. Chères et chers DSI et RSSI, me voilà bien lotie. L’idée, au fil de ses lignes, sera donc d’essayer humblement de vous partager mon point de vue d’internaute lambda, et de vous partager les bonnes pratiques qui m’ont véritablement aidé. Un voyage inattendu Mon périple débute avec une simple recherche google “la sécurité sur Internet”. Je tombe quasi instantanément sur un très bel article de l’ANSSI présenté comme “les dix règles de base, en quelque sorte les 10 commandements de la sécurité sur l’Internet”. Aussi, cela se résume à Utiliser des mots de passe de qualité ;Avoir un système d’exploitation et des logiciels à jour navigateur, antivirus, bureautique, pare-feu personnel, etc. ;Effectuer des sauvegardes régulières ; Désactiver par défaut les composants ActiveX et JavaScript ; Ne pas cliquer trop vite sur des liens ; Ne jamais utiliser un compte administrateur pour naviguer ; Contrôler la diffusion d’informations personnelles ;Ne jamais relayer des canulars ; Etre prudent Internet est une rue peuplée d’inconnus ;Etre vigilant avant d’ouvrir des pièces jointes à un courriel elles colportent souvent des codes malveillants. Ces recommandations – bien que génériques – me paraissent essentielles. En effet, si certaines de ces mesures me paraissent hors de portée, j’estime toutefois que la plupart, ainsi que leurs enjeux, sont accessibles et peuvent être mises en place par une grande majorité d’entre nous. Il est vrai que si nous sommes lucides, il est très rare de pouvoir se targuer d’une confidentialité sans faille et d’une sécurité irréprochable sur Internet. Le mythe, encore bien vivant, du “risque 0” doit être déconstruit – au-delà de la difficulté de mise en œuvre de tous ces processus, tendre vers le minimum de failles et le maximum de vigilance semble plus raisonnable. La vulnérabilité dans Apache Log4j est là pour nous le rappeler. L’ANSSI, en ce sens, fournit un catalogue assez exhaustif des bonnes pratiques de sécurité numérique afin d’accompagner les entreprises et les administrations dans la mise en œuvre de ces mesures de sécurité. Au-delà, chacun y va de son propre chef. En bref, entre guide pratique et leçon de morale – la ligne est fragile. Démocratiser les bonnes pratiques numériques En effet, la cybersécurité n’est pas que l’affaire des techniciens. L’avènement de l’Internet, des réseaux sociaux et du numérique dans son spectre le plus large, consacre la réalisation de nouveaux enjeux et notamment d’un nouveau domaine crucial la cybersécurité. Selon Le Robert, la cybersécurité désigne l' »ensemble des moyens utilisés pour assurer la sécurité des systèmes et des données informatiques d’un État, d’une entreprise, etc.”. La cybersécurité recouvre l’ensemble des moyens et des mesures concourant à assurer l’échange et le stockage de l’information de manière sécurisée. Aussi, pour faire simple, la cybersécurité concerne donc aussi bien les éléments de stockage de l’information cloud, disques durs, clefs usb, etc. que les émetteurs », les récepteurs » ordinateurs et téléphones et les réseaux permettant d’établir un lien entre ces derniers tels que le Wifi et le Bluetooth. Toutefois, s’il est vrai que le numérique fait partie intégrante de notre quotidien, ses bonnes pratiques ne sont pourtant pas, elles, si évidentes. Malgré une réelle volonté de la part des acteurs du numérique de sensibiliser et mettre à disposition des guides et bonnes pratiques, ce n’est pas chose aisée d’accompagner l’utilisateur pour ce long et sinueux voyage dans la sécurité informatique. Il me semble donc essentiel de rappeler la nécessité de démocratiser les bonnes pratiques dans l’univers numérique qui ont des conséquences bien tangibles et palpables dans le “réel” de nos quotidiens. Trop souvent, j’entends le cyberespace être décrit comme immatériel, aux conséquences lointaines pour nos quotidiens. Mais alors, que faire ? Jusqu’à preuve du contraire, vous fermez votre porte à clé quand vous partez de chez vous ? Au même titre que