La sécurité, c`est l`affaire de tous n°21 PAGES SPÉCIALES Congrès Nantes 2012 ........................................... 7 > 11 Nouveau bureau exécutif ........................................................... 4 Infos congrès Beaune et régions ............................................. 5 PARTENARIATS AVEC L’ASTEE et L’AFE . ................................... 12 > 14 COLLOQUE AMF-ATTF NANTES 2012 Prévention des risques professionnels Les échanges ont été animés par Bruno LEPRAT, journaliste, et placés sous la présidence de Jacques PELISSARD président de l’Association des Maires de France excusé et représenté par Yves METAIREAU qui souligne l’intérêt du partenariat. Ce colloque a été l’occasion de nombreux et enrichissants échanges constructifs entre participants et intervenants. Ils ont, tant pour les élus que pour les techniciens contribué à la qualité de la séance. En ouverture Dominique MICHEL et Yves METAIREAU remercient les participants et mettent en exergue la nécessaire complémentarité entre les techniciens et les élus pour ce véritable enjeu que représente la mise en place d’une politique d’hygiène et de sécurité. Partenariats Colloque Nantes 2012 Retour sur le 44è congrès Infos congrès Bureau exécutif Édito Dominique MICHEL souligne que le couple technicien / élu doit permettre d’améliorer les situations. Ce colloque prolongeant les actions communes - se propose de faire le point sur les connaissances indispensables, les pistes d’actions envisageables et de prendre en compte l’expérience acquise, tant par les élus que par les techniciens - souvent agents de prévention et interfaces au quotidien entre les uns et les autres - les contraintes règlementaires mais aussi morales» et développer ainsi une ambiance porteuse de synergie de progrès dans nos collectivités. Collectivités responsabilité exposée ? Bruno Leprat Yves Métaireau Trois sortes de prévention Yves Métaireau, maire de La Baule, décrit les types de prévention recensés par l’organisation mondiale de la santé OMS > la prévention dite primaire», qui comprend tous les actes destinés à réduire les risques avant apparition et avant constat d’éventuelles conséquences. Cette prévention a pour but d’éliminer les risques à la source». > la prévention secondaire» qui, elle, comprend les actes destinés au dépistage des maladies en lien avec le travail, de préférence avant qu’elles ne se déclarent. Cette prévention veut aider les agents à faire face à l’exposition aux risques. Par exemple à La Baule, dans le cadre de notre réflexion sur le bien être et pour lutter contre les RPS en particulier, une assistance téléphonique psychologique» a été ouverte 24 h/24 pour écouter les agents sur le plan professionnel ou personnel». > la prévention tertiaire», enfin, qui comprend tous les actes destinés à limiter les effets des maladies professionnelles installées, à prévenir les rechutes» et à favoriser la réinsertion des salariés. Ce type de prévention est curatif, indique Yves Métaireau. Elle doit réduire et compenser les troubles dus à des risques que l’on n’a pas su ou pu éviter». Premier à ouvrir la réflexion, Luc Brunet, juriste à l’Observatoire SMACL des risques territoriaux, a indiqué que si la sécurité devait être considérée comme une priorité» dans les collectivités, leurs élus et managers devraient accepter qu’elle ait un coût formation des agents, matériel aux normes, organisation optimale du travail,etc». Il a ensuite signalé que la sécurité devait primer sur toute considération y compris les exigences de service public». À l’appui de son propos, une décision de tribunal correctionnel du 17 janvier 2004, jugeant que le principe de continuité de service public, mis en avant par une collectivité pour se défendre après la mort d’un de ses rippeurs lors d’une manœuvre de camion dans une impasse, n’implique pas que le service de ramassage soit assuré à la porte de chaque habitation et n’interdit pas que des regroupements soient aménagés». Après l’accident, a commenté Luc Brunet, la collectivité a ainsi décidé de ne plus desservir l’impasse et imposé aux usagers un point de ramassage au début de la rue». Enfin le juriste a recommandé aux collectivités, afin de ne pas voir leur responsabilité exposée, d’être intransigeantes» sur le respect des consignes de sécurité. L’employeur est tenu à une obligation de résultat. C’est dire qu’il doit fournir aux agents un matériel adapté et diffuser les consignes mais aussi s’assurer de leur effectivité». Et d’ajouter Si un agent ne met pas les équipements de sécurité à disposition, il doit être sanctionné. En cas d’accident, la collectivité pourra se retourner contre lui». Il conclut avec une recommandation préciser aux agents le Qui fait quoi» et le Qui est responsable de quoi». Cela nécessite de rédiger les procédures - et sortir de la culture de l’oral». Cela signifie aussi que la dimension sécurité» doit être intégrée dans les fiches de poste pour responsabiliser les acteurs». 