Ledocumentaire vainqueur « I was hungry, you gave me to eat » (J’avais faim et vous m’avez donné à manger) raconte la poignante histoire des personnes frappées par la sécheresse à Korr, Kenya, et a, comme protagoniste, une fille avec des problèmes mentaux. En racontant l’histoire et la genèse du documentaire, le metteur en scène, le salésien indien P. Jiji
J’avais faim et vous m’avez donné à manger ! » Matthieu 25 Seigneur et Père, nous te rendons grâce pour ton Fils. Il est avec nous ! Au lieu même de nos réussites, de nos joies et de notre bonheur. Il est avec nous ! Dans les nuits de la peur, dans la souffrance et la faim, dans les peines et la soif. Il est avec nous ! Dans la tempête de nos combats, dans le temps des longues maturations, au cœur des patientes attentes. Seigneur et Père nous te rendons grâce pour ton Fils. Dans son Esprit, nous nous donnons par amour pour nos frères. Dans son Esprit, nous nous consumons pour aider ceux qui peinent. Dans son Esprit, nous sommes les témoins de tes victoires et de ta Résurrection. Amen. abbé Ch. TRICOT
Car j’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais étranger, et vous m’avez recueilli ; « J’étais nu, et vous m’avez vêtu ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus vers moi » (Matthieu 25:34-36). C’est la manière du Seigneur de prendre soin des personnes dans le
Jésus parlait à ses disciples de sa venueQuand le Fils de l'homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire. Toutes les nations seront rassemblées devant lui; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des chèvres il placera les brebis à sa droite, et les chèvres à sa gauche. Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite 'Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la création du monde. Car j'avais faim, et vous m'avez donné à manger; j'avais soif, et vous m'avez donné à boire; j'étais un étranger, et vous m'avez accueilli; j'étais nu, et vous m'avez habillé; j'étais malade, et vous m'avez visité; j'étais en prison, et vous êtes venus jusqu'à moi!' Alors les justes lui répondront 'Seigneur, quand est-ce que nous t'avons vu? Tu avais donc faim, et nous t'avons nourri? Tu avais soif, et nous t'avons donné à boire? Tu étais un étranger, et nous t'avons accueilli? Tu étais nu, et nous t'avons habillé? Tu étais malade ou en prison. Quand sommes-nous venus jusqu'à toi ?' Et le Roi leur répondra 'Amen, je vous le dis chaque fois que vous l'avez fait à l'un de ces petits qui sont mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait.' Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche 'Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le feu éternel préparé pour le démon et ses anges. Car j'avais faim, et vous ne m'avez pas donné à manger; j'avais soif, et vous ne m'avez pas donné à boire; j'étais un étranger, et vous ne m'avez pas accueilli; j'étais nu, et vous ne m'avez pas habillé; j'étais malade et en prison, et vous ne m'avez pas visité.' Alors ils répondront, eux aussi 'Seigneur, quand est-ce que nous t'avons vu avoir faim et soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ?' Il leur répondra 'Amen, je vous le dis chaque fois que vous ne l'avez pas fait à l'un de ces petits, à moi non plus vous ne l'avez pas fait.' Et ils s'en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle.
Dimanche14 novembre 2021- Culte de 10H30Lecture : Matthieu 25, 31-46Abonnez-vous à la chaîne du temple du marais pour être notifié des prochaines prédicat
35 Car j'avais faim, et vous m'avez donné à manger ; j'avais soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais un étranger, et vous m'avez accueilli ; 36 j'étais nu, et vous m'avez habillé ; j'étais malade, et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venus jusqu'à moi !' Voir le passage complet Une analyse attentive des trois premiers versets nous a permis d'éviter le dualisme bons / méchants. Elle semble confirmée plus loin 34 recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la création du monde. 41 Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le feu éternel préparé pour le démon et ses anges. Le Royaume est pour nous, les brebis, tandis que le feu éternel n'est que pour le démon et ses anges. Peut-être après un arrachement difficile à certains démons intérieurs auxquels nous tenons... Mais il y a un "car" qui sonne comme une condition. N'allons-nous pas devoir revenir en arrière, et distinguer ceux qui remplissent cette condition et ceux qui ne la remplissent pas ? Regardons de plus près cette sextuple "condition" répétée quatre fois. Le sens littéral Une charité active est décrite de six manières qui font penser aux restos du coeur. On peut donc prendre ce texte comme un encouragement à s'engager dans des oeuvres caritatives. Il n'y a pas à critiquer cette manière d'entendre le texte au premier degré elle est juste pour certains, pour un temps. Mais elle peut être ressentie comme insuffisante La misère du monde est un abîme sans fond. Pourquoi me demander l'impossible ? Si ma charité est guidée par la peur de l'enfer, elle est intéressée. Je serai stressé par le doute en fais-je assez ? Je n'ai peut-être pas les capacités ou le temps de m'engager ainsi aux service des pauvres. Le salut serait-il pour les riches qui peuvent donner ? L'attitude du pharisien satisfait de sa générosité est condamnée par Jésus Lc 18,9-14 Des sens symboliques Prenons la première image j'avais faim, et vous m'avez donné à manger. S'il ne s'agit pas seulement de faim physique, qu'est-ce que cela peut évoquer ? Quand la Bible parle-t-elle de faim, de nourriture ? La Manne donnée aux hébreux dans le désert Ex 16. Les tentations aux déserts Ce n'est pas seulement de pain que l'homme doit vivre, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu Mt 4,4. La multiplication des pains L'eucharistie Jésus prit du pain, prononça la bénédiction, le rompit et le donna à ses disciples, en disant Prenez, mangez ceci est mon corps » Mt 26,26 La faim pourrait être une faim de Parole, la faim du Verbe qui se donne en nourriture. Le texte m'inviterait à "évangéliser" ? mais qui suis-je pour croire que j'ai la vérité et que je dois la porter aux autres ? Et puis, le Christ est le "pain", c'est lui qui nourrit. Comment pourrait-il avoir faim... de sa propre Parole ? De question en correspondance, je continue à chercher. Lors de la multiplication des pains, Jésus dit à ses disciples Donnez-leur vous-mêmes à manger » Mt 6,37. Les disciples que nous sommes forment l'Église, le corps du Christ. Donner à manger, serait-ce se donner à manger ? Nous serions à la fois convives et nourriture ? Au risque de se perdre Dans ma recherche, je risque de dévier vers des idées délirantes. Comment rester dans "le droit chemin" ? En restant dans la Bible telle qu'elle est, et non pas dans mes idées. Un moyen peut-être de m'intéresser aux passages rebutants, ceux qui semblent contredire ce que je pense. Mes idées seront secouées, première étape d'une "conversion". D'autres seront plus sensibles à la musique, à la poésie du texte et "ne se prendront pas la tête". En partageant la Parole avec d'autres, en cherchant avec d'autres. L'Eucharistie est un lieu privilégié pour cela, il faudrait que les homélies soient dialoguées... Certaines lectures peuvent être profitables, dans la mesure où elles me renverront à un travail sur le texte biblique lui-même. Mais si elles disent ce qu'il faut croire, elles resteront stériles. Quand je crois avoir trouvé la bonne explication, attention ! je risque de ne plus cheminer. Je peux alors chercher dans le texte ce qui va contre mon interprétation. Et humblement, me remettre en marche. "Ne demande jamais ton chemin à quelqu'un qui le connaît, car tu pourrais ne pas t'égarer". Aphorisme de Rabbi Nahman de Bratslav Des sens existentiels Ils sont bien sûrs infinis, chacun est sensible à telle ou telle harmonique du texte. Peut-être un écho se fera-t-il avec un évènement extérieur, la rencontre d'un pauvre... Quand le texte est travaillé, qu'il m'habite, l'assise en zazen aide à "descendre" pour ne pas rester superficiel. Lâcher les idées, le mental, l'envie de trouver... Nettoyer les parasites, lâcher même les plus belles pensées. Les laisser brûler au feu de l'Amour. Rejoindre la Présence dans mes entrailles. Serait-ce Lui, le pauvre ? Le germe divin qui a faim. L'étranger, dont la Parole est pour moi tellement étrange, et qui voudrait simplement être accueilli tel qu'il est. Celui que je rends malade de tout ce que j'avale. Celui qui reste emprisonné dans mes passions. Simplement le visiter. Demeurer avec Lui. M'ajuster à Lui... et voilà que la brebis prend dans le texte le nom de "juste". Les justes ignorent leur justesse, ils s'étonnent Seigneur, quand est-ce que nous t'avons vu... ? Comme peut-être l'abbé Pierre, ils ne comptent pas leurs mérites. Ils regardent ceux Celui qui sont encore mal logés. Ils ne sont plus dans la connaissance du bien et du mal. Ils sont délivrés du souci de "gagner le paradis" ils le goûtent déjà. Les pauvres, vous les aurez toujours avec vous Mt 26,11Si la charité ne sert ni à vaincre la pauvreté, ni à entrer au paradis, à quoi sert-elle ? A rien. L'amour utile n'est plus de l'amour. Aimer ne sert à rien. J’avais faim et vous m’avez donné à manger. J’étais un étranger et vous m’avez accueilli. J’étais nu et vous m’avez habillé. J’étais malade et vous Le deal à ne pas rater Coffret Pokémon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français où le ... Voir le deal COMMENCEMENT. Corbeille Aller à la page 1, 2 AuteurMessageInvitéInvitéSujet le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1423 Louhan allez monte. Puré il fait frais, j’ai froid aux jambes moi. Monte ou sinon je te fait grimper moi-même si tu n’es pas encore en état… » Louhan tourna la tête vers le conducteur, ou plutôt la conductrice. Il avait la tête appuée sur l’appui-tête de son siège, il fixa Charlotte, ou Stephanie il savait plus. Du moins il n’arrivait jamais à savoir entre elle et sa sœur. Il la regarda, ba quoi il allait pas foutre le chauffage en été. Elle avait qu’à pasmettre de mini jupe pour son service. Il soupira, cherchant avec sa main la poignée. Il ouvrit la portière et sortit difficilement certe. Je peux encore monter seul chez moi…merci de m’avoir déposé » répondit-il. Il la regarda partir et s’alluma un joing. Après tous il n’était plus à ça près. Il était cinq heures du matin. Son service ayant finit à 3 heure il avait eut deux heures pour se prendre 1,6 gramme de coke, deux bouteilles de vodka et une de rhum. Puis L’une des jumelles Stewton avait décuidé de rentré chopant par la même occasion le jeune home. Pas très sympa de l’interrompre dans sa super soirée. Super soirée, quelle ironie. Il avait terminé son travail se sentant abject. Hopeless hantant ses pensées. Là c’était assez dur de penser à la jeune fille. Allumant une clope il monta les escaliers un à un. Assez lentement pour pouvoir encore tenir debout. L’appartement n’était pas fermé. Heureusement car il n’aurait jamais réussit à rentrer dedans. Il alluma juste une lampe près du canapé, pour ensuite aller à la salle de bain. Il regarda son reflet défoncé, ses traits tirés, ses joeus creusées. Oui il était bien un junkie comme tous le monde le pensait. Il prit trois cahcets censé faire passer le mal de tête. Lui il voulait juste faire passer l’alcool le mal de tête lui permettait de pas trop se concentrer sur un autre mal. Il but ce verre abject. Grimaçant il retourna à son visage. Quelques secondes plus tard il du se précipiter vers les toilettes pour régurgiter quelques verres voir une bouteilles au moins d’alcool. Il s’essauya la bouche reprenant des médicaments. Puis il repartit dans le salon. Zippo en main il alluma un joing. Il fixa cette porte close. Tristan. Où es-tu ? Je ne t’ai jamais demander de revenir car je sais que tu es avec elle. Que vous êtes ensemble…mais j’ai tant besoin de toi. Pourquoi tu peux pas être là. Je peux rien faire…je sais pas comment faire Il tourna la clef dans la serrure, la porte s’ouvrant doucement. Le noir total. Il fit un pas, l’ambiance étrange. Un cadre lui faisant face. Deux jeunes hommes, quasiment semblabes. Assis sur du bitume, riant , amusé d’une blague commune sans doute. Le même regard, les mêmes tatouages. Louhan peu reconnaissable, des tatouages en moins, une vie en plus dans ses yeux. Le jeune homme s’approcha de ce souvenirs, cette pièce recouverte de photos, de souvenirs. Avec une guitare posé sur une banquette abimée. Louhan s’approcha de cette banquette, jouant quelques accords. Il posa cette guitare, s’allongeant dans cette pièce qui encore une fois lui rappelait le passé. Ses yeux se fermèrent peu à peu, son visage crispé par Tristan se mélangeant avec Hopeless… InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1444 J'avais faim. Depuis