votre voiture, ou peu importe – choisissez l’exemple le plus pertinent à votre sens. Parfois, vous vous protégez avec des services spécifiques de surveillance, vous êtes vigilants et prudents. Pour la sécurité informatique, c’est la même chose ou presque votre ordinateur, téléphone ou autre appareil électronique n’y font pas exception. Ce sont des appareils qui contiennent un grand nombre de données personnelles qui, entre de mauvaises mains, peuvent avoir des conséquences avec plus ou moins de gravité. Alors comment s’en prémunir ? Kit de survie Concrètement, voilà ce que j’ai retenu Astuce n°1 – Dis-moi qui tu es et je te dirai ton mot de passe On ne vous le répétera jamais assez mais… un mot de passe comportant votre date de naissance avec le prénom de votre animal de compagnie n’est jamais vraiment une bonne idée. Ainsi, je vous recommande d’utiliser – dans la mesure du possible – un gestionnaire de mot de passe cf. cet article du Monde afin de pouvoir utiliser des mots de passe plus robustes et diversifiés. En effet, il est humainement impossible de retenir les dizaines de mots de passe longs et complexes que chacun est amené à utiliser quotidiennement bon, je ne demanderai pas à Dominic O’Brien, “l’homme avec la meilleure mémoire du monde”, mais admettons. Entre avoir un mot de passe unique ou une multitude de complexes – la solution qui me semble la plus adaptée semble être le gestionnaire de mot de passe. Un mot de passe pour en gérer une multitude – et ce n’est pas si complexe que ça en a l’air. Songez-y la prochaine fois que vous allez créer un compte. Recommandation KeePass, un gestionnaire de mots de passe sécurisé et gratuit C’est un logiciel libre, en français, certifié par l’ANSSI permettant de stocker en sécurité vos mots de passe pour les utiliser dans vos applications. KeePass dispose aussi d’une fonction permettant de générer des mots de passe complexes aléatoires. Astuce n°2 – Procrastination out Faites vos mises à jour. Oui, je sais… fermer l’onglet mises à jour est radicalement plus simple que de tenter la mise à jour entre deux réunions et d’oublier de la lancer la nuit. Je sais. Toutefois, si chaque application et logiciel vous propose régulièrement des mises à jour, il y a une raison derrière. La plupart des alertes pointent vers des correctifs à des failles de sécurité ou des améliorations qui vont renforcer leur imperméabilité. Ils sont essentiels. En repoussant le moment fatidique, vous risqueriez de faire de vos applications des points d’entrée faciles dans votre système et ainsi, de vous exposer plus facilement aux vilains méchants de l’autre côté de votre ordinateur. Le dernier exemple en date qui me vient en tête est une faille de sécurité zero-day » sur Google Chrome. Le chiffre d’utilisateurs potentiellement touchés concernerait plus de 3 milliards dans le monde et permettrait à des attaquants malveillants d’utiliser cette faille pour injecter à distance un code arbitraire et déployer un logiciel malveillant sur l’ordinateur. Alors, voici comment se prémunir d’une mauvaise surprise – surtout dans ces temps incertains dans le cyberespace les mises à jour du navigateur sur Windows, Mac ou Linux sont normalement automatiques au lancement. Mais un passage par les paramètres permet de lever le doute il faut cliquer sur les trois petits points en haut à droite puis “paramètres” et vérifier la version utilisée sur “À propos de Chrome”. Recommandation le site cyber malveillance du gouvernement sur “pourquoi et comment bien gérer ses mises à jour”. Astuce n°3 – WiFi or not to be ? Je l’avoue, c’est très tentant de se connecter au WiFi du coin pour économiser ses datas. Toutefois, je ne saurai que trop vous recommander de ne pas vous connecter sur les WiFi publics non sécurisés. C’est une véritable porte ouverte pour quiconque souhaite pirater vos données. Dans l’idéal, désactiver le WiFi sur votre téléphone, votre PC ou tablette lorsque vous avez terminé – cela évitera une potentielle faille. Petit