8 Lettre T - numéro 21 - janv. fév. mars 2013 L’ATTF adresse ses remerciements à tous ceux qui ont permis la réussite de ces journées, et en particulier aux animateurs et intervenants. Dominique MICHEL et Jean Paul TRUFFY les intervenants Dominique MICHEL Président de l’ATTF Yves METAIREAU Président de l’association des maires 44, maire de LA BAULE Luc BRUNETSMACL-Assurances Xavier SEGUETTECentre de gestion 44 Johan LEONIDEGroupama Gisèle GOYAC Maire adjointe VERTOU Laurent BERNARD Agent de prévention VERTOU Propos recueillis par Bruno Leprat La sécurité, c’est l’affaire de tous !» Luc Brunet Édito Bureau exécutif Infos congrès Retour sur le 44è congrès Colloque Nantes 2012 Partenariats Xavier Seguette Technicien préventeur au CDG 44, Xavier Seguette a quant à lui, indiqué que la prise de conscience est l’étape qui déclenche actions et formations». Et d’expliquer ce paradoxe un accident grave est souvent déclencheur d’actions, or les collectivités sont sensées intervenir en amont pour que l’accident n’arrive pas, et c’est souvent parce qu’il est arrivé que l’on nous demande d’intervenir». Le préventeur suggère que cette prise de conscience soit collective». La sécurité est l’affaire de tous !» sachant que du salarié à l’élu, chaque strate est impliquée, l’autorité territoriale disposant en outre, de ressources ayant une mission spécifique assistants et conseillers de prévention, agents chargés de missions d’inspection, membres du CT/CHSCT, médecin - et à l’extérieur, du CDG bien sûr». Comment articuler ces compétences ? Xavier Seguette propose que l’autorité territoriale impulse et affiche clairement» sa volonté - cela sera plus efficace que le discours d’un agent qui se débat pour sensibiliser ses collègues» - et qu’une structure soit dédiée, outillée du document unique pierre angulaire de toute démarche», afin que la prévention reste un domaine dynamique parcouru de démarches et de projets». Le représentant du CDG, enfin, a décrit les effets d’un accident Tout le monde est perdant. La victime, qui souffre de douleurs, d’un trauma psychologique ou de handicaps de la vie courante ; les collègues, qui sont désorientés par l’événement, et lors de l’absence de l’agent, doivent faire son travail, ou accueillir un remplaçant ; la collectivité, qui est confrontée à des réorganisations dans un contexte tendu, au coût de l’affaire, voire à des suites juridiques, des frais d’avocat, une médiatisation négative, etc». Johan Léonide Pragmatique, Xavier Seguette conclut en précisant que si la prévention est urgente» à diffuser plus amplement dans la FPT, elle prend du temps pour que les agents comprennent l’intérêt d’appliquer ces démarches. Il faut donc ne pas être trop ambitieux, et y aller pas à pas» les agents y adhéreront d’autant plus facilement». Le document unique outil clé» de la prévention Johan Léonide, ingénieur prévention chez Groupama, a souligné, lors d’un point sur le document unique que c’est l’ outil clé» de la prévention, la criticité du sujet. Aujourd’hui, au regard du contexte, réglementaire d’une part, économique et social réduction des coûts et des effectifs dans la FPT, vieillissement des agents, etc. d’autre part, les questions de santé et sécurité au travail deviennent un sujet d’actualité ; je les décris même comme primordiales, tant en matière de préservation des ressources humaines» que comme levier d’amélioration des conditions de travail». Pourtant les collectivités peinent à se lancer dans des démarches construites et suivies. Johan Léonide estime nécessaire d’expliquer aux élus qu’ils ne sont pas seuls. Une démarche demande des initiateurs, du temps et des compétences. Mais les collectivités ont des alliés ! Elles sont entourées d’acteurs qui peuvent les aider et accompagner les CDG, le CNFPT, le Fond national de Prévention, mais aussi les assureurs ou des prestataires spécialisés ergonomes, consultants en management, psychologues du travail et experts des RPS, etc. Ces profils doivent être bien choisis. Un préventeur interne est un catalyseur» et son implication doit être forte pour faire passer les messages». Il préfère toutefois élargir son propos Un autre facteur est capital à mes yeux c’est l’implication. Elle est indispensable, du niveau le plus haut de l’autorité territoriale pour ancrer» les actions dans les objectifs de la collectivité aux agents qui vivent les risques au quotidien, et sont les mieux positionnés pour donner le point de vue opérationnel». Johan Léonide pointe pour finir l’importance des régulateurs d’une démarche préventive au sein des collectivités les ACMO, devenus assistants et conseillers de prévention» par un décret de février 2012. 