combien de temps je n'avais pas mangé ? J'avais l'immense flemme de me faire à manger. Deux jours ? Oui, sans doute. Ça faisait deux jours que je n'avais pas mangé correctement ce qui pouvait se voir. Mon corps tremblait doucement, alors que mes pas résonnèrent. J'étais la seule, dans la nuit totale et j'avais peur. Peur du noir. Mais pas que du noir non plus. Peur de ce qui allait se passer avec Louhan, car j'étais bien décidée à aller le voir, de nouveau quitte à ne rien lui dire. Seulement le regarder, vivre. Je voulais seulement le voir. Son regard bleu et son sourire provocant. Je voulais seulement voir ça. Lui. Louhan. Ce doux prénom qui faisait si mal, qui me rendait malade autant qu'il me tuait. Louhan. Mes pas accélèrent, je stressais comme une grosse malade dans la nuit. Dn plus, j'entendais des voix d'hommes. Or, je ne pouvais courir, car je n'en avais pas la force. Et Louhan qui habitait dans un quartier qui craint. Un jour, j'allais lui crever les yeux pour avoir habité ici. Son immeuble était là. Je montais les marches, doucement. Fatiguée. Il était tard. Ou plutôt tôt. Je ne savais pas à quelle heure finissait Louhan alors j'étais venue chez lui, tard. Il était cinq heures du matin surement. Je baillais, doucement. Il fallait que je le vois. Maintenant. Dernier étage, la porte de son appartement. Je toquai doucement. Pas de réponse. Je toquai une nouvelle fois. Pas de réponse. J'enclenchais la porte, dieu merci elle était ouverte. Louhan, tu es là? » demandais-je d'une petite voix, timidement. Pas de réponse non plus. Une porte était ouverte, cette porte close qui m'intriguait. Allais-je me faire tuer et découper en petit morceaux par la suite ? Tant pis. J'entrouvris la porte, délicatement. Il était là, allongé sur le sol, les yeux fermés. Il était beau, terriblement beau. Je souris, peu de temps, avant de grimacer. Il aurait dû m'entendre, là. Pourquoi ne bougeait-il pas ? Effrayée, je m'approchais de Louhan en vitesse, le secouant. Louhan, tu me fais quoi là ? » Ne le voyant pas ouvrir les yeux, je le secouais, encore. Il commençait sérieusement à me faire peur. Je pris peur, sans savoir pourquoi. Il était là, ne répondant pas. Je levai la tête, regardant autour de moi et vu une photo, de deux garçons. Je ne les voyais pas bien, tant pis. Je m'en foutais à vrai dire. Parce que Louhan ne répondait toujours pas et que mon cœur se serrait de plus en plus. Répond moi, Louhan bordel ! Répond moi ! InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1750 A travailler, à se droguer et à boire il allait un jour finir par crever. Il le savait mais arès tous, tous le monde finissait un jour par mourir. Et Louhan était persuadé qu’en mourrant il rejoindrait Tristan. Pourquoi ne pas le rejoindre dirctement ? Ce serrait facile à vrai dire, une voiture qui va trop vite, un saut dans le vide, une corde, trop de coke, trop d’alcool. Il avait le choix, trop de choix. Mais à chaque fois qu’il y avait pensé, à chaque fois qu’il avait vouluit le faire. Il y avait ce souvenir. Cette dernière nuits, ensemble, rien que tous les deux. Et Tristan lui faisant juré de vivre pour deux, cette promesse sceller par leur lèvres se collant l’un à l’autre pour échanger le même air, un air plein de tabac. Alors il ne pouvait le faire, car aussi bizarre que cela pouvait paraître c’était Tristan qui depuis des années le forçait à pas aller jusqu’à l’overdose. Même mort il le forçait à ne rien faire de trop absurde. Alors pourquoi ne l’avait-il pas forcer à ne pas tomber amoureux de cette fille ?Louhan s’était endormit sur ce canapé, la guitare de Tristan posée à terre, dans cette univers qui pouvait sans doute le ramener au temps où il n’y avait pas encore tous ces souvenirs. Où il y avait juste le présent et l’interrogation de savoir se qu’ils ferraient le lendemain tous les deux. Il était défoncé, bien soule aussi. Il aurait vraiment du mal le lendemain matin. Ca présageait un mal de tête féroce. Mais pour le moment il avait sombré dans les bras de Morphé. Il n’entendit pas sa porte s’ouvrir. Ca pouvait être dangereux, n’importe qui pouvait pénétrer son appartement mais il y avait peu de chose à voler vu que cette pièce était toujours fermée. Il ne la sentit pas approcher. Comment l’aurait-il pu ? Il se sentit alors secouer. Pourtant il n’arrivait pas à réagir. Trop dans son sommeil. Qu’on le laisse tranquil. Il voulait juste dormir mince. Il ne bougeait pas. Pourtant il fut tellement secoué, reconnaissant cette voix affolé. Il sortit peu à peu de son sommeil. Puré impossible de dormir tranquil. Il repoussa un peu Hopeless essayant de retrouver ses souvenirs, se qui se passait. Il refit vite surface néanmoins. La voyant la face à lui. Que faisait-elle ici ? Pourquoi était-elle là ? Pourquoi venait –elle le voir comme si il avait une réel importance ? C’est alors qu’il repéra où ils étaient. Le lieu. La chambre. Que faisait-elle ici ? Louhan pourtant apaisé resota sur ses jambe où du moins d’abord en mode assis il se leva rapidement. Dégages…qu’est-ce que tu fous ici ? Sort !!! » Sa voix furieuse brisant le silence. Il la prit par le bras, la forçant à se tirer de cette pièce. Il la tira violament vers la sortit. Un remake de la scène où un jour il était en manque mais peut-être en plus furieux. Il claqua la porte de la pièce derrière lui. Cachant son visage dans ses mains. C’est alors qu’il réalisa se qu’il avait fait, il réouvrit la porte sortant dans le salon. Sur une Hopeless qui n’avait pas bougé. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1845 Et s'il venait à mourir. Nan mais c'est vrai quoi, il avait un mode de vie plutôt étrange. S'il venait à mourir comment je ferai moi ? C'était égoïste, je le savais, mais là, à ce moment même, je ne voulais pas m'imaginer vivre sans lui, sans ce putain de regard bleu qui avait envahit mon esprit sans oser en repartir. Il était là, graver et je ne pouvais m'en passer. Non. Jamais. C'est pour ça que j'étais présente, chez lui dans cette pièce étrange à le secouer de toutes mes forces alors que mon cœur lui, ne battait plus. Il ouvrait les yeux lentement et je soupirais. Quel con ! Il emmargea peu à peu sautant sur ses jambes se levant rapidement. Dégages.. Qu'est-ce que tu fous ici ? Sors ! » Me prenant par le bras, il me faisait mal. Il m'avait jeté comme une vulgaire chose à la porte. Je ne compris pas. Il était dans la pièce et moi aussi. Ce qui me laisserai le temps de trouver une excuse bidon pour ma présence ici. Fouillant dans mon sac, je trouvai son débardeur. Bingo, j'allais m'en sortir. Il ouvra la porte, doucement. Il était vraiment horrible. Enfin, pas physiquement horrible mais, ses yeux étaient tellement rouges, sans vie. Pire que quand nous nous étions vus au bar. Il avait du se droguer, après. Encore. Je soupirais lentement. Pourquoi m'était-il sa vie en danger, ainsi ? Et pourquoi la drogue ? Je sais pas, il y a de nombreuses autres choses dans le monde. Pourquoi ça ? Ne tenait-il vraiment pas à vivre ? Un de ces jours il allait en crever, chose que je ne voulais pas. Absolument pas. Je m'approchais de lui, dangereusement, sortant son débardeur de mon sac. Je voulais te rendre ça.. » dis-je d'une petite voix, lui tendant. Nous étions à quelques centimètres, il ne bougeait pas. Je soupirai, le posant sur la petite table alors que je n'avais pas bougé. Non. Toujours cette même proximité entre nous deux. Enivrante, mais surtout vertigineuse. J'avais la tête qui tournait, les jambes qui tremblaient. Instinctivement, je m'accrochai à Louhan - ce ne fut pas la meilleure idée de ma vie - trop faible pour attraper quelques choses d'autres. Mais qu'est-ce qui m'arrivait ? Pourquoi étais-je devenue si faible, si tremblante d'un seul coup ? Ma tête se posa lourdement sur l'épaule de Louhan, j'essayais de la relever. Aucune réponse de ma tête devenue trop lourde. J'aurais dû édition par Hopeless J. Shinedown le Dim 27 Juin - 2235, édité 1 fois InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 2118 Je voulais te rendre ça.. » Louhan la regardait, la face à lui. Elle avait quelque chose dans ses mains. Louhan regarda un instant le bout de tissu. Puis il remonta le regard vers Hopeless sans rien dire. Comprennant alors que c'était un de ses débardeurs, il n'en eut pourtant pas grand chose à faire. Elle le posa sur la table basse, sans bouger d'un pas. Elle était là. Si près de lui. L'observant comme un animal de foire. Il ne comprennait pas. Il allait bien, qu'elle le laisse tranquil. Il allait bien, qu'elle s'en aille. Il allait bien, pourquoi revenait-elle pour troubler cette paix instorée par la drogue. Nan pourtant elle était là. Après tous se qui s'était passé comment pouvait-elle être là? Il la regardait essayant de savoir comment réagir. Mais son cerveau encombré par du coton semblait plus savoir. Etait-ce la drogue? Où alors simplement qu'il ne savait plus comment se comporter. Un sience s'installa entre eux. Pesant, Louhan ne disait rien. Dos à la porte qu'il avait refermé. Face à elle, si proche de lui et pourtant si loin en même temps. Que devait-il faire? Comment pouvait-il effacer ces images de sa tête? Comment pouvait-il faire confiance à une fille qui disait l'aimer mais qui avait coucher et eut une relation de couple avec un autre? Merci... tu aurais pu le garder mais c'est...sympa » répondit-il au bout d'un moment. Sa voix calme et posé, une voix blanche de toute émotions. son cerveau refusant de comuniquer autre chose. Quel heure était-il? N'avait-ce été qu'un rêve? Tout ce qu'il avait vut ces dernières heures n'avait-il été qu'un cauchemard? Pourtant tous semblait si réel, si proche, si douloureux. C'était cette douleurs qui lui broyait la poitrine qui lui montrait que c'était réel. Et il se haissait que seulement une fille puisse le mettre dans cet état?. Quoi c'était pas la fin du monde? Ce n'était qu'une fille. Non ce n'était pas qu'une fille. C'était cette fille , et elle remettait tout en cvause, elle faisait tous remonter. Il la regarda, que devait-il lui dire? Car il en avait aucune idée. Néanmoins elle avait une sale tête, pas autant que lui certe. Mais elle avait l'air crevé et affamé. C'était facile à deviner car la jeune fille mangeait comme dix d'habitude et que là il vit rapidement . Il la regarda toute trace de colère refoulé. Tu veux manger quelque chose? » InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 2343 Le silence, c'était ça le pire. Aucun bruit, seulement son souffle et le mien. Trop proche, beaucoup trop proche. L'idée de l'embrasser me vint à l'esprit, mais je la rembarrai aussitôt, c'était une mauvaise initiative, car je ne savais pas comment il allait réagir si jamais je venais à toucher ses lèvres. Ses lèvres qui m'appelaient sans le savoir. Ses lèvres que je regardais un bon moment, avant de plonger mon regard dans le sien, vide. D'habitude si provocant, si joueur. En trois petits mots, il avait perdu ce qu'il était. Ce garçon si sûr de lui. Trois petits mots qui avaient changé ma vie. Trois petits mots qui avaient relancé mon cœur, pour mieux le briser. Pourtant, je n'avais pas de quoi avoir le cœur brisé, mais savoir Louhan souffrir à cause de moi, ça me tuait. Je n'étais qu'une fille parmi tant d'autre. Pourquoi moi ? Pourquoi m'avait-il dit ça à moi ? Pourquoi pas à une autre, une fille plus simple, une fille qui lui ressemble, une fille qui aurait pu trouver les bons mots pour le faire revenir. Une fille qui aurait pu l'aimer sans le faire souffrir, car je l'aimais oui, mais au final il avait mal. Ça se voyait. Il n'avait jamais été aussi froid avec moi, jamais aussi distant. Je regrettai ces nuits simples mais douces dans ses bras, sans ces trois mots. Sans sentiments. Sans rien. Merci... Tu aurais pu le garder mais c'est.. Sympa. » il me répondit, enfin. La voix dénué de sentiments. Si distant. Je soupirais. Sentir son odeur à longueur de temps ? Autant directement sauter d'un pont, ce serait plus simple. Sa peau était si lisse, si dure, si.. Rah non, je devais m'interdire de divaguer ainsi. Mon ventre gargouillant et sans le vouloir je m'accrochais légèrement à Louhan. Tu veux manger quelque chose ? » Je le regardai, serrant les lèvres et souris intérieurement. C'était déjà bien, il ne me haïssait pas jusqu'à me faire mourir de faim. Euh, oui je veux bien, s'il te plait.. » dis-je en rougissant, timidement. Pourquoi je rougissais ? Je ne savais pas. Mais je rougissais, souriant bêtement, ne le regardant plus dans les yeux. Je me reculai et le suivis dans la cuisine, m'asseyant sur la première chaise qui se trouvait dans la pièce, beaucoup trop faible et fatigué pour faire un pas de plus. J'avais seulement envie de manger là. Manger Louhan ? Encore plus mais bon, ça, c'était une autre histoire. Baillant, je croisais mes bras et posa ma tête dessus, regardant Louhan se débrouillait à me préparer un truc de mangeable. Je souris. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1108 Euh, oui je veux bien, s'il te plait.. » Il hocha la tête sans un mot. Il la regarda, elle lui sourit doucement rougissant. Il la regarda sans rien dire. Ce truc qu'il aimait tant, sa réserve que faisait qu'elle rougissait tous le temps, ce sourire timide. Il aurait voulut lui ordonner d'arreter ça, ça faisait trop mal. Mais il n'en fit rien. Il tourna les talons allant vers la cuisine. Il tourna juste avant la clef dans la cerrure. Toujours autant fuireux qu'elel y ai n'ajouta rien. La cuisine, toujours avec ce bordel continuel. Louhan se nourissait peu, il avalait des fruits, des céréals, du lait et du café. Pas de viande, ni rien d'autre. La drogue servait à la combler l'estomac lorsqu'il avait trop faim. Il l'entendit s'assoir sur une chaise; il ne vérifia pas. Non moinbs il la voyait moins son coeur semblait imploser. Il ouvrit le frigo, bière, vodka, fruit, bière et encore bière. Il trouva auissi un paquet de clope. Surprit il le posa sur le haut de son frigo avant de renfermé la porte, ouvrant un placard il en sortit un paquet de céréal, il tendit aussi du pain. Débarassant légèrement la table des paquet de clopes, cendrier, livre et fait divers il lui posa ça devant elle. Puis lui donna un bol et des couverts. Il y avait rien dans son appartement; mais en même temps il y avait peu souvent des invités à faire manger ici. Il y a pas grand chose d'autre.. si tu veux des fruits sert toi dans le frigo» L'einforma -t-il levant à nouveau les yeux vers elle. Etrange sa présence ici, là sans se toucher, sans ce petit truc, sans être se passa une main dans ses cheveux court, sortant un verre il le remplit d'eau y plongeant de nouveau un médicament. Si il finissait pas drogué il finirait addict aux médocs. Il le laissa se diluer dans l'eau, sortant une clope. Il partit chercher son zippo. Le voyant sur le meuble, il se rappela quelques jours plutôt Hopeless jouer avec, l'allumant avec joie. Il détourna les yeux allant chercher un autre briquet dans un meuble. Puéril peut-être mais rien que cela faisait mal. Il revint dans la cuisine, Hopeless devait être fatiguée vu sa tête. Quoi? Que devait-il faire? Pouvait-il jouer encore longtemps ce rôle d'être serviable malgré tous ça. De ne pas lui crier dessusn de ne pas la détester. Non il ne pourrait pas rester longtemps mais il savait qu'il ne pourrait pas non plus la détester. C'était impossible tous simplement. Il s'accouda à l'évier, les yeux posé sur la table. Silencieux, le bruit de son médoc efervescent rompant juste le silence. Pas de musique pour une fois. Il posa du tabac sur sa feuille et roula une cigarette. Silencieux avant de la porter à ses lèvres l'allumant. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1200 Que pouvais-je faire pour le rendre de nouveau normal ? Pour pouvoir glisser ma main dans la sienne, pour pouvoir toucher ses lèvres, si parfaites ? Je ne savais pas quoi lui dire, encore moins quoi faire. Pourtant, il allait falloir que je trouve, car ce silence était pesant et je voulais tout régler. Je voulais être avec lui, le voir sourire. Le voir vivre et en découvrir un peu plus sur sa vie, petit à petit et non pas sur cet être distant et maladroit. Celui qui souffrait en silence, mais qui se trahissait par son regard. Je pourrais tout donner pour rester dans son regard, pour voir cette étincelle de provocation qui lui était fidèle. Or à cet instant, il n'y avait plus que de la peine, de la haine et de l'amertume. Je ne voulais pas qu'il me déteste, je ne voulais pas qu'il ai une fausse imagine de moi. Et pour ça, je devais parler. Mais pas maintenant, moi, il déposa un paquet de céréales et du pain. Puis un bol et des couverts. Il y a pas grand-chose d'autre.. Si tu veux des fruits sert toi dans le frigo. » Il regarda en ma direction, je fuyais son regard trop bleu. Merci.. » soufflais-je doucement, lui souriant en coin. Une fois qu'il eu détourner le regard, je le regardais à mon tour. Il était beau, encore plus quand il se passait la main dans les cheveux. Une fois de plus, mon cœur rata un battement. Je versai des céréales dans le bol, mâchant lentement. Même le fait de voir ce bol et ces céréales me rendaient nauséeuses. Ils me rappelaient un matin, où j'avais dormi chez lui et que nous avions déjeuné ensemble, aussi banalement qu'un couple normal. Je me souviens que ce matin-là, j'avais souri, pour rien. J'avais souri, car ce banal je voulais en faire mon quotidien, avec lui. Je le regardais bouger, à l'instant même, allant chercher un briquet surement. Le bruit de son médicament qui se diluait dans l'eau me paru bruyant. Serait-ce parce que ce silence était trop étouffant ? Je n'osais même pas mâcher ayant peur que cela fasse trop de bruit. Avalant une nouvelle cuillère, je baissais le regard. Il était là, adosser à l'évier, le regard fixait vers la table. J'avalai difficilement, m'apprêtant à parler. Écoute Louhan je.. Je suis désolée. Demain, j'irai parler à Nathaniel parce que, même si tu risques de le nier, je sais que ça te fait mal au fond, ton regard te trahit. » Ton si beau regard bleu, pensais-je. Et que, même si ça ne mène à rien, même si ça ne ressemble à rien, même si ça se terminera mal, je.. Je veux essayer. Essayer d'être avec toi, même si c'est dur, même si c'est impossible. Je veux être avec toi. » Je terminai ma phrase, le regard sur le bol. Je n'avais pas envie d'affronter son regard et je craignais ses mots. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1440 Les seuls bruits qui brisaient le silence étaient ceux de son médicament et les céréals de Hopeless. Rien de plus. Louhan fumait en silence, fixant cette table sans rien dire. Qu'est-ce qui était à dire? Il prit un cendrier plus loin et y déposa la cendre sans ce soucier du reste. Une voiture passa à vive allure dans la rue en bas. Il n'y pretta pas attention. Ils se faisaient face, pourtant incapable de se parler. Rien, il n'y avait rien à dire. autant pour Hopeless que pour lui. Il sentait cette atmosphère tendue. Écoute Louhan je.. Je suis désolée. Demain, j'irai parler à Nathaniel parce que, même si tu risques de le nier, je sais que ça te fait mal au fond, ton regard te trahit. ... Et que, même si ça ne mène à rien, même si ça ne ressemble à rien, même si ça se terminera mal, je.. Je veux essayer. Essayer d'être avec toi, même si c'est dur, même si c'est impossible. Je veux être avec toi. » Louhan releva la tête. Elle ne le regardait pas. Elle avait les yeux posé sur son bol. Il ferma les yeux, la machoire serrée. Pourquoi retourner le couteau dans la plaie? Mais si il se répétait qu'entre lui et Hopeless rien ne pourrait se passer, quel était donc ce truc que lorsqu'elle termina sa phrase il ressentit? Il secoua légèrement la tête, comme si il voulait s'éclairicr les pensées. Non rien ne pourrait fonctionner, il la détruirait. Il préférait se détruire lui plutôt qu'elle car au finale ça serrait se détruire tous les deux. Il tendit la main vers son verre, le faisant tourner entre ses mains il le regarda. L'eau moitié blanche. Il le porta à ses lèvres et but le liquide d'un coup. Grimaçant il reposa le verre dans l'évier. Restant adosser au rebords de l'évier. Tu devrais rester dormir ici cette nuit...ma voiture et resté sur le parking du bar et c'est dangereux que tu rentres à pieds à cette heure là... donc tu peux dormir dans ma chambre. » dit-il. Sa voix neutre, brisant le silence. Calme, serein. Ca lui couptait d'agir comme si de rien était mais s'était ainsi. De plus il avait vraiment besoin de dormir pour voir se que cela ferrait les idées moins embrouillées. Il souhaitait juste que cela ne soit pas pire, que la douleur ne soit pas plus intense. Il avait parlé sans faire par de se qu'avait dit Hopeless. Il se remit debout, écrasant sa cigarette. Et tu verras demain ce que tu ferras... ou pas » continua-t-il. Ne voulant rien dire de plus. Il prit son paquet de clope, et une bouteille de bière fraîche. Passant dans sa chambre il prit juste un oreillé pour lui; laissant le reste à Hop'. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1516 Il était là, adosser à l'évier, à ne pas bouger. Il me rendait nerveuse. Beaucoup trop nerveuse. Portant une nouvelle cuillère à ma bouche, mon ventre commençait lentement à cesser de me bruler. C'était bon de manger. Le bruit des céréales croquant dans ma bouche retentissait dans la cuisine. Louhan bu son médicament, grimaçant. Je souris doucement. Tu devrais rester dormir ici cette nuit.. Ma voiture est restée sur le parking du bar et c'est dangereux que tu rentres à pied à cette heure là.. Donc tu peux dormir dans ma chambre. » il avait dit ça, d'une façon tellement neutre. Dormir dans sa chambre, sans lui. Je grimaçais, mangeant une dernière bouchée de céréales. De plus, il n'avait pas fait attention à ce que j'avais dit.. L'avait-il au moins entendu ? Je soupirais. Et tu verras demain ce que tu feras... Ou pas. » Il passa à côté de moi, ne disant rien de plus. Il m'agaçait, dans sa manière d'être. J'avais envie de le frapper tellement fort pour qu'il revienne, pour qu'il soit de nouveau normal ». J'étais fatiguée, c'était vrai. Mais dormir dans sa chambre, sans lui, ça me faisait encore plus mal au ventre que lorsque j'avais faim. Je me levai, déposant mon bol dans l'évier. Je n'avais pas la force à faire ma maniaque ce soir. Passant dans le couloir, le regardant. Je soupirai et entra dans sa chambre, ne fermant pas la porte. Je n'avais pas envie de sentir cette solitude encore plus s'accrocher à moi la nuit. Je déboutonnai mon jean, le glissant le long de mes jambes et le laissa là, par-terre. Sa chambre sentait Louhan et c'était horrible. Je me mis sous les draps, mettant un bras sous l'oreiller, montant mes jambes pour les rapprocher de mon ventre. J'avais froid, je me sentais mal et son odeur me tuait. Dn plus, son oreiller sentait vraiment lui. Je fermai les yeux, doucement, une larme coula le long de ma joue. Je pleurais silencieusement. Je voulais être dans ses bras pour me réchauffer, je voulais le sentir inspirer, puis expirer. Je voulais qu'il me sert, tellement fort pour oublier. Oublier tout cela et cette pièce étrange. Il me collait à la peau, tout le temps. Dans ma tête, c'était des flashs qui n'arrêtaient pas de barrer le chemin à mon sommeil. Je le voyais, dans ce lit, souriant. Je le voyais, dans ce lit, m'embrassant. Instinctivement, je passais mes doigts sur mes lèvres, souriant. Un sourire qui devait plutôt ressembler à une grimace. Essuyant mes larmes, je remontais les draps par-dessus mon visage. Au moins eux, me protégeraient des cauchemars. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1529 Louhan la laissa dans sa chmbare. Il fut surprit de ne pas entendre la porte se fermer. allant vers son canapé il vit qu'elle l'avait laissé entre-ouverte. Il soupira, venant s'assoir sur le canapé. Fixant cette télé, pencher en avant, ses coude posé sur ses genoux. Il ne savait plus quoi faire. Il n'entendait aucun bruit provenant de la chambre. Dormait-elle? Il n'en savait rien. Il aurait aimé aller la voir, la regarder, refaire les mêmes gestes comme avant. La regarder dormir, caresser son visage, ses lèvres, jouer avec ses cheveux. La sentir se blottir dans ses bras. Louhan se mordit la lèvre. Ressentant cette même sensation que plutôt dans la soirée, dans la réserve du bar. Il porta son index à sa joue caressan sa peau humide. Pourtant il ne les fit pas disparaitre, sa tête basculé en avant, fixant ses genoux. Pourquoi ça faisait si mal? Il voulait la voir. L'avoir que pour lui. Mais quelque chose le retenait. Il resta un long moment comme ça, avant de s'allonger sur son canapé, pied nue, en jeans et tee-shirt. Il du s'assoupir un bon moment, dans un demi sommeil. Continuant d'entendre les bruits de la rue, mais ne pouvant réagir. ans un état comateux. Il du rester ainsi quelques heures. Peut-être réouvrit les yeux, la nuit dsparaissait peu à peu à sa fenêtre. Il regarda le plafond, se levant alors péniblement. Retournant dans cette chambre si fondamental pour lui, il regarda la guitare. La frolant avec ses doigts. Etait-ce tous ces secrets qui les avaient éloigné? Etait-ce que Louhan n'avait jamais voulut se confier qui l'avait poussé dans les bras de son frère? Il en savait rien et ça le tuait. De pas savoir se qu'il avait fait. Il regarda des papiers, des lettres sur le bureau en désordre. La pièce pourtant la plus rangée de l'appartement. Il regarda la plus vieille. Serrant les dents. Il retourna dans le salon, ne s'arretant pas vraiment. Pénétrant dans sa chmabre. Elle dormait. Elle était là. Les draps froissé sur elle, elle était là si belle dans son sommeil. Il vint s'assoir sur le lit, se prenant la tête entre ses mains. Il la regardait sa respiration douce, calme par le sommeil. Il avança doucement sa main. Que lui avait-elle fait pour le rendre ainsi? Si démunit face à elle. Il caressa sa joue doucement. Il se releva alors, laissa juste cette lettre près de son visage. Et tourna les arriva dans le salon, ouvrant la fenêtre il l'enjambea allant sur le minuscule balcon. S'en était pas un, mais la place avant la barrière de fer forgée pouvait servit de balcol. Il s'assit dessus, passant ses jambes entre les barres de fer, ses pieds dans le vide. Regardant la ville déjà réveillé il alluma une cigarette. Pourquoi faisait-il cela? Pourquoi donner à Hopeless toutes les piècespour le détruire? Elle avait déjà réussit une fois. Avec peu de chose elle y était parvenu. pourquoi recommencé pour que se soit pire? Mais si il devait le regretter, regretter son geste, si il devait la regretter autant que se soit jusqu'au bout. Et sinon, sinon demain, après-demain ce serrait des jours nouveau. Il était peut-être temps depuis maintenant cinq années. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1615 J'étais bien là. Dans mes pensées il était là, à côté de moi, m'embrassant. En vrai c'était son odeur qui me rendait ainsi, qui me faisait sourire alors que je ne devrais pas. J'étais bien, entre la nuit et le jour, entre la mort et la survit. Entre deux ponts. Je dormais à moitié sans vraiment le vouloir. Je sentais les bras de Louhan autour de moi, ses lèvres sur les miennes. Mon imagination me jouait des tours, mais elle eut les moyens de le faire pour de bons. Un champ. Un champ de tulipes rouges qui reflétaient dans les yeux de Louhan. J'étais en plein rêve, un doux rêve. Il était là, devant moi ses lèvres dessinaient un sourire. Le sourire de l'autre fois, le sourire qu'il avait eu quand sa carapace s'était brisée. Je me voyais, courir en riant de bons coeurs. J'échappais à Louhan qui essayait de me retenir. Un, deux, trois. Il me sauta dessus, m'attrapant les bras. Je lui souris, il me sourit. Nos lèvres se touchèrent et des papillons vinrent autour de nous, nous portant. Nous étions seuls et avions l'air heureux. Oui, ce rêve était magique. Ce rêve était bien loin de notre triste réalité. Je sentais une pression sur ma peau et bougea légèrement. Les pas de celui qui venait de me sortir de mon sommeil s'éloignèrent. Je baillai en silence, étirant mon bras. Il tomba sur une feuille. J'ouvrai les yeux, un peu. Le jour ce levai. Quelle heure était-il ? Aucune idée. Je pris le bout de papiers soigneusement et ouvrais les yeux, peu à peu, pour la lire. Je me demandais pourquoi elle était là, d'ailleurs.. Une larme coula le long de ma joue, je déposais la lettre contre le lit, délicatement. Je compris alors. Tout s'éclaircissait. Sa façon d'être distant, son penchant pour la drogue et ses tatouages, qu'il n'avait jamais voulu m'expliquer. Je comprenais aussi l'importance de sa guitare, que j'avais vu hier ou aujourd'hui dans cette pièce, bizarre. Je comprenais tout, peu à peu et avait mal pour lui. Était-ce vraiment son frère ? Ou une grande marque d'affection ? Dans les deux cas, il avait perdu son meilleur ami et je ne pouvais imaginer sa souffrance. C'était comme ne plus avoir Polly à mes côtés, une chose que je ne voulais pas me levais brusquement, cherchant Louhan. Il n'était plus sur le canapé. Je regardais partout et enfin, je le trouvai. Il était là, sur les barres de fer de l'extérieur, les jambes dans le vide. Je m'approchais de lui, doucement. Je passai mes bras autour de sa taille, posant ma tête contre son dos, fermant les yeux. Merci.. » soufflais-je doucement. Ma voix du matin était horrible. Je serrai un peu plus mon étreinte, sentant son corps collait au mien. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1811 Louhan avait beau avoir passé cinq ans à fuir cette réalité. A ne plus y penser et à la cacher aux autres, il avait finalement été rattrapé. Il aurait pu ne rien lui dire, faire comme avant, lui pardonner. Mais pardonner, comment pouvait-il le faire? Lui qui donnait si peu sa confiance, lui qui savait qu'il ne pouvait que compter sur lui. Hopeless avait bien montrer qu'il avait raison de ne faire confiance à personne. Mais faire confiance à personne c'était la perdre elle. Et quelque chose lui disait qu'il ne le supporterait pas. On lui avait voler Tristan, il n'avait pas eut son mot à dire. C'était injuste mais il n'avait rien pu y faire. Alors que Hop' , Hopeless on lui donnait la possibilité d'être avec elle. On lui donnait toute la cartes en main, alors comment pouvait-il après dire et crier à l'injustice? Non il devrait assumer ses choix, et il savait qu'il ne pourrait pas assumer celui de la perdre. Nan il ne pouvait pas lui pardonner, mais ils pouvaient tous recommencer. Après tous ils étaient tous les deux en regarda sa cendre tomber dans la vide, et plus bas, beaucoup plus bas sur le sol. Il était au dernier étage, si il avait sauter il se serrait tué. Ses yeux dans les vagues il détourna son regards de ces pensées morbides. Regardant le ciel qui devenait plus clair à l'horyzon. Il avait de la chance de sa salle de bain on voyait le couché de soleil de son salon le levé. Il n'avait pas à se plaindre. Mais il n'était jamais en état pour les contempler ni l'un ni l'autre. Il n'en voyait pas l'utilité à vrai dire. Il regardait les toits, les oiseaux qui se réveillaient et déjà en bas les gens qui passaient. Il la sentit alors, il ne l'entendit pas arriver mais la sentit derrièrelui. Il sentit ses mains autour de sa taille, frissonnant légèrement il la sentit dans son dos. Merci... » Il ne dit rien, s'appuyant contre la poitrine de la brune. Il posa sa tête sur l'une de ses épaules, ses yeux continuant de fixer l'immensité de l'horyzon. Il porta la cigarette à ses lèvres expirant ensuite la fumer. Là, assis, sentant la jeune fille dans son dos. Et il savait que plus rien ne serrait facile, mais qu'au moins elle serrait là. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1841 Je n'osais pas bouger. J'étais bien, malgré avoir légèrement froid. Contre lui, son odeur parcourant mes narines, souriant. Je pouvais enfin le toucher, de nouveau le prendre dans mes bras. Il me faisait penser à un enfant auquel on venait de lui retirer son jouet préféré. Sauf que son jouet n'en était pas un mais son meilleur ami et que ça l'avait encore plus endurcit que de perdre un simple jouet. Les morceaux du puzzle se reconstituèrent. Enfin. Enfin il s'était ouvert à moi. Enfin je comprenais pourquoi. Enfin. Cet homme que j'embrassais à ce moment même alors qu'il avait les jambes dans le vide avait beaucoup trop souffert. Au fil des mots, je m'en étais rendue compte. Je voulais partager sa douleur pour lui retirer, un peu. Pour lui retirer cette peine qui devait le déchirer. Je posa mes lèvres contre sa nuque, doucement, desserrant mes bras autour de sa taille. Je reculai, titubant et m'affalai contre le canapé, baillant longuement. J'étais fatiguée, encore. Je posa ma tête contre l'oreiller que Louhan avait prit hier soir et le regarda, toujours. Je n'avais plus peur de le regarder, aussi bizarrement cela soit. Je n'avais plus peur d'oser l'affronter. C'était horrible de se dire que maintenant que je connaissais sa faiblesse, je pouvais lui tenir tête. Je m'en voulais de penser ainsi, comme une salope, mais lui aussi connaissait l'une de mes faiblesses, mon frère. Je fermai les yeux, doucement. Je ne dormais pas, j'avais juste besoin de fermer les yeux, la lumière m'aveuglait. Je repensais à cette lettre. J'avais tellement de question à lui poser. Mais pas maintenant. Pas maintenant qu'il venait de s'ouvrir à moi. Je bailla, encore une fois, c'est court. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1956 Louhan sentit les lèvres de la jeune fille dans son cou. Il la laissa faire. Conscient qu'il lui faudrait du temps pour retrouver cette confiance et oublié peu à peu ce qui s'était passé. Il la laiss afaire puis la sentit se décoller de son dos. Il resta un moment dans la même position face à la ville. Puis il tourna la tête vers l'intérieur de son appartement. Il vit qu'Hopeless avait élu domicile sur son canapé, allongée. Elle avait prit son oreillé et avait les yeux fermé bien qu'elle ne semblait pas totalement endormie. Louhan écrasa sa cigarette. Il se leva restant en équilibre sur le bords de sa fenêtre. Pied nue entre le vide et son appartement. Cela aurait été si simple de sauter du coté de la ville. De s'envoler vers un autre endroit. Il avança son pied et sota. attérisant sur le parquet sans bruit. Il regarda l'heure de la cuisine. neuf heure et demie. C'était déjà le lendemain. Demain était aujourd'hui. Pourtant le jeune homme se sentait aussi crevé que la veille. aussi vide d'énergie. Bien qu'il se doutait que le problème n'était pas que Hopeless mais surtout la nuit qu'il venait de passer. Il observa la jeune femme sur le canapé. S'approchant il l'a prit dans ses bras un demi sourire aux lèvres. Avec souplesse il la issa près de lui et se dirigea vers sa chambre. Oui il était neuf heure mais ce n'était pas pour cela ques'était l'heure de se lever. Loin de là posa la brune sur sopn lit, puis s'allongea à coté d'elle. Ce lit jamais fait, cette chambre jamais rangé, cet appartement qu'Hopeless détestait tant. elle n'avait cessé de lui répéter. Elle détestait venir ici dans ce quartier "mal famé" comme elle disait. Lui il l'aimait son appartement, il aimait son quartier et ses habitudes. Louhan bailla légèrement, se sentant totalement épuisé. Comme si il n'avait pas dormit depuis des jours et des jours. Il regarda la jeune femme, ne sachant plus comment agir avec elle. retrouver les anciens gestes... Il ota son tee-shirt te son jeans. Le soleil se levait alors que lui comptait bien ne pas l'imiter. Se rallongeant sur son lit il attira Hopeless à lui. Déposant un baiser dans sa nuque, sur sa nan j'aime et moi aussi c'est court / InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 2047 J'avais cours aujourd'hui, à dix heures même, mais je n'allais pas y aller, autant que je n'allais pas quitter Louhan maintenant. Dans quatre vingt ans peut-être, mais pas maintenant. Non. Je voulais être avec lui, lui apprendre à vivre sans souffrir. Lui apprendre comment moi-même je vivais. En souriant au bonheur de la vie, tout simplement. Je n'ai jamais dit que c'était facile, au contraire, mais il faut savoir se satisfaire de peu pour construire son avenir. Un avenir avec des risques, des bas et surtout des hauts, parce qu'il fallait se réjouir d'être en vie alors que d'autres sont partis bien trop vite. Comme son meilleur le sentais s'approcher, son odeur le suivait, mais je n'avais pas la force d'ouvrir les yeux. Je sentais ses bras, autour de moi, me soulever. Je souris contre lui. Je m'accrochai à lui, alors que nous traversions son appartement pour aller dans sa chambre, je suppose, puisqu'il me posa sur un meuble mou, j'ouvris les yeux, un peu. Il enlevait son tee-shirt, puis son jean. Je souriais, comme une enfant heureuse. Son corps était bien foutu, n'empêche. Louhan s'allongea à côté de moi, m'attirant vers lui. Ses lèvres se posèrent dans ma nuque, me provocant un tas de frissons puis sur ma clavicule. Je soupirais légèrement, sans m'en rendre compte et souris. Doucement, j'avançais mon visage vers le sien, hésitant. Devais-je l'embrasser ou non ? Allait-il me rejeter ou pas ? Je regardais ses yeux, puis ses lèvres. Puis ses yeux et encore ses lèvres. Nos souffles se mélangeaient, doucement. Son souffle chaud et brutal avec le mien. Je me poussais légèrement pour pouvoir enfin le toucher, glissant ma main contre son torse, remontant doucement vers sa nuque pour finir par caresser sa joue, tendrement. Ça faisait horriblement bien, de se sentir en vie, seulement parce que je venais de l'embrasser. Timidement, comme une enfant. Nos lèves, ensembles. Pour toujours, car je n'allais pas le laisser partir, pas maintenant qu'il s'était ouvert, qu'il m'avait ouvert son cœur. Pas maintenant qu'il était nu, face à moi, moi la fille trop pure, mon son parfait contraire qui l'aimait, beaucoup plus qu'elle ne l'aurait souhaité. C'était fou comme je l'aimais. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 2151 Louhan avait mit sa tête sur pause, son coeur brulant sur off et tous le reste aussi. Pourquoi penser? Il ne savait pas lui même se qu'il voulait , enfin si. Il voulait être avec elle. Mais il ne savait plus quoi penser. Alors pourquoi continuer à essayer de le faire ? Il avait donc décidé de ne plus se poser de question. Et s'est ainsi qu'il conduisit Hopeless dans sa chambre. Elle était à deux doigts de sombrer dans le sommeil. Il la déposa sur le lit, rétirant alors son tee-shirt et son jeans. Seulement en boxer il s'approcha e la jeune fille l'attirant à lui. Il déposa un baiser dans son cou, respirant son parfum avec envie. Il la sentit bouger léèrement et lui sourire. Un sourire qui retournerait n'importe quel mec. Sauf que s'était lui qui était là, dans ce lit. Lui qui pourtant n'avait plus confiance en eux. Mais en voyant ce sourire, si timide ,si incertain. Il comprennait qu'il avait beau ne plus y croire, Hopeless semblait vouloir le faire pour deux si il baissait un jour les bras. Il la vit se rapprocher de visage si proche, leur souffle s'entremélant. Louhan la regardait sans bouger, appuyer sur sa main. Il ne bougeait pas, il la regardait. Ses yeux faisant l'aller-retour entre ses yeux si marron et énivrant, et ses lèvres si attirante. Il la regarda s'approcher, sentant sa main venir caresser son épaule, sa joue. Puis enfin, enfin leur lèvres se touchèrent doucement. Louhan la laissant alors l'embrasser. Alors que doucement, il commença à reprendre surface. Passant alors doucement sa main dans les cheveux de la jeune fille il répondit à son baiser. Comprenant qu'il ne pouvait rien faire de plus pour la repousser. Non il ne pouvait le faire c'était impossible. Pourquoi donc continuer à jouer au c**? Il l'attira un peu plus à lui, profitant de son parfum tandis qu'il savourait finalement ce baiser. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 30 Juin - 2236 Son regard bleu, parfois rouge, parfois vide, parfois étincelant ou provoquant. De toutes les manières que son regard soit, son regard était ma priorité, ma première pensée. Dépendante de lui, autant de ses lèvres que de sa peau collée à la mienne. Autant que lui avec moi. Maintenant tout pouvait se faire, parce que je pouvais enfin imaginer me réveiller dans ses bras le matin et prendre le petit-déjeuner avec lui, comme un couple banal. Je pouvais enfin imaginer lui prendre la main, l'embrasser dans la rue, me serrer contre lui lorsque j'aurais froid et même rester des heures avec lui s'il le fallait dans nos rues de San Fransisco. S'il baissait les bras, s'il déprimait, je pourrais être avec lui et lui dire que tout ira bien, lui redonner espoir et goût à la vie, car désormais ce sera logique. Je pouvais maintenant imaginer être sa petite amie et lui, mon petit copain, car même si nous sommes différents, même si nous venons de deux mondes opposés, je l'aimais plus que je ne l'aurai souhaité, je l'aimais quitte à ne plus jamais parler à mon frère. Nos lèvres étaient scellées, délicatement, comme la première fois qu'on s'était embrassé. Doux et destructeur. La première fois, il avait brisé mon âme pure et désormais, il brisait mon monde, mes pensées. J'étais sous son emprise, totalement envoûtée. Il me colla un peu plus à lui doucement, pendant que nos visages s'écartèrent, laissant nos souffles communiquaient à nouveau. Un sourire vint se dessiner sur mes lèves et je caressai délicatement sa peau, du bout des doigts, parcourant sa bouche, sa mâchoire, descendant. Je caressai son bras, le droit, passant sur ses tatouages, ceux dis dans sa lettre. J'embrassai timidement le nom qui apparaissait sur son bras. Baillant, je revins me caler dans ses bras, dans ses bras qui réchauffaient mon corps de glace. L'embrassant une dernière fois, je fermai les yeux ensuite alors que je sombrais rapidement dans un sommeil lourd et profond, me laissant fondre contre lui. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 30 Juin - 2247 Louhan avait bel et bien comprit qu'aujourd'hui plus rien ne serrait facile. Que pendant un temps tous serrait si difficile, si beau et si chiant. Il le savait, il s'y était engagé. S'engager avec Hopeless s'était tous recommencer, revenir à zéro, arréter le reste, tirer un trait sur le passé. En était-il capable? Le voulait-il vraiment? Il l'ignorait mais maintenant s'était fait. La machine était enclenchée et plus rien ne permettait de faire machine arrière. A présent plus rien ne serrait pareil. Seul le futur pourrait dire si oui ou non cela avait été une bonne continua d'embrasser Hopeless. Jusqu'à ce qu'elle sépare leur lèvre. Qu'ils reprennent leur souffle, qu'il voit ce sourire sur ses lèvres à elle. Il sentit sa main caresser son bras, il posa ses yeux bleu sur les doigts qui frolaient sa peau. voyant les lèvres approcher de son bras. Il ne se recula pas. Il garda quelque temps encore ces yeux posé sur ce prénom. Tristan, où es-tu? Il fut interromput dans ses pensées par un baiser d'Hopeless. Il y répondit puis la sentti se blottir dans ses bras. Elle ferma les yeux. Louhan reposa sa tête sur l'oreillé. La brune à ses cotés ne tardant pas à respirer calmement signe qu'elle dormait. Louhan reposa de nouveau son regard sur son bras. Trista. Le regardait-il? Où était-il? que faisait-il? Etait-il fière de lui? Louhan leva les yeux vers le plafond. Au dela du toit un ciel sans fin, et peut-être quelque part dans l'infinit son meilleur ami, sa vie, celui qui lui avait tout apprit même se qu'était l'amour. Celui qui grâce à lui, aujourd'hui, Louhan était avec Hopeless pour le meilleur ou pour le pire... InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Jeu 1 Juil - 1436 J'ouvrai les yeux, lentement. Depuis combien de temps dormais-je ? Assez pour avoir le cerveau brumeux. Assez pour me sentir molle de la tête aux pieds. Assez pour avoir chaud bien qu'en étant en simple tee-shirt. Je le sentais, contre moi. Sa respiration contre ma nuque. Je souris délicatement. C'était agréable de me réveiller dans ses bras, chauds et protecteurs. Je me tournai doucement, face à lui, sa respiration frappait contre mon nez. Je me collai à lui, un peu plus, glissant ma tête dans le creux de sa nuque. Je l'embrassai délicatement, remontant vers sa mâchoire, touchant ses lèvres. Cela ne le réveilla pas. Une vraie marmotte ce gars. Je l'embrassai à deux nombreuses reprises, attendant qu'il se réveille sous le léger choc de mes baisers sur sa peau. Son bras droit était passé par-dessus mon corps, venant rapprocher nos deux êtres. Je l'embrassai encore une fois et il y répondit doucement. Ses paupières s'ouvrirent, laissant place à son regard bleu endormi. Ma main vint caresser son dos, de manière tendre, comme pour ne pas le brusquer de son réveil. Bien dormi ? » lui soufflais-je doucement contre ses lèvres. Il était adorable quand il se réveillait et avait des airs d'enfants, d'enfants perdus qu'on voudrait aider par tous les moyens. Une nouvelle fois, je collai mes lèvres aux siennes sans me poser de questions, sans réfléchir au pourquoi du comment de nos disputes passées. Il était là, moi aussi. Quoi de plus important ? Ses lèvres étaient enivrantes, horriblement enivrantes. Je fondais dans ses bras, c'est court. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Jeu 1 Juil - 1521 Louhan finit par se laisser gagner par le sommeil. Glissant dans les bras de Morphé sans émettre la moindre résistance. Il se laissa aller dans ce gouffre sombre et réparateur. Loin des interrogations, des problèmes. Loin des disputes, loin de toux. Juste peuplées de créatures bizarres, de situations étranges, de rêves dérangeants mais non réel. Louhan ne sut combien de temps avait-il dormit. Dehors il faisait toujours jour, c'était peut-être déjà l'après-midi. S'étant couché le matin assez tard cela ne serrait pas choquant qu'en effet cela soit l'après-midi. Il fut réveillé, tiré de son sommeil par de doux baisers. Au début glissant entre rêve et réalité il n'arriva pas à discerner qui était quoi. Puis peu à peu il émergea Il sentit les lèvres de Hopeless appuyer légèrement plus fort. Un réveille comme celui-ci on ne pouvait demander mieux. Il répondit dopucement à son baiser, ouvrant peu à peu ses paupières. Le soleil agressant ses pupilles endormies. Il cligna des yeux quelques fois faisant enfin acte de présence dans la réalité. Bien dormi ? » Il la regarda un demi sourire aux lèvres bien que Louhan était pas le genre à sourire comme un con même sous l'effet de l'amour. Il ferma de nouveau els yeux fronçant les sourcil et étouffant un baillement. ouai...j'ai connus pire...et toi? » demanda-t-il au bout d'un moment. Bon Louhan et les conversations du matin s'était pas toujours frais et génial. Les seules conversations assez longues qu'il avait pu avoir avaient était avec Maïween mais cela finissait tuojours en engueulade et départ violent. Louhan caressa le visage de la jeune fille avant de s'éloigner de ses bras. Et essayant de vraiment se réveiller alla dans la salle de bain. Envie du matin, pisser et prendre un médicament. Il aperçut son reflet dans le miroir et soupira en se passant de l'eau dessus. Puis il sortit de la salle e bain, chopant son briquet au passage il voulut prendre une cigarette lorsque son regard se posa sur un joing, il fut surprit qu'il soit d&éjà près. Il le prit et l'alluma; revenant dans la chambre avec Hopeless. Il avait au passage prit un bol de céréals pour Hopeless et lui apporta. Le glissa sur la couverture il s'allongea à ses cotés. Sur le dos faisant volé la fumer vers le aussi désolé xD InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 7 Juil - 1631 Même comme il dormait, Louhan était beau. Mais ce qui était encore plus beau chez lui, c'est que sans le savoir il avait un visage d'ange. Certes, il était carré, dur. Mais non, moi je le voyais comme doux et simple. Un visage dont je ne pouvais plus me passer. Sous la pression de mes baisers, il émergea. Enfin. Je l'accueilli dans le monde des réveillées, un grand sourire aux lèvres, l'embrassant une dernière fois. Même quand il avait la tête dans le brouillard, Louhan était terriblement sexy.. Comment faisait-il ? Ouais.. J'ai connus pire.. Et toi ? » Je lui souris, doucement, caressant délicatement son torse. Je ne peux que bien dormir dans tes bras. » Ces paroles étaient terriblement franches et je rougis, une énième fois face à lui. Si être naturel me rendait dans un tel état, je n'étais pas sortie de l'auberge expression pourrie, certes. Ses mains caressèrent mon visage, avant qu'il ne quitte mon étreinte d'enfant et il sortit de la chambre. Prenant une inspiration, son odeur entrait dans mes narines, une nouvelle fois bien qu'elle ne soit pas revint, un joint à la bouche. Ça ne sentait pas pareil que d'habitude. Il glissa un bol de céréales sur le lit que je pris, me relevant. Ce gars savait tout de moi, comme le fait que j'étais une grosse-bouffe surtout le matin. Lui, allongé en train de fumer. Je finis mon bol avant qu'il ne finisse son joint, ce qui me surpris. J'allais finir grosse, si ça continuait. Je posai le bol par terre, attendant sagement qu'il ne fisse de fumer, le regardant en souriant bêtement. Comme une enfant. Je me mis sur lui lorsqu'il finit son joint, l'embrassant à pleine bouche. Non, tu n'as pas le droit de me repousser, tu as seulement le droit de rester immobile et de répondre à mes baisers. » J'avais toujours peur qu'il ne me rejette, l'embrassant à nouveau, goûtant à ses lèvres, son haleine au goût bizarre. Je grimaçai. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Ven 9 Juil - 1318 Je ne peux que bien dormir dans tes bras. » Louhan avait juste sourit. Que dire de plus à ceci? Rien, il n'y avait rien à dire. Aucune réfléxion piquante dont il était maître, aucune méchanceté. Non juste un plaisir amusé de voir que la fille qu'il aimait, la fille qui avait tant gagner en lui, prenait tous simplement du plaisir à être avec lui. rien que sa présence la comblait, que dire que souhaiter de plus? Il la vit rougir, et s'échappa dans la salle de bain pour ne pas non plus tomber dans le truc cliché des matins en amoureux. Il avait beau avoir fait des efforts. Depuis les dernières heures avoir franchit un cap énorme. Il ne pouvait pas pour autant changer d'un coup et axepter tous. Nan il y avait des choses qui encore resterait. La drogue, son coté "je m'en fou", les soirées, l'alcool, sa vie. Oui il ne pouvait pas y rénoncé, c'était ça qui lui avait permit de tenir durant toutes ces années. Donc il ne pouvait pas se stoper d'un coup. Il l'aimait oui. Comme un fou, comme un soldat, comme une star de cinéma et passons... Non il savait qu'il l'aimait, pas que pour son corps, par que pour son coté revèche et tétue, ni son coté borné et collante. Non il l'aimait car elle était Hopeless tous simplement car elle formait un tout et car malgré tous, malgré ce qu'il avait apprit la veille. Elle était bien plus pure et angélique que lui et n'importe quel acte commit par elle ne changerait cette certitude. Il en était bel et bien amoureux de cette fille s'était installé sur le lit, fumer son joing. Décompressant lentement, de toute cette pression accumulé depuios la veille. Il avait envie de partir aux Caraïbes. Il était entrain de se demander combien sa devait couter et si il devrait prendre juste des jeans et maillots de bain, ou alors pull en laine. Oui en effet Louhan était vraiment pas le mec ordinaire à s'épiloguer sur une fille, sur l'amour et la dichotomie de la haine à l'amour. Non il était déjà loin et s'était sa manière de ne pas se laisser sumrger par tous ces sentimentssi nouveaux, si terrifiant mais si bon au fond. Il termina son joing, l'écrasa dans le cendrier posé sur le matela à ses cotés. Il ferma une seconde les yeux puis le réouvrit sentant un poid plume sur lui. Il sourit amusé réouvrant ses paupières. Sentant les lèvres de Hop' venir s'emparer des sienne. Il se laissa faire par les maisn et les lèvres de la jeune femme. De sa copine. Non, tu n'as pas le droit de me repousser, tu as seulement le droit de rester immobile et de répondre à mes baisers. » Il rit, il s'ésclafa en la regardant qui lui tenait les bras. Il sourit à ceci et répondit néanmoins à ses baisers. Tu te figures que tu es en position de m'ordonner quelque chose? Avec cette froce de moineau? » répondit-ilm au bout d'un moment. Il enroula ses jambes autour des fines hanches de la jeune fille. Puis d'un coup de bassin il la souleva et la fit tourner. Se retrouvant sur elle, la tenantpar les poignets. Un sourire machiavélique aux lèvres. C'est pas bon de jouer avec le feu...» Il sourit venant l'embrasser dans le cou, mordillant doucement sa peau tiède et si enivrante. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Ven 9 Juil - 1836 Mon professeur de Littérature allait me tuer demain et surement me demander pourquoi je ne lui avais pas fait l'honneur de ma présence. Je pourrai lui dire la vérité. Lui dire que j'étais avec mon copain » - rien que le fait de le prononcer mentalement me fit frissonner - car la veille, je me suis endormie chez lui, beaucoup trop fatiguée pour rentrer chez moi. Et pourquoi j'avais été fatigué ? Parce que j'avais passé ma soirée à lui courir après, pour lui expliquer ma relation étrange avec mon frère. Oui, j'aurais pu le dire, mais non, je n'allais pas le faire. Je lui dirai seulement que et bien, je n'avais pas entendu mon réveil sonner ce qui n'était pas faux d'un sens, car je ne l'avais même pas mis. Il tira sur son joint, une nouvelle fois, pendant que les céréales craquaient sous mes dents. J'avais tout le temps faim, j'étais un estomac ambulant, bon à manger tout ce que je pouvais trouver. Même manger Louhan me paraissait possible. Je déposai mon bol, attendis qu'il finisse de fumer et lui grimpa dessus délicatement. Je ne comptais pas non plus l'écraser. Mes lèvres se scotchant aux siennes une énième fois. Louhan Canteberry, tu es ma drogue. L'attrapant par les mains, je lui souris. Tu te figures que tu es en position de m'ordonner quelque chose ? Avec cette force de moineau? » En un rien de temps, il se retrouva sur moi, m'attrapant les poignets en souriant. C'est bien connu que les femmes te sont soumises, n'est-ce pas ? Et merci pour la comparaison, j'aime être un moineau. » Boudant, je ne pus dire non lorsqu'il déposa ses lèvres dans mon cou. C'est pas bon de jouer avec le feu...» Je me mordis alors la lèvre inférieure. Et c'est toi qui dit ça ? » soupirais-je, étouffant un rire. Je le laissai m'embrasser, me mordre, me lécher, me manger, dans ses bras, je me laissais complètement aller. Je glissai mes jambes derrières les siennes, nos lèvres se caressèrent, nos langues se cherchèrent pour enfin se trouver. J'adorai être dans les bras de ce garçon aux yeux bleus. J'adorai être dans les bras de mon copain. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 14 Juil - 1827 Louhan ne fichait jamais grand chose de ses ournées. Il lisait, il se baladait ou décuvait tranquillement. Il n'avait rien d'autre à faire que se qu'il voulait donc ne risquait pas de devoir rendre des comptes à qui que ce soit. Bien qu'il avait peut-être des potes à aller voir. Mais la présence de Hopeless lui faisait oublier toute vie réelle. Il ne pouvait pas lui en vouloir, il se doutait bien qu'elle n'avait pas l'intention de lui faire oublier le reprit le dessus lorsqu'il la vit se pencher sur lui pour le bloquer. Il en rit et en quelque secondes se retrouva sur elle. C'est bien connu que les femmes te sont soumises, n'est-ce pas ? Et merci pour la comparaison, j'aime être un moineau. » Louhan explosa de rire, ne pouvant se contrôler. Puis la voyant bouder il commença à déposer de doux baisers dans son cou. Bloquant toujours ses maisn avec les siennes. Ce n'est quand même pas ma faute si mon charme légendaire vous soumet toutes, si?.. Toi tu es encore mieux tu es hyper sexy comme moineau... » souffla-t-il sachant très bien qu'il était pas très franc ses sentiments le rendant moins objectif. Non même sans être dingue de Hope' on ne pouvait que la trouver sexy. Il l'embrassa de nouveau. Sa langue venant courir sur sa peau si délicieuse. Il l'entendit rétorquer. Et c'est toi qui dit ça ? » Il revint à ses lèvres plongeant ses yeux bleu sérieux dans le regard de la jeune femme. Il bloqua ses deux mains avec l'aide d'une seule des siennes. De l'autre il remit une mèches de cheveux brun à sa copine. Je préfère que ce soit moi alors qui y joue alors... » dit-il. Puis il sourit de nouveau chassant ce petit air sérieux de ses yeux. Il la sentit enrouler ses jambes autour des siennes; il se mordilla la lèvre envieux. Ses lèvres plongeant à la recherche de celles d'Hope'; leur langues se trouvant rapidement. Tandis qu'habitué, sa main libre venait caresser la peau de la jeune fille sous son désolé Contenu sponsoriséSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi le doux souvenir amer de toi et moi Page 1 sur 2Aller à la page 1, 2 Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum COMMENCEMENT. CorbeilleMéditationdu dimanche du Christ Roi, Bruno Cadart
Le Deal du moment Cartes Pokémon Japon le display ... Voir le deal lGdA Taverne et Marché Taverne +6yann scottLagune [GARDIENS]Pipo Ze Poulp [ [.Q.]Vange10 participantsAuteurMessageVangeMaître des GardiensNombre de messages 401Localisation a l'armurerieDate d'inscription 15/09/2006Sujet Aiur. RP Sam 11 Nov - 1756 voici un topic ou le RP est obligatoire ! un peu d'imagination!les autres messages seront supprimésque vous soyez alliés ou non, visiteur, habitués...parlons ici d'Aiurparlons de nos empires, de nos ennemis, de nos alliés...parlons de nous, grands seigneurs impitoyables, et mesurons le pouvoir de nos noms...j'invite Lagune, fondateur de cette alliance, a ouvrir la danse, peut être en nous parlans d'Aiur... Andrew [.Q.]DiscretNombre de messages 24Age 33Date d'inscription 11/11/2006Sujet Re Aiur. RP Mar 14 Nov - 1418 Andrew Wiggin était assis dans l'immense salle, il attendais avec impatience que son ami Lagune vienne parler de son Dieu, Aiur... ValheruModérateur bavard et Seigneur DragonNombre de messages 1531Age 32Localisation Bah, sur le Forum bien sûr !Date d'inscription 23/04/2006Sujet Re Aiur. RP Mar 14 Nov - 1429 Valheru, le Seigneur Dragon arriva devant la taverne chevauchant son destrier ,Smaug, le dernier Dragon d'or, un fut de bière sur l'épaule et alla s'installé à côté d'un certain Andrew, inconnu à ses yeux remplie d'alcool. Il attendie désormais l'arrivé de le Seigneur DragonJe crois en un seul Dieu Dionysos Dieu de l'alcool et de la fête ! Et je me bats contre son ennemi Poseidon Dieu de l'eau. Pipo Ze Poulp [ IndigesteNombre de messages 485Localisation Paris, son paillasonDate d'inscription 11/05/2006Sujet Re Aiur. RP Mer 15 Nov - 1739 15 faisais quinze jours que le Poulpe dormait dans son bocal attitré, posté pres de l'entrée. Sans prevenir, le Poulpe rouvri les yeux et contempla les lieux... des inconnus etaient entrés et il n'avait pas été là pour les acceuillir. Il sonda les esprits en quete de reseignements un certain yannscott etait passé, et Andrew Wiggin etait toujours Wiggin... l'esprit omniscient du Poulpe explora la galaxie a la recherche de la planete d'origine... Andrew Wiggin... Golum !?Un invité de marque !Ca parlait aussi de dieux et de religion; Aiur, une chapelle dédiée a Babar, Lagune allait arriver, on allait donc entendre parler de Fan...Le Poulpe etait content toute cette foi, cette pieté innocente serai un jour detournée pour le seul benefice de Celui qui Poulpe aurait voulu sourire mais il n'avait pas de bouche pour cela, aussi se contenta t'il de faire des bulles dans son bocal.poulpe Lagune [GARDIENS]Gardien fondateur à la retraiteNombre de messages 1267Date d'inscription 23/10/2005Sujet Re Aiur. RP Sam 18 Nov - 2204 [HRP]Bon, me voilà avec le RP après une semaine de réflexion intense . Il est un peu court mais on fera avec .[/HRP]En train de se promener sur sa planète bien aimée Aiur, Lagune vit le temple BTB, il pensa un temple BTB ? C’est quoi cette histoire ?? Comme si je faisais des temples de FAN !?! Bon, je vais en faire construire une dizaine pour la peine. Je demanderais aux 9 gardiens de garder les 10 temples en priorité absolue… J’me demande comment ils s’en sortiront cette fois-ci… Vange, en sortant du temple s’adresse à Lagune Vange - Grand maître suprême !!Lagune - Bien aimé…- Grand maître suprême bien aimé !!- Oui, gardien ?- Racontez-nous une histoire ! Notre planète est en train de sombrer dans l’oubli, il arrive même à certains d’entre-nous de se demander ce qu’est Aiur et ne plus savoir pourquoi nous la gardons…- INCULTES !!!! Vous voulez réellement savoir comment on recycle un hérétik ? Je vais te prendre comme exemple twisted …- C’est que… Nous avions beaucoup bu et… Nous avons un peu oublié…- Soit ! Je vais vous raconter ce que nous défendons et pourquoi nous le défendons. Aiur est la terre de nos ancêtres. Avant que la décadence n’emporte notre civilisation, tout comme le reste de l’univers, nous étions les plus puissants de celui-ci bon, il y avait nos ennemis, les Terrans et Zergs qui avaient notre niveau. A cette époque là, les Protoss oui, c’est notre race, tu te souviens ?, les Terrans et les Zergs s’entretuaient dans une guerre sans merci... Notre race, bien que plus évoluée et plus ancienne que les autres, finit par se retrancher dans notre monde natal, Aiur. Notre peuple retrouva toute son ardeur au combat pour défendre ces terres qui les ont vu naître oui, un Protoss ça vie très longtemps, la preuve je suis encore là. Nous les avons finalement repoussés. On s’est battu pendant les quelques siècles qui ont suivi, jusqu’à ce que l’univers soit devenu ce qu’il est le grand n’importe quoi. J’ai donc décidé de recruter et de former les Gardiens d’Aiur lGdA pour les intimes. Ces Protoss sont et seront le dernier rempart de notre civilisation si on peu encore l’appeler comme cela.- Ah ouais, on est les plus forts !! Mais, pourquoi nous avoir quitté grand maître suprême adoré ?- Parce que si Aiur est notre Terre, FAN est notre Dieu, c’est lui le créateur des mondes, il était là bien avant les Grandes Guerres… - Ah d’accord… Mais comment en êtes-vous si sûr ?- Tu veux une démonstration ?- Heu… Non ça ira Bon, ton petit temple m’a donné une idée pour vous entraîner. Vous allez ériger 10 temples du Soleil Noir pour les hérétiks c'est le symbole de FAN, un peu partout sur Aiur et, toi et le reste des gardiens vous allez les garder… ValheruModérateur bavard et Seigneur DragonNombre de messages 1531Age 32Localisation Bah, sur le Forum bien sûr !Date d'inscription 23/04/2006Sujet Re Aiur. RP Dim 19 Nov - 235 Valheru sortat en titubant du bar et vit deux ombres informe devant lui. Après quelques minutes de reflexion et quelque bataille avec la soif d'alcool qui le démangeait encore, il reconnut les Seigneurs Vange et Lagune et écouta ce qu'ils se dirent. En écoutant son ancien maître Lagune, il repensat à la bataille des trois armées et se rappella que tous ses Dragons d'or avait péri pour défendre Aiur, il ne lui en restait qu'un, Smaug, qui restat à demi aveugle. Valheru aussi voulait raconté son histoire, mais.....l'alcool qui lui servait de sang l'empechait de parler convenablement et il alla se coucher en laissant un mot dans la taverne disant que lui aussi avait des choses à raconter !