tips pour identifier si un réseau est safe, ou pas Si le réseau dispose d’un portail captif qui vous force à vous identifier, alors vous pouvez être rassuré c’est généralement ce que l’on trouve dans les hôtels ou certains lieux publics ; Toutefois, si le Wi-Fi public ne vous demande aucun code et qu’il n’est pas protégé par un portail captif, cela veut dire que n’importe qui peut s’y connecter…et là on peut trouver n’importe qui sur le réseau, y compris des personnes mal intentionnées. Bien sûr, “réseau sécurisé” ne rime pas avec “exempt de danger”. Bon, si. Mais on ne le répétera sûrement jamais assez le risque 0 n’existe pas. Une des solutions utiliser un VPN Virtual Private Network ! Ce dernier vous protégera et permettra d’anonymiser davantage votre connexion. À ce titre, il existe des services VPN gratuits et payants disponibles en abondance sur le net – à vous de faire votre marché. Astuce n°4 – Les données personnelles le nerf de la guerre Pour aller plus loin, et sortir de sa zone de confort, j’aimerai conclure sur un point les données à caractères personnelles sont le nerf de la guerre. Ce sont elles qui, corrompues perte d’intégrité, volées confidentialité, divulguées ou encore perdues traçabilité constituent une réelle menace. Car, en effet, si les impacts sont informatiques et principalement techniques, les répercussions peuvent être sociales et juridiques. En principe, le traitement des données personnelles est strictement interdit par la loi. Elles sont protégées par divers instruments juridiques comme la loi informatique, fichier et liberté de 1978 ou, plus récemment, par le Règlement Général sur la Protection des Données RGPD voté et adopté en 2016 par le parlement européen. En France, l’organe qui se charge du contrôle de la protection des données personnelles est la CNIL. C’est indéniable donc, les données ont de la valeur. Pour preuve, des business model entiers reposent sur la donnée. Aussi, il me semble important de tenter de s’émanciper au maximum des techniciens et de s’approprier sa propre sécurité ainsi que ses enjeux. En ce sens, l’ANSSI préconise la méthode de sauvegarde des données 3-2-1. Concrètement, l’ANSSI préconise de disposer pour vos données sensibles de Trois copies de vos données en plus de vos données principales, vous devez aussi avoir au moins deux autres sauvegardes ; Deux supports différents c’est-à-dire au moins deux types de stockage différents tels que des disques durs internes et des supports amovibles et ; Une copie “hors site” vos données peuvent être stockées dans le cloud ou sur un disque dur. Et pour aller plus loin Bon, à priori, si vous vous appropriez ces quatres étapes, c’est un très bon début. En effet, pour permettre de réduire les risques dans le cyberespace, ces quatre mesures constituent un premier pas vers une meilleure hygiène numérique au global. La première étape, la plus cruciale, est d’avoir conscience des enjeux et de les intégrer au sein de sa propre image de la sécurité informatique. Parce que oui, pour être en sécurité dans le cyberespace, il ne s’agit en rien d’être un expert dans le domaine, d’avoir fait des années d’étude et encore moins de devoir dépenser de l’argent. C’est à la portée de toutes et tous et cela n’impacte que très marginalement votre quotidien. Quoi qu’il en soit, voici une liste non exhaustive de ressources essentielles pour accompagner votre voyage dans ce fabuleux domaine de la cybersécurité Le site de la CNIL, la Commission nationale de l’informatique et des libertés pour les professionnels, pour les particuliers ; Le site de l’ANSSI, l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information. Très complet et instructif, je recommande fortement !Son guide des bonnes pratiquesLe site du gouvernement français CyberMalveillance ;Le Clusif, une association qui échange sur les domaines de la sécurité du numérique en France. Sinon, Wimi a fait un très bon article sur les 8 sites à suivre dans le domaine de la cybersécurité.