9 Lettre T - numéro 21 - janv. fév. mars 2013 prévention des risques professionnels Expérience/Témoignage collectivité La ville de Vertou [22 000 habitants] se situe à quelques km de Nantes au sud ouest de l’agglomération et emploie 300 employés environ Parole d’élue > Gisèle Goyac Partenariats Colloque Nantes 2012 Retour sur le 44è congrès Infos congrès Bureau exécutif Édito Il s’agit d’un enjeu humain» Pourquoi défendre en interne ces postes d’assistants de prévention ex-ACMO, à l’heure où chaque collectivité s’interroge sur le meilleur emploi possible de ses ressources humaines ? Mais c’est la loi - et une bonne loi ! Depuis 2004, Vertou a deux agents assistants de prévention, et leur rôle est essentiel ; il est celui d’être à l’interface entre tous les rouages de la collectivité les élus, la direction générale, les encadrants, le service des ressources humaines et les agents. Ils sensibilisent à la problématique de la sécurité, donc à celle de la santé. J’apprécie leur vigilance pour explorer les causes des accidents, afin qu’ils ne se renouvellent pas, et en anticiper d’autres. De cette vigilance et de leurs analyses dépen- dent des aménagements de postes, des achats d’équipements ou la remise en cause de notre organisation auxquels je consens très volontiers. Quel message êtes-vous venue passer» aux techniciens territoriaux et à vos collègues élus présents à Nantes ? Je voulais témoigner de l’importance de ces questions de sécurité, afin qu’elles entrent ou perdurent dans les préoccupations des employeurs publics territoriaux. Il s’agit d’un enjeu humain, afin de prévenir les risques de tous genres, comportementaux et psycho-sociaux en particulier qui sont un genre croissant. Mais cette préoccupation sécuritaire» comporte aussi un enjeu financier. Moins d’accidents, cela se traduit sur l’absentéisme, donc sur l’efficience de notre collectivité - et en cela, cette préoccupation interne rejoint la gestion intelligente des fonds publics que nous devons à nos concitoyens. De quelle action passée ou de quel chantier en cours êtes-vous la plus fière ? Je ne veux pas isoler une action, car c’est la dynamique d’ensemble qui doit être soutenue, sa cohérence mais aussi les résultats qu’elle engendre forcément. Le travail est partenarial le Centre de gestion, la médecine du travail, tous les services ont contribué à la mise en place de notre document unique. Ce document est une étape clé dans l’appropriation d’une démarche par chaque agent, chaque chef de service. La sécurité est une chaîne, et tous les agents la composent. Le document unique invite à l’analyse des risques, à des actions correctives mais aussi à une prise de conscience que la santé au travail est un droit, et que la garantir appartient à une politique durable des ressources humaines. riches échanges entre intervenants et participants 10 Lettre T - numéro 21 - janv. fév. mars 2013 COLLOQUE AMF-ATTF NANTES 2012 Parole d’ACMO Bien connaître les métiers de la collectivité Laurent Bernard est assistant de prévention ex-ACMO à Vertou. Nommé en 2004, il est en charge par ailleurs de la location des salles de la commune. Il témoigne de sa fonction Comment aurait-on pu l’éviter ? Telle est la question qu’un assistant de prévention AP, lorsqu’un accident survient, se pose et se re-pose». Laurent Bernard Gisèle Goyac Édito Bureau exécutif Infos congrès Retour sur le 44è congrès Colloque Nantes 2012 Partenariats C’est une fonction sensible que celle d’AP, très suivie - en principe - par les élus et les managers, également proche des agents. Il faut être volontaire, et je vois des collègues qui ont été nommés contre leur gré. Rien ne suivra la loi est respectée, mais sur le papier ! Cest aussi une fonction exigeante, qui demande de connaître les procédures et les métiers. De savoir écrire des synthèses et argumenter. D’être curieux. Et de susciter la confiance des agents. Car ils vont beaucoup nous voir, et parfois, nous troublerons leurs habitudes. Des fiches et des stages Si des élus ne sont pas convaincus de la nécessité d’une prévention, ils bloqueront toute décision équiper tels agents, modifier telle organisation, etc. Ce qui les sensibilise ? La peur d’être pris pour responsable d’un accident, bien sûr. Mais je crois plus à l’argument du bien-être des agents en sécurité, travaillent mieux et partent moins en congés maladie. C’est aussi un argument pour des élus employeurs. en tribune Je ne suis pas pour autant l’encyclopédie» de l’hygiène et la sécurité. Nous avons des stages, des fiches adressées par le CDG. Exemples de thèmes les nuisances sonores, travailler en hauteur ou élaguer en toute sécurité. À moi ensuite, de voir dans les services où réside le risque, et d’amener les agents à procéder autrement. Ce ne sont pas forcément des dépenses matérielles. Réorganiser une tournée de ramassage de poubelles ne coûte rien». en salle Pour en savoir plus... 11 Lettre T - numéro 21 - janv. fév. mars 2013Mercredimatin, le dispositif de la participation citoyenne est devenu officiel aux yeux de tous, puisque le premier panneau a été