_________________Valheru, le Seigneur DragonJe crois en un seul Dieu Dionysos Dieu de l'alcool et de la fête ! Et je me bats contre son ennemi Poseidon Dieu de l'eau. ValheruModérateur bavard et Seigneur DragonNombre de messages 1531Age 32Localisation Bah, sur le Forum bien sûr !Date d'inscription 23/04/2006Sujet Re Aiur. RP Ven 24 Nov - 2055 Valheru entrat dans la salle, le silence ce fut, faut dire qu'il était imposant dans son armure en écailles de Dragon. Il commenca son discours _"En nous retranchant dans notre monde natal, Aiur, pour qu'on puisse protégé toute notre galaxie, tous les Seigneurs dont moi-même et leur armée se séparèrent. Je fut cantonné à protégé la façade Nord-Est de notre galaxie. Les Zergs arrivèrent 2 mois après moi. La bataille se déroula sur le planète Midkémia qui controlait une bonne partie des planètes aux alentours. La première semaine de bataille fut plutôt facile, nous commencions à les repoussés quand les problèmes arrivèrent. Une petite garnison de 100 hommes et de leur Dragons partirent chercher quelques renfort dans les planètes aux alentours pour q'une partie de mon armée puisse se reposé. Quand ils revinrent ils n'étaient plus que deux sur un seul Dragon en piteux états. Je demanda qu'on les soigne et quelques heures plus tard, ils me racontèrent qu'ils avaient été attaqué par une armée d'environ un milliers de chimères qui venaient secourir les Zergs, ils m'apprirent aussi qu'en fuyant le combat il avait aperçut plus loin, une autre armée et ils comprirent que ceux qui les avaient attaqués n'étais qu'une faible partie de l'armée adverse. Ces chimères n'étaient pas les montures normales des Zergs et je compris qu'ils avaient conclu un pacte avec les Mérovés. Une race très puissante qui dominait une bonne partie de l'Est de l'univers. J'envoya un espion en savoir plus, les Dragons étant plus rapides que les chimères il pourra facilement les distancé, à son retour il m'appris qu'environ chimères arrivaient à Midkémia dans 1 semaines. Ils restaient environ Zergs contre nous et nous n'étions que alors que nous étions au départ. En une semaine, nous avons réattaquez les Zergs et recrutés beaucoup de gens du peuple pour nous aidés. Au final nous serions contre environ nous étions donc mal partis. La vraie bataille commenca, nous étions plus rapide mais ils étaient plus puissants. Le jour la bataille fesait rage et les morts dans les deux camps tombaient par milliers tandis que la nuit, nos sorciers submergeaient les ennemis de sorts dévastateurs. Après plusieurs siècles de combats acharnés, l'aube de la dernière bataille arriva. A 250 contre nous étions mal partie. Moi et quatres autres sorciers, nous lançâmes un sort d'autodestruction, nos hommes savaient que c'étaient le seul moyen de protéger Midkémia, une autodestruction de toute la zone de combat. Ils savaient aussi qu'il y avait de faible chance de survie. Chacun pria, se protégea d'un bouclier magique qu'ils savaient inutile et attendirent. Le sort fut lancé je résistat assez longtemps pour entendre des bruits de douleurs autour de moi et je tomba inconscient. Je ne sait par quel miracle mais je me réveilla, blessé de partout, je lança un sort d'autoguérison qui fonctionnat peu à cause de ma faible force et de la douleur. Je me leva péniblement et retomba aussitôt par terre, un os cassé dans le pied et je m'étais démis l'épaule, je me releva cette fois en m'aidant d'une lance ennemie et marchat vers le Sud sans raison après avoir fait quelque pas je reconnus Smaug. Il avait été mon ami déjà tout petit, nous avons grandis ensemble, combattus ensemble. Il avait été mon Dragon, mon ami, mon frère et il était couché, là, un quart de ses écailles étaient tombé à cause de l'autodestruction, les autres étaient brûlé, déchiré, cassés. Je réfléchissait à ce que j'allais faire quand je vis une fiolle de guérison intact sur le sol, la chance me souriait. Je la but, je finis de me guérir par un sort d'autoguérison et cherchait par où allé quand je le ventre de Smaug de leva, je crus que mon esprit hallucinait et en me concentrant et essayat de capté les auras autour de moi, je n'en sentit qu'une, celle de Smaug, il était vivant ! Je mis une semaine à le guérir totalement, un Dragon était plus dur à guérir qu'un humain. Il ne lui restait qu'une blessure inguérrissable, il était désormais aveugle d'un oeil. Voilà, mes amis l'histoire de la Bataille des Trois Armées qui se déroulat au Nord-Est de la galaxie d'Aiur entre les Protoss et l'union des Zergs et des Mérovés. Si vous avez des questions, je suis à le Seigneur DragonJe crois en un seul Dieu Dionysos Dieu de l'alcool et de la fête ! Et je me bats contre son ennemi Poseidon Dieu de l'eau. yann scottDiscretNombre de messages 39Date d'inscription 04/11/2006Sujet Re Aiur. RP Ven 8 Déc - 846 *arrivee de Yann Scott dans la taverne*-Mmmh ?toisant l assemblee , il replia son fidele fusil d assaut G36 un modele de l ancien temps , une epoque ou une terre portait le nom de germanie , ou allemagne pour les moins puristes dans son dos et alla s installer dans un coin pres de la cheminee . "-tiens , un poulpe" pensa t il apres avoir franchi le seuil de l entree . il s asseya , fourbu , cherchant du regard une jolie demoiselle pour lui tenir compagnie . il les aimait de taille moyenne , d un blond naturel , avec des yeux clairs ... mais visiblement , ce n etait pas la , la specialite de la taverne . il hela donc la serveuse . "un scotch s il vous plait . sec" puis replongea dans ses pensees . "ai je bien pense a verouiller la rampe d acces de mon tribuno-cruiser ? mmmh"a cet instant , une voix le sortit de ses reflexions . un etre nomme valheru semble t il , comptait des histoires sur la terre d Aiur ."je connais cela"se dit il ....En effet , Yann se souvient des terribles combat que son peuple , le terran dominion avait mene contre l infamie zerg . il se souvient du general Duke . son nom est reference dans tous les manuels d histoire .Il ecouta donc ce recit epique , interrompu en pleine attention par la serveuse "votre scotch" la remerciant du regard , il remarqua sa subtile beaute , meme si elle ne correspondait pas a ce qu il aime generalement , il n y fut pas insensible . il remit donc au gout du jour une tres ancienne coutume de soldat . en effet dans l ancien temps , lorsqu a l etranger , un soldat tombait sous le charme d une jeune fille , il descratchait le drapeau hornant le haut de sa manche droite symbole d appartenance a une "nation" et l offrait a la fille .Il descratcha donc le symbole de son unite . un croiseur aux couleurs de l empire sur fond de planete bleutee , sa planete d origine , avec l inscription FRR /Force de Reaction Rapide . l unite d intervention la plus en vue de l empire . puis , le tendit a la serveuse qui rougit , le glissa dans sa poche , et deposa un pieux baiser sur les levres du marine .apres 1 minute dans les nuages , il reprit l ecoute du recit de valheru , tout en degustant son scotch qui avait le gout des levres de la jeune fille .*hors RP , wow , je pensais pas faire si long , pour une premiere fois , c est pas mal* ValheruModérateur bavard et Seigneur DragonNombre de messages 1531Age 32Localisation Bah, sur le Forum bien sûr !Date d'inscription 23/04/2006Sujet Re Aiur. RP Dim 17 Déc - 101 Après avoir fini son discourt, le Seigneur Dragon, Valheru, s'inclina devant l'assemblée pour être acclamé. Le Seigneur Vange s'approcha du micro et commenca à parlé de ses propres souvenir ....._________________Valheru, le Seigneur DragonJe crois en un seul Dieu Dionysos Dieu de l'alcool et de la fête ! Et je me bats contre son ennemi Poseidon Dieu de l'eau. yann scottDiscretNombre de messages 39Date d'inscription 04/11/2006Sujet Re Aiur. RP Mer 20 Déc - 1847 Le signeur Yann Scott etait toujours a sa table , se delectant de son scotch .il attendait une autre histoire . visblement le seigneur Vange se fesait attendre . Pour patienter , il sortit son petit carnet et commenca l inventaire des cibles a raider pour ce soir ..."mmmh , tellement de cibles et mes ordinateurs qui commencent a se faire vieux . malheur . il est temps de les remplacer."La serveuse s approcha a nouveau . "je vous sers autre chose" ? yann fouilla dans sa poche pour savoir s il avait assez d argent sur lui . Malheur , il avait oublie de passer au credit intergalacticole pour changer son argent . il n avait sur lui que de la monnaie en vigueur sur asa planete .-"heuuuu , acceptez vous les morganiens ?-non monsieur . mais si vous avez un peu de cristal sur vous , cela ira"par chance , yann en avait sur lui . il savait qu en ces temps de penurie de cristal , en avoir sur soi permettait de faciliter le commerce . Il sortit donc un fragment de sa poche et le donna a la serveuse qui le prit avec un grand sourire .-"avec ca , vous pouvez boire toute la nuit . je vous offre une chambre si vous le desirez"-pourquoi pas , cela me changera de mon tribuno bien , je vais chercher votre badge pour la chambre-merci mademoiselle . serait il possible d avoir un sandwich s il vous plait -bien sur .et elle disparu . ce ui permit yann de se replonger dans ses projets pour ses flottes , en attendant que le seigneur Vanfge prenne la parole ... ValheruModérateur bavard et Seigneur DragonNombre de messages 1531Age 32Localisation Bah, sur le Forum bien sûr !Date d'inscription 23/04/2006Sujet Re Aiur. RP Mer 20 Déc - 2255 Le Seigneur Dragon laissa le micro à VANGE, QUI SE FAISAIT ATTENDRE !!!!!!!!! c'est d'ailleurs lui qui voulait faire ce RPIl alla s'installé à côté du Seigneur Yann Scott mais n'engagea pas la conversation. Une serveuse demanda au barman de lui apporté un fut de bière, malgré qu'elle soit nouvelle, elle savait bien qu'il n'y avait pas besoin de prendre la commande, la réputation de buveur de bière précédait déjà le Seigneur Dragon. Valheru offra de généreux pour-boire aux porteurs et à la serveuse et commança à remplir une chope. La serveuse tenta de lui faire des avances, en vain. La réputation de Valheru disait aussi que peu de filles avait réussi à envahir son coeur. La serveuse rebroussa chemin, Valheru fini sa chope et s'en servi une autre, Yann Scott croquat dans son sandwich, le Poulp cracha un jet d'encre et tous attendirent VANGE !!!!!_________________Valheru, le Seigneur DragonJe crois en un seul Dieu Dionysos Dieu de l'alcool et de la fête ! Et je me bats contre son ennemi Poseidon Dieu de l'eau. Master of puppetsBavardNombre de messages 213Age 35Localisation Sur une autre sphère qu'on apelle la LuneDate d'inscription 21/01/2007Sujet Re Aiur. RP Dim 21 Jan - 1630 Alors que la Taverne était silencieuse si ce n'est les quelques conversations qui se faisaient a voix basse car tous attendaient l'arrivé de Vange et de son récit. La Taverne marchait bien a cet heure la et l'attente de ce seigneur poussaient les clients a commander pour rendre l'attente plus facil. Soudain le porte s'ouvra une lourde porte qui grincaient fortement du a la vieillesse d'une porte qui aurait méritée une longue retraite. Mais alors que cette porte s'ouvrit et que tous levèrent la tête en espérant voir le seigneur tant attendu ils ne virent rien mais sentirent un courant d'air frais plutot surprenant a cause de la chaleur de la nuit. La porte s'ouvrit et se ferma mais personne ne rentra, soudain une voix se fit entendreBonjour a vous voix fit sursauter l'assemblée a qui appartenait-elle? Beaucoup regardèrent leur verres vides sur la table devant eux mais en voyant les autres faire de même ils comprirent que cette voix ne provenait pas de l'état second dans lequel ils avaient été ne pouvez me voir mais certains d'entre vous peuvent me sentir et savent a qui ils ont a effet Valheru avait senti une aura qu'il avait bien connu par le passé l'homme invisible qui leur adressait la parole avait fait partit des armées protosse il avait même combattu pour lui durant la bataille des Trois armées ce n'était autres qu'un Templier Noir. Cependant son aura bien que similaire n'était pas la même qu'autres foi. De même que Valheru Pipo Ze Poulp avait capté la présence de cet inconnu il tenta de sonder son esprit mais une barrière s'imposa devant le Templier Noir devint visible devant tous il se tenait droit d'une taille impressionante, ses habits laissaient paraitre des muscles fin mais ferme. Il avait de longs cheveux noirs qui lui cachaient la moitié du visage, il portait un habit moulant noir qui lui couvrais tout le corps ainsi qu'une cape rouge qui descendait jusqu'a mi-mollet. Il portait a sa ceinture une lame éfilée qui parraissait presque souple. Son visage était fin mais ses traits trahissaient son moi Seigneurs car je vais vous compter mon histoire depuis cette terrible guerre et le sort lancé par nos Magiciens qui modifia toute mon éxistence jusqu'au plus profond de mon être et qui fit de moi ce que je suis mon histoire. Alors que l'armée Zerg se préparaient a l'attaque les Protosse conscient du peu de chance de survie se préparèrent pour la dernière bataille. Nous n'avions pas peur malgré tout, j'étais a ce moment sous les ordres de Zeratul chef de la cohorte des Templiers Noirs. Au petit matin les Zergs fondirent sur nous. Les Templiers Noirs avaient pour mission de contourner les forces Zerg pour les attaquer a revers afin de pouvoir détruire leurs magiciens afin qu'il ne puisse contrecarrer le sort de nos Magiciens. Immediatement apré la chute du dernier Embrouilleur Zerg nous sentirent les Energies converger vers Valheru et ses magiciens. Je me prépara a mourir, a l'instar des autres je n'éleva pas de bouclier car je savais cela inutil j'embrassais mon destin fier de mourir pour la survie de ma race. Je me mis a prier et lorsque la vague destructrice arriva j'étais prêt; elle m'emporta. C'est alors qu'arriva quelque chose que je savais être impossible mais qui arriva malgré tout! Je me réveillais! Je n'avais pas bougé mais quelque chose n'était pas normal. Autour de moi le