\n \nla sécurité est l affaire de tous
Lasécurité sanitaire des aliments joue un rôle essentiel pour garantir que les aliments soient sains à tous les stades de la chaîne alimentaire, de la production à
Vous les avez vus surement sur les routes des vacances, ces panneaux jaunes à l’entrée des villages, avec cet œil au milieu qui vous fixe. Parfois noir, parfois bleu, Comme pour dire hé toi attention je te l’ai… à l’œil. La plupart du temps, désignés par le maire, citoyen volontaire, le voisin vigilant est censé rapporter à la police ou la gendarmerie, tous les faits qu’il peut trouver suspects. Les détracteurs parlent de délation, les promoteurs répondent pas du tout, nous créons du lien entre voisins. Alors que la sécurité promet d’être l’un des thèmes de la campagne présidentielle à venir, alors que le président Macron a appelé lui-même a une société vigilante. Voisins vigilants, la sécurité peut elle être l’affaire de tous ? Avec nous pour en parler Virginie Malochet, Sociologue à l’Institut Paris Région et chercheuse associée au CESDIP Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales ; Matthieu Valet, commissaire de police, porte-parole du Syndicat Indépendant des Commissaires de Police ; Thierry Chicha, Co-fondateur des Voisins Vigilants et Solidaires ; Juliette Méadel, Présidente du 1er groupe d'opposition à la mairie de Montrouge. Ancienne Secrétaire d’Etat chargée de l’Aide aux Victimes 2016-2017 Programmation musicale Relax, Rejjie Snow 2021 Les séquoias, Pomme 2021
Hôpitalde Jolimont à La Louvière : la sécurité des patients est l'affaire de tous 22 janv. 2019 à 12:17 • 2 min Par Mathieu Van Winckel, Daniel Barbieux
Accueil / A la une / Saint-Genis des Fontaines la sécurité est l’affaire de tous Frédéric Régnier, responsable de la police municipale ; Nathalie Regond-Planas, maire de Saint-Genis des Fontaines et le major Walter Lens, commandant de la brigade de Gendarmerie nationale de Saint-Genis des Fontaines / 4 octobre 2021 A la une, Territoires Samedi 2 octobre, plus d’une trentaine de Saint-Genisiens, dont de nombreux délégués de quartier et élus, ont répondu présent à l’invitation lancée par Nathalie Regond-Planas, maire de Saint-Genis des Fontaines, et l’équipe municipale, pour une réunion de présentation du dispositif de Participation citoyenne. Le major Walter Lens, commandant de la brigade de Gendarmerie nationale de Saint-Genis des Fontaines, était aux manettes de cette séance, avec l’appui de Frédéric Régnier, responsable de la police municipale. Tous deux représentent autant de corps qui travaillent au quotidien en étroite collaboration pour assurer la sécurité de tous. Walter Lens a rappelé que le dispositif de participation citoyenne est une démarche de sécurité globale et solidaire. Celle-ci implique la commune, l’Etat et les forces de sécurité, à savoir la Gendarmerie nationale. Elle consiste à sensibiliser les habitants en les associant à la protection de leur environnement. » Pour cela, les Saint-Genisiens doivent adopter une attitude vigilante, prendre le réflexe d’informer les forces de l’ordre en cas de doute ou d’un constat de comportement suspicieux. Mais attention, il est hors de question pour eux de se substituer à l’action de la gendarmerie. Une telle démarche pourrait les mettre dans une situation à risque. Vous devez capter une information, essayer de récupérer un maximum de détails et ensuite appeler le 17. La gendarmerie s’accaparera alors du dossier » précise Walter Lens à l’auditoire avant de détailler quelques comportements ou réflexes à adopter par les référents pour qu’ils optimisent leur travail. Dans le cadre de ce dispositif, la Gendarmerie nationale compte s’appuyer sur les délégués de quartier qui ont été installés il y a quelques mois par la municipalité actuelle. Mais toute bonne volonté est la bienvenue. En effet, plus le maillage de référents et d’habitants, qui sont les yeux et les oreilles de leur quartier, sera dense, plus le système sera efficace. Enfin, cet engagement renforcera les solidarités de voisinage en créant ou recréant du lien social. Il renversera ainsi le sentiment d’insécurité en rassurant les citoyens et dissuadant les délinquants potentiels. » Toute personne souhaitant obtenir plus d’informations ou intégrer le dispositif de Participation citoyenne peut se rapprocher de la police municipale au 06 07 25 76 04. .