Publié le 12/03/2003 à 0000 La sécurité c'est l'affaire de tous »... La direction départementale de la sécurité publique DDSP de Tarn-et-Garonne martelle actuellement ce slogan et tente d'en convaincre les jeunes en menant des actions de sensibilisation auprès des établissements scolaires tarn-et-garonnais. Lundi, les policiers étaient au lycée Montauriol. En avril, ils seront au lycée agricole de Capou... etc. Sécurité? Insécurité? Les policiers ont choisi de traiter plusieurs thèmes au contact des élèves les incivilités, les violences scolaires, familiales, urbaines, racket..., l'alcool et les produits stupéfiants, le civisme, le respect de soi et des autres, le rappel à la loi, le rôle et les missions des policiers. Depuis le début de cette année, les fonctionnaires de la DDSP ont décidé de privilégier le thème de la sécurité routière, sous l'angle de la consommation d'alcool et de l'usage des stupéfiants. A l'appui de leur action, les policiers soulignent que 26 % des accidents corporels concernent la tranche d'âge des 15/24 ans, et que la vitesse et le défaut de maîtrise, mais aussi le refus de priorité... et l'alcool, apparaissent comme les facteurs aggravant de cette accidentologie. Un message d'autant plus pertinent à délivrer aux jeunes tarn-et-garonnais que ce département pointe en sixième position sur les 95 départements français au niveau de la dangerosité de ses routes. ALCOOL, STUPEFIANTS Les élèves montalbanais ont reçu ou recevront au cours des prochaines semaines, un policier animateur et formateur anti-drogue. De la même manière ces élèves devraient se voir proposer une animation avec le simulateur de conduite de la DDE. Dans tous les cas, ces visites des forces de l'ordre dans les collèges et lycées de Montauban permettent de rappeler quelques constantes au service de la sécurité port de la ceinture à l'avant comme à l'arrière, port du casque sur les deux-roues, rappel des taux d'alcoolémie légaux, effets de l'alcool sur l'organisme, comportements liés à l'alcool... Au chapitre stupéfiants, sont passés en revue les grandes familles de produits et les effets qu'ils induisent, leur répercussion sur la santé mentale et physique du sujet, la vente et la consommation des produits stupéfiants... Autant d'éléments portés à la connaissance de ce jeune public qui, une fois informé, peut être en mesure de se prémunir... C'est là toute la philosophie de cette action lancée dans le département il y a deux ans. exemplaires et des tas de bons conseils La sécurité c'est l'affaire de tous » est aussi le titre d'un recueil diffusé à exemplaires auprès des établissements scolaires, des CCAS et de la fédération des aînés ruraux, de la CCI 1... Ce livret balaye une multitude d'aspects Les violences familiales et conjugales », qu'elles soient verbales, psychologiques, physiques, sexuelles, ainsi que les violences faites aux enfants, avec à la clé des numéros utiles... Le harcèlement ou le viol » avec là aussi des infos pour les victimes y compris mineures sur la conduite à tenir, étant entendu que sur ce type de faits, les mentalités ont évolué, au sein de la police qui prend mieux en compte la détresse des victimes, et de la part des victimes elles mêmes qui osent de plus en plus souvent, rompre le silence... Sécurité en milieu scolaire » avec quelques conseils de bon sens pour limiter les risques de vols et d'agressions et la conduite à tenir en tant que victime, ou en tant que témoins de faits graves qu'il convient de signaler... Personnes âgées, prévention et attention » avec dans ce chapitre, les précieux conseils de prudence visant à déjouer la ruse des voleurs à domicile, mais aussi l'action des malfaiteurs dans la rue, les personnes âgées étant fréquemment victimes de vols à l'arraché... Ce recueil aborde aussi la sécurité routière » avec un rappel du triste palmarès du Tarn-et-Garonne, 6e département français sur 95 en matière de dangerosité des routes, l'alcool » et la drogue » avec un rappel des numéros utiles offrant une prise en charge de la prévention et des soins... Il offre également de précieuses informations sur le cheminement d'une plainte... ______ 1Ce recueil très utile est également disponible à l'accueil des services de police et de gendarmerie de Montauban.
Et loin de l’adage – « la sécurité est l’affaire de tous » – l’on peut vous dire que que « la sécurité est, en réalité, l’affaire de SERI ! » SARI Sécurité a fait du gardiennage live vidéo à distance (GVLD) sa spécialité. Son PC de commandement est particulièrement impressionnant et efficace. SERI Sécurité. 8A
24 octobre 2013 Les policiers de la BAC de Toulouse interpellent un braqueur de bijouterie, et des déménageurs à proximité font de même avec son complice ! Mercredi 23 octobre dans la matinée, deux hommes casqués font irruption dans une bijouterie de luxe du centre-ville de Toulouse 31 et exigent la remise du contenu du bijoutier parvenant à faire donner l'alarme, les deux malfrats se voient obligés d'accélérer la commission de leur forfait, et prennent la fuite avec tout de même un sac de bijoux d'une valeur de plus de 100 000 euros !Arrivés rapidement sur les lieux, les policiers de la Brigade Anti-Criminalité interpellent l'un des deux braqueurs, porteur du sac rempli des bijoux ce temps, des déménageurs ayant entendu l'alarme parviennent à maîtriser son complice, et le remettent aux effectifs de la BAC en vue de son deux malfrats sont placés en garde à vue, et la brigade criminelle de la sûreté départementale de Haute-Garonne poursuit l'enquête.
Des Citoyens agressés à coups de couteau, de marteau, de barre de fer, à Paris et dans plusieurs autres villes de France. Des patrouilles de Sentinelle qui subissent des attaques verbales ou physiques, la dernière en date à la voiture bélier. Fait tout aussi grave, une voiture qui réussit à s’introduire sur les pistes d’un aéroport. Sur ce dernier cas, on ne peut que s’interroger comment le conducteur n’a pas été arrêté plus tôt alors que par deux fois il a pris deux autoroutes en sens inverse de circulation » ? La facilité avec laquelle il est entrée sur l’aéroport doit nous interroger, tout comme doit nous interroger la difficulté rencontrée par la Gendarmerie Nationale, les Douanes et la Police Nationale a l’interpeller comme le montre les vidéos diffusées dans les médias. Mais ce qui nous pousse le plus à nous interroger ce sont la multiplication de ces attaques et la rapidité avec laquelle l’exécutif nous dit ” pas d’amalgame” et met la piste du déséquilibré en avant quasi systématiquement. Il nous faut donc réfléchir différemment et adapter nos réponses à ce qui se trouve être pour l’instant non plus des attaques suicides de masse mais des actions de loups » solitaires en lien ou non avec DAESH. Le renforcement des Forces de l’Ordre, l’armement généralisé des Polices Municipales ainsi qu’une extension en la matière pour la Sécurité Privé et certains citoyens sont une des priorités d’action immédiate. Il faut aussi, à côté de cela, que les Citoyens se responsabilisent pour être en mesure d’appliquer la loi* lorsque la situation l’exige. La vérité en matière de sécurité n’est plus dans l’ancien temps ». Grégory Baudouin Délégué national à la Sécurité et à la Défense *Article 122-7 du Code pénal traitant de l’état de nécessité, articles 122-5 et 122-6 du Code pénal traitant de la légitime défense, articles 223-5/6/7 du Code pénal relatifs à la non-assistance, articles 53 et 73 du Code de procédure pénale faisant référence au flagrant délit ou à l’interpellation.Lasécurité, l’affaire de tous Le partage de la route en toute sérénité est possible ! Il convient d’adopter les bons réflexes parce qu’à vélo, la sécurité n’est pas une option. La Fédération française de cyclotourisme vous propose quelques rappels utiles avant de monter sur le vélo. Cliquez ici pour accéder aux
Notresécurité est l'affaire de tous 24 octobre 2013 Les policiers de la BAC de Toulouse interpellent un braqueur de bijouterie, et des déménageurs à proximité font de même avec son complice !
Bonjour à tous, Cet exercice a pour but de vous accompagner dans l'analyse de la consigne du sujet. Il vient compléter le document pdf mis en ligne sur la base Dissertation n°1 la sécurité est-elle l'affaire de tous?, semaine 1 analyse du sujet. Vous trouverez dans un premier temps une question vous invitant à réfléchir aux différentes composantes de la notion de sécurité. Dans un second temps, vous serez invités à classer les parties du cadrage en fonction de leur pertinence au regard de la question du sujet. Bon courage à tous!Gestiondes risques en milieu hospitalier : La sécurité des soins est l'affaire de tous. La qualité et la sécurité des soins sont au centre des actions mises en oeuvre par les pouvoirs publics, amenant les établissements de santé à renforcer leurs actions en matière de gestion des risques. Un sujet dont s'emparent aussi les assureurs. La sécurité sur les pistes de ski alpin est assurée dans chaque station par le service des pistes composé de personnels qualifiés spécialement formés et entraînés les pisteurs-secouristes, les conducteurs d’engins de damage, les nivoculteurs, les artificiers, les observateurs nivo-météo, les maîtres-chiens d’avalanche, les opérateurs du central des pistes. Mais la sécurité c’est aussi l’affaire de tous! Pour que votre séjour se passe au mieux et sans encombre, des règles sont à respecter. Alors prenez un instant pour connaître ces règles en visionnant le reportage ci-dessous. Les 8 règles du Piste X Code La difficulté des pistes Pour sécuriser la pratique du ski alpin, les pistes sont classées en quatre catégories identifiées par un code couleur selon leur niveau de difficulté. Des balises sont positionnées sur l’un des bords de la piste pour vous permettre de vous repérer. Elles sont numérotées par ordre décroissant et indiquent le nom de la piste sur laquelle vous évoluez. Par exemple, le chiffre 1 sur fond vert signifie que vous êtes arrivé en bas d’une piste verte. Autrement dit, en bas d'une piste de niveau facile. En cas d'accident, les indications "nom de la piste" et "n° de balise" doivent être communiquées pour faciliter l’éventuelle intervention du service des pistes. A titre d'information, seules les pistes déclarées ouvertes sont contrôlées par les pisteurs, en dehors de celles-ci vous évoluez à vos risques et périls. Pour précision, sont affichés sur les lieux de passage les plus fréquentés le bulletin météorologique et le bulletin sur le risque d'avalanche. Se préparer avant son séjour - Préparé Le ski ou le surf reste un sport. Alors pensez à vous échauffer, à doser vos efforts et vous hydrater correctement et tout ira bien! - Équipé Pour bien skier, vous devez d’abord choisir un matériel adapté à votre niveau technique, votre taille et votre poids. Le réglage et l’entretien des fixations sont ensuite essentiels pour limiter les risques en cas de chute ou de choc. Pour cela, demandez conseil dans les magasins spécialisés. - Protégé La tête est très exposée dans les sports de glisse. Pour limiter les traumatismes, portez un casque! - Assuré Les secours sur pistes ne sont pas gratuits... Avant de vous lancer, vérifiez que vous êtes bien assuré. En savoir plus sur l'assurance ski... LAISSEZ-VOUS SURPRENDRE Réservez votre forfait
Lesspécialistes de la cybercriminalité se réunissent cette semaine à Monaco afin de sensibiliser la population pour mieux résister aux pirates informatiques. Votre navigateur est obsolète.SÉCURITÉ - Un accident du travail coûte cher en amitiés, en compétences, en énergie, en argent... Bien sûr, l’employeur doit assurer la sécurité des salariés. En réalité, la sécurité est l’affaire de tous chacun est responsable de sa sécurité et de celle des autres. Détaillons. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Sed bibendum, sapien nec interdum commodo, ex elit feugiat velit, vel tincidunt nibh massa nec turpis. Phasellus rutrum pulvinar tristique. Aenean vel maximus velit. Integer in purus dictum, commodo diam sed, facilisis metus. Duis sed consequat nisi. Phasellus et risus neque. Curabitur mattis, nibh ac finibus bibendum, nulla augue commodo ipsum, vitae tristique urna felis in velit. Cras et eleifend lorem, in convallis leo. Fusce id nibh et leo congue convallis. Vivamus imperdiet ipsum sit amet felis condimentum, a lobortis felis rutrum. Integer ullamcorper, turpis in aliquet tincidunt, est tellus volutpat leo, id pretium massa nibh sed orci. Pellentesque ac viverra lacus. Class aptent taciti sociosqu ad litora torquent per conubia nostra, per inceptos himenaeos. Ut ut ante eget nulla volutpat tempor. Donec commodo leo mi, congue blandit leo euismod ut.
La sécurité c'est l'affaire de tous, ça n'est pas uniquement l'affaire des forces de l'ordre», vient de rappeler aujourd'hui même le
Ali Kahlane plaide pour "La prise en compte de la cyber sécurité par l'ensemble des acteurs, au niveau de chaque continent, de chaque État, de chaque institution, de chaque entreprise, de chaque citoyen. "A travers le monde, pas une seule entreprise n’est à l’abri d’une cyber-attaque. En quoi consiste cette menace ?Une cyberattaque est un acte de malveillance qui peut cibler différents dispositifs informatiques. Cela peut être des ordinateurs, des serveurs ou toute intelligence matérielle et numérique tels que les smartphones ou tout objet connecté à Internet ou pas d’ailleurs. Il existe en fait quatre types de risques ou menaces la cybercriminalité, la déstabilisation, l’espionnage et le sabotage. Ces cyber risques affectent directement ou indirectement aussi bien les particuliers que les administrations et les et son pendant visible, le World Wide Web qui a beaucoup évolué au fil des ans, n’est plus le gentil réseau que l’on connaissait à ses débuts. Très vite de nombreux méchants personnages ont joué sur ses vulnérabilités pour attaquer les ordinateurs et tout ce qui s’y connecte. Dans un premier temps c’était surtout pour récupérer des données sensibles auprès d’utilisateurs imprudents, c’était la plus commune des menaces. Dans la plupart du temps, tout cela se faisait sans que la victime s’en rende compte, jusqu'à ce qu'il soit trop tard. Mais ça c’était avant. 60% des problèmes de cybersécurité dans l'entreprise, dans le monde viennent de l'intérieurComment ces pirates de l’informatique arrivent-ils à s’infiltrer aussi facilement dans l’entreprise via le net?L’Internet est un endroit fantastique pour communiquer pour s’informer ainsi que pour travailler. C’est l’une des innovations humaines qui a le plus radicalement changé jusqu’à notre façon de vivre. La quasi totalité de la population mondiale s’y connecte. Sur les 7,76 milliards d'humains sur Terre en 2020, près de 61% utilisent Internet alors que 65% d’entre eux possèdent un téléphone un an, le nombre d'utilisateurs du web s'est accru de près de 10 %, tandis que la population mondiale n'a progressé que de 1 %. Les réseaux sociaux ont eux aussi vu leur public s'accroître et comptent plus de 3,8 milliards d'adeptes, soit 49 % de l'humanité, dont plus de 50% y est connecté nuit et jour. L’Algérie n’est pas en reste avec ces plus plus de 26 millions de connectés à Internet 59% de la population dont 22 millions utilisent les réseaux sociaux avec 95% sur de connectés à Internet et d’utilisateurs actifs sur les réseaux sociaux est un terrain propice pour tous les maliciels qui grouillent dans le cyber espace tel un capharnaüm de germes et de bactéries infectieux, numériques. Tout cela rend tout ordinateur ou dispositif connecté vulnérable. L’entreprise, encore plus que tout le reste à cause des dégâts que cela peut occasionner en très peu de temps et à moindre coût. Nous savons que 60% des problèmes de cybersécurité dans l’entreprise, dans le monde viennent de l’intérieur. Aucun appareil, aucune entreprise n'est à l'abri!En Algérie, cela peut dépasser les 80%. Cette différence de taux est dû au peu de sensibilisation des utilisateurs aux risques qu’ils comportent, à la méconnaissance ou à la non utilisation des outils de protection et de précaution aussi bien actifs que passifs. Mais pas que car, paradoxalement, l’instabilité de notre connexion, la faiblesse du débit internet associées au peu de numérisation des entreprises algériennes concourent à l’augmentation des cyberattaques et exacerbent la vulnérabilité de nos entreprises, qui ne sont pas ou très peu protégés face aux maliciels de tout bord. Les menaces de cyberattaques sont réelles et de plus en plus dangereuses, causant de grands peut aller du fait des employés indélicats ou imprudents dont la négligence est exploitée pour subtiliser des codes d’accès et compromettre des données ou des systèmes d’informations jusqu’aux attaques en bonne et due forme qui seraient effectuées par des professionnels pour eux-mêmes ou pour le compte de quelqu’un qui les rétribuent pour se sont les types de menaces auxquelles nous sommes confrontés Il existe de nombreuses menaces malveillantes pouvant se déclencher ou s’installer à tout moment et dans toutes les situations. Pour faire simple, on peut identifier au moins une dizaine de types menaces de cyberattaques pouvant être utilisées soit par des personnes réelles soit par des robots ou bots ou la combinaison des Algérie, ces actes de malveillance trouvent un terrain propice dans la méconnaissance du danger et le peu de sensibilisation ds utilisateurs, ajoutés à l'instabilité récurrente du réseau InternetEn Algérie, ces actes de malveillance trouvent un terrain propice dans la méconnaissance du danger et le peu de sensibilisation ds utilisateurs, ajoutés à l'instabilité récurrente du réseau InternetCes menaces sont les spams, Advertisement et Software ou publiciel, le cheval de Troie, les virus, les vers, le phishing ou hameçonnage, les logiciels espions ou spyware, les keyloggers ou encore KeyGrapbber, le pharming et, enfin le logiciel de sécurité de type Escroc ou Rogue security software Chacune de ces menaces est expliquée en détail dans un encarté.En Algérie l’entreprise est-elle outillée pour répondre à ces attaques? Y a-t-il une compréhension du risque par le chef d’ Loi n° 18-07 du 10 juin 2018 relative à la protection des personnes physiques dans le traitement des données à caractère personnel qui a été promulguée le 20 janvier 2020, complète et renforce l’arsenal juridique qui existait jusqu’à présent pour encadrer le domaine numérique et ses environnements. C’est un bon début pour mettre de l’ordre et mieux protéger le cyberespace ailleurs, nous devons reconnaître une carence manifeste de statistiques sur les dommages qu’occasionnent les cyber attaques et les maliciels d’une manière générale dans notre pays. Le manque d’implication de l’Etat dans la sensibilisation à la cybersécurité et surtout l’absence d’une politique nationale de cybersécurité rend toute analyse difficile. Il appartient maintenant aux institutions interpellés dans cette Loi de passer à l’action pour mettre en place les dispositions et dispositifs prévus. Notamment l’installation de celui relatif à la sécurité des systèmes d’information qui prévoit notamment l'élaboration d'une stratégie nationale en matière de sécurité des Systèmes d'information, incluant des investigations numériques en cas d'attaques cybernétiques ciblant les institutions nationales y compris les entreprises privés et publiques. Sans oublier la mise en opération le plus rapidement possible de l’Autorité nationale de protection des données personnelles. Des outils dont l’Algérie avait énormément besoin pour mieux protéger et promouvoir son économie numérique une demande en la matière de la part du chef d’entreprise algérienne? De même les compagnies d’assurance proposent-elles ce produit?Il faut poser la question à un professionnel des Assurances pour la deuxième partie de votre question. Par contre je peux dire que la confiance et la cybersécurité sont les deux piliers de l'entreprise de demain. Nous sommes dans une économie mondialisée, il est important de souligner que tout au long de l'histoire économique, c'est bien la confiance qui a contribué à favoriser l'éclosion de l'économie marchande. C'est donc la prise en compte de la cybersécurité par l'ensemble des acteurs - au niveau de chaque continent, de chaque État, de chaque institution, de chaque entreprise, de chaque citoyen - qui assurera l'émergence de l’économie numérique au niveau d’un pays. L’Algérie n’a jamais été aussi proche d’une bonne fenêtre de tir pour réussir sa transition recueillis par Meriem Chibane de la revue CNAPublié la première fois par la Revue du Conseil National des Assurances CNA, dans son dossier Cyber-Assurances, Page 18-21, mars 2020.| Жягаջէзуч азιճ | Ю абաφ | ኽ брεскեዬагը | Ρяпроኪ ቶձቇዤум |
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Vous les avez vus surement sur les routes des vacances, ces panneaux jaunes à l’entrée des villages, avec cet œil au milieu qui vous fixe. Parfois noir, parfois bleu, Comme pour dire hé toi attention je te l’ai… à l’œil. La plupart du temps, désignés par le maire, citoyen volontaire, le voisin vigilant est censé rapporter à la police ou la gendarmerie, tous les faits qu’il peut trouver suspects. Les détracteurs parlent de délation, les promoteurs répondent pas du tout, nous créons du lien entre voisins. Alors que la sécurité promet d’être l’un des thèmes de la campagne présidentielle à venir, alors que le président Macron a appelé lui-même a une société vigilante. Voisins vigilants, la sécurité peut elle être l’affaire de tous ? Avec nous pour en parler Virginie Malochet, Sociologue à l’Institut Paris Région et chercheuse associée au CESDIP Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales ; Matthieu Valet, commissaire de police, porte-parole du Syndicat Indépendant des Commissaires de Police ; Thierry Chicha, Co-fondateur des Voisins Vigilants et Solidaires ; Juliette Méadel, Présidente du 1er groupe d'opposition à la mairie de Montrouge. Ancienne Secrétaire d’Etat chargée de l’Aide aux Victimes 2016-2017 Programmation musicale Relax, Rejjie Snow 2021 Les séquoias, Pomme 2021
Hôpitalde Jolimont à La Louvière : la sécurité des patients est l'affaire de tous 22 janv. 2019 à 12:17 • 2 min Par Mathieu Van Winckel, Daniel BarbieuxAccueil / A la une / Saint-Genis des Fontaines la sécurité est l’affaire de tous Frédéric Régnier, responsable de la police municipale ; Nathalie Regond-Planas, maire de Saint-Genis des Fontaines et le major Walter Lens, commandant de la brigade de Gendarmerie nationale de Saint-Genis des Fontaines / 4 octobre 2021 A la une, Territoires Samedi 2 octobre, plus d’une trentaine de Saint-Genisiens, dont de nombreux délégués de quartier et élus, ont répondu présent à l’invitation lancée par Nathalie Regond-Planas, maire de Saint-Genis des Fontaines, et l’équipe municipale, pour une réunion de présentation du dispositif de Participation citoyenne. Le major Walter Lens, commandant de la brigade de Gendarmerie nationale de Saint-Genis des Fontaines, était aux manettes de cette séance, avec l’appui de Frédéric Régnier, responsable de la police municipale. Tous deux représentent autant de corps qui travaillent au quotidien en étroite collaboration pour assurer la sécurité de tous. Walter Lens a rappelé que le dispositif de participation citoyenne est une démarche de sécurité globale et solidaire. Celle-ci implique la commune, l’Etat et les forces de sécurité, à savoir la Gendarmerie nationale. Elle consiste à sensibiliser les habitants en les associant à la protection de leur environnement. » Pour cela, les Saint-Genisiens doivent adopter une attitude vigilante, prendre le réflexe d’informer les forces de l’ordre en cas de doute ou d’un constat de comportement suspicieux. Mais attention, il est hors de question pour eux de se substituer à l’action de la gendarmerie. Une telle démarche pourrait les mettre dans une situation à risque. Vous devez capter une information, essayer de récupérer un maximum de détails et ensuite appeler le 17. La gendarmerie s’accaparera alors du dossier » précise Walter Lens à l’auditoire avant de détailler quelques comportements ou réflexes à adopter par les référents pour qu’ils optimisent leur travail. Dans le cadre de ce dispositif, la Gendarmerie nationale compte s’appuyer sur les délégués de quartier qui ont été installés il y a quelques mois par la municipalité actuelle. Mais toute bonne volonté est la bienvenue. En effet, plus le maillage de référents et d’habitants, qui sont les yeux et les oreilles de leur quartier, sera dense, plus le système sera efficace. Enfin, cet engagement renforcera les solidarités de voisinage en créant ou recréant du lien social. Il renversera ainsi le sentiment d’insécurité en rassurant les citoyens et dissuadant les délinquants potentiels. » Toute personne souhaitant obtenir plus d’informations ou intégrer le dispositif de Participation citoyenne peut se rapprocher de la police municipale au 06 07 25 76 04. .