sol était comme s'il n'y avait jamais eu de guerre aucun corps ne jonchait le sol je voulu retourner ver le temple mais il n'était plus la. Perdu je ne savais que faire alors je me mis a marcher a courir sans but et plus le temps passé plus je sombrais dans la démence. Au bout de plusieur mois de marche dans la solitude la plus complète j'arriva a un village mais ses habitants n'étaient ni Terran ni Zerg ni Protoss. C'est alors que je compris j'avais par je ne sais quel moyen transporté dans une autre dimension une réalité alternative un monde vivant en parallèle de celui que j'avais connu. Le peuple habitant le village me prirent au début pour un envoyé celeste et il me fallut longtemps pour comprendre leur langue et leur faire accepter que je n'avais rien de divin. Je m'immergea alors dans ce nouveau Monde pour en comprendre son fonctionnement. J'appris que les trois races que j'avais connu avaient été détruite pas une nouvelle race qui avait été crée par les zergs mais qu'ils ne purent controller. Cette race n'avait pas de nom car les rescapés des guerres ne pouvaient se résoudre a donner un nom a cette race qui était avide de sang et de guerre désirant être seul maitre de cette univers. Etant conscient de ne pouvoir peut être jamais rentré chez moi je décida d'élever mes capacités je m'entrainais éleva mes capacités physique et intellectuel petit a petit les habitants du village voyant mes forces décuplés voulurent suivre mon entrainement en voyant en moi l'espoir de reprendre ce qui leur avait été volé. Au bout de longues années d'entrainement intensif sans aucun repos je décida qu'il était temps de partir en quête d'autres rescapés de l'ancien temps. Les membres du village qui n'avaient été que de simple paysans s'étaient transformé en véritable guerrier n'ayant qu'un seul objectif prendre leur revanche sur le passé. Ils m'élirent alors comme leur chef c'est ainsi que je devin le Maitre des Poupées ainsi se nommé leur village. Ces soldats que j'avais formés étaient capable de courir sur des milliers de kilomètre d'autres avaient développés des capacités mentales qui leurs permettaient de creer des barriere magnétique indestructibles ils étaients devenus maitres dans le déplacement silencieux ils ne connaissaient plus la faim la soif le seul sentiment qui les habitaient était l'entraide et le désir de revanche. Force et Honneur était leur devise. Je partis donc a la tête de quelques 300 guerriers et une centaine de Mages. Nous parcourumes les univers sur les quelques vaisseaux que nous avions pu construire grâce a la combinaison de nos connaissance. Long fut notre périple mais petit nous trouvâmes des traces de rescapés sur une planète trés éloigné. Alors que nous cherchions sur cette planète et que nous commencions a désespérer un homme sortit de terre et nous aprit que cette planète était l'abris de millions de rescapés qui avaient creer sous terre des villes, tout un empire s'était développé en dehors du rayonnement de pouvoir de ceux que je baptisa les Béhémoths. Nous furent accueuilli comme des sauveurs. Tout l'empire vit en nous aprés quelques démonstrations de nos capacités une chance infime mais une chance cependant de chasser les Béhémoths. A partir de ce jour nous commencâmes a organiser des bataillons des milices des armées. Finalement aprés maintes batailles contre les Béhémoths nous parvinrent jusqu'a leur antre maudites ou nous engagèrent le combat pendant des siècles et des siècles certains hommes ayant engagé le combat a leur majorité mourèrent de vieillesse pendant cette guerre mais le courage de cette armée fut sans faille. Finalement a l'aide d'une centaine de Télépath que j'avais moi même entrainé pendant de longues années nous furent capable de controller ces Bètes et de remporter la victoire. Il nous fallut malgré tout encore des siècles pour maitriser totalement les Béhémoths que nous avons réussi a assujétir. Le Templier Noir fit alors une pause sa voix laissait paraitre que malgré la victoire qu'il avait offerte au peuple des poupées il avait durement souffert de l'éloignement de son peuple mais également des souffrances qu'il avait pu subir pendant ses longues années de guerreAinsi les Poupées ont pu récupéré ce qui leur appartenait. Ma tache était terminé et je décidé de me retirer je retourna au village qui m'avait accueilli mais qui était désert depuis notre départ des siècles au paravant. Quelque temps apré mon retour je vis arrivé ceux qui étaient parti de ce même village avec moi. Sur les 400 soldats qui m'avaient accompagné environ 250 avaient survécus ils avaient apris a surmonter l'épreuve du temps la maladie ne pouvait les atteindre ils étaient endurcis ses soldats avaient été la force majeur des défenses de l'empire on n'avait connu combattant plus loyaux et forts. Ils avaient a eux tout seuls été capable de vaincre des millers de béhémoths ils avaient acqui la sagesse l'honneur les voirs faisait monter en moi un sentiment de fierté je les aimais et dans mon isolement j'étais heureux de les voir, je n'aurais pu accepter autre compagnie que ceux qui m'avaient épaulés pendant tout ce temps. C'est alors qu'ils m'annoncèrent qu'ils pensaient pouvoir me renvoyer dans mon monde. Mon esprit fut troublé! Es que je voulais rentrer chez moi? Mais existait-il encore un chez moi? Qu'était-il devenu de ceux que j'avais connu? Au bout de quelques instants de réflexion je savais que je devais repartir je le voulais ce monde n'était pas le mien je ne lui apartenais pas, l'heure était venu!!!Les Magiciens que j'avais formés m'expliquèrent alors le processus a ce moment je pris conscience reellement de leur capacité je ne compris pas tout mais ils m'expliquèrent qu'une fenêtre avait du être ouverte pour permettre le transfert initial ainsi il fallait retourner a cette fenêtre pour la rouvrir en sen inverse. Nous retournâmes donc a mon points d'arrivée!Alors que je me mis en place le reste de mon armée se mit a mes cotés je compris que s'ils étaient revenus et mavaient proposé de rentrer chez moi c'est qu'ils avaient l'intention de venir avec moi. Je ne dis rien je savais que peut-être qu'un jour ils le regretteraient mais toute discussion aurait été inutil et je le savais ils n'avaient plus rien qui les retenaient dans ce monde ils m'auraient suivi en enfer si j'avais eu une raison d'y commencâmes alors l'incantation...A la fin de l'incantation nous nous sentîmes partir. Je retrouva alors le lieu ou tout avait commencé. Mes sens surdéveloppés confirmèrent ceci je pouvais sentir les âmes tourmentés de ceux qui avaient péris sur ce champ de bataille qui était souillé du sang impur des revenant je fus forcé de constater que rien n'était plus comme avant les protoss avaient été décimmé j'étais perdu, que faire? Les mois passèrent puis nous commencèrent a reconstruire un nouvelle empire car dans le monde qui éxistait aujourd'hui c'était notre seul chance de survivre face aux hordes de seigneurs prêt a détruire touts ceux qu'ils croisaient de moins développés que eux. Les capacités physique de la poignée de soldats que je possédais me permis de reconstruire a une grande vitesse nous avions embarqué avec nous des béhémoths car ces bètes possédaient une force hors du commun une fois ma base construite et mon empire colonisé je délégua mes hommes pour la colonisation de nouvelles pris connaissance une fois ma puissance retrouvé et mon empire reconstruit des différentes alliance composant le monde d'aujourdhui et intégra la BCCN et donc la triforce. Quel fut ma surprise en sentant, alors que je survolais la planète mère de l'alliance la présence d'une aura Protoss que je reconnus comme celle du seigneur Valheru. Ainsi je trouva opportun de me présenter a lui et a tous ceux présent ici même dans cette se termine mon récit Seigneurs j'espère qu'il vous a plus car je vous ai compté l'histoire de ma vie. Master of puppetsBavardNombre de messages 213Age 35Localisation Sur une autre sphère qu'on apelle la LuneDate d'inscription 21/01/2007Sujet Re Aiur. RP Ven 9 Fév - 2304 Et bien Valheru je ne pensais pas que mon arrivé te clouerais la bouche d'une telle manière...La voix du Templier avait résonné parmis l'assemblée et bien que ne l'entendant pas tout le monde sentait sa présence et sentait ses paroles a l'interieur meme de son esprit Pipo Ze Poulp [ IndigesteNombre de messages 485Localisation Paris, son paillasonDate d'inscription 11/05/2006Sujet Re Aiur. RP Ven 9 Fév - 2330 L'apres midi était froid et sec dans la région autour de la résidence hivernale de Pipo Ze Poulp. Un vent sec s'etait levé. Un temps superbe, serein, tres rare sur cette planete, d'ordinaire si moite. Un temps propice au receuillement et a la reflexion au sein d'une nature au maitre était là, sur la terasse comtemplant le paysage, le lac et les cimes de l'autre maitre ne pensait a rien. Oh, rarement un exploit...Un messager brisa le charme de l'instant "Maitre, maitre". Il s'avanca, fronça un sourcil, agita la main devant les yeux du maitre, haussa les épaules, sorti son mouchoir pour essuyer la bave aux commissures des levres et reparti. L'annonce attendrai...Ce n'est qu'avec le soleil couchant que Pipo sorti de son néant spirituel. uniquement possible grace a l'ingestion de bonbons roses, disponibles sur ordonance; Infirmerie La Meule d'Or, derriere le CirqueLes rayons éclarait d'une lumière rouge la scène, comme un augure des temps qui s'annoncaient... Oui ?- Une annonce Annoncez, annoncez... La version courte, s'il vous Les Lions déclarent la guerre à la FAIM, Juste à l'heure de l'avant-souper ? C'est inconvenant... D'autres nouvelles ?- Les LCDO et leur wing se tiennent aux cotés des Non, je voulais dire d'autres nouvelles de cette importance ?- Le Seigneur Zovirax est malade et ne pourra ne joindre comme prévu au Terribles nouvelles en vérité ! Souhaitez lui un prompt rétablissement... Et finissez la lettre en lui souhaitant de trouver l'inspiration, cela le touchera. Vous pouvez messager ne bouga Quoi encore ?- Ben, chef, qu'est ce qu'on fait ?- Un repas Pardon ?- Qu'est ce qu'on fait, un repas frugal, il faut donner l'exemple en ces temps se mit en communication avec le deuxieme personnage de l' Chef. Ce soir, Une endive, du roti, des légumes. Oui, "famélique". Non, je n'en mourrai pas. Oui, un dessert tout de meme, je fais pas la greve de la faim non repas achevé, il était donc l'heure du café. Personne ne s'avisa de déranger le maitre des lieux pendant qu'il attendait que son café soit "refroidu". Pour patienter, Pipo brancha les holo-infos. Il tomba en plein reportage. Citation "...ommes en direct de la salle des fetes du séant HRP, je viens de le voir, ce lapsus est tellement criant de sincérité que j'ai décidé de le conserver tel quel. Maintenant, vous savez tous ce que je fais avec le Sénat Universel, je m'assoie dessus ! Universel pour la grande remise des prix des personnages du mois. Et tout de suite, la cérémonie.*clap clap clap* - Bravo ! - *clap clap clap*A vous Mister S, il a été décidé de vous attribuer la médaille du déshonneur de Pangloss; Bombez le torse et puissez vous la porter fierement en toutes outre, cette decoration donne droit a une tournée gratuite chez Barney's clap clap* - Bravo ! - *clap clap clap*A vous Ange, par l'attitude exemplaire dont vous avez fait preuve et par les vertus qui sont accordées à la *Dynastie Bourbonno-Bâfrolingienne* par St Jack Daniels et Ste Marie Brizzard, nous vous dessernons la médaille de la bravoure, dite de Léonidas le plus, vous bénéficiez d'un accès privilégié au Saint des Saint sur presentation d'une piece d'identité, et sous reserve que vous soyez majeur, Maitresse Ségolange sera peut etre disposée a vous donner des cours de maintien, de savoir vivre et d' HRP -C'est absolument pas des conneries, ce ministère existe bel et bien les cours ou l'on apprends à louer l'amour sous les coups de fouets de la Douce Ségolange sont une faveur dont seuls jouissent tous les sens du terme les plus grands du royaume. "Oh! Oui! Le coussin, encore"Mais attention, seuls les grands du royaume ayant été soit tres sage, soit de vilains garçons peuvent y RP -*clap clap clap* - Bravo ! Oh oui, bravo ! - *clap clap clap*Messieurs, vous etes tous les deux décorés des plus hautes distinctions du Saint Empire Boulimik, puisse ces décorations orner vos signatures respectives.*clap clap clap* - Bravo ! Hip, hip, hip, HOURRA ! - *clap clap clap*Et maintenant messieurs, veuillez posez pour la postérité devant l'appareil de Rackhom, notre fouille-merde en bas de soie.*clap clap clap* - Oooh, ne me touchez pas. Je risquerai d'attraper quelque chooose. - *clap clap clap* Le Poulpe changea de chaine... Oh! La deuxieme partie du reportage sur le Royaume de Gégu; la soirée promettait d'etre interessante. C'était sans compter sur l'insistance du messager, qui choisit ce moment pour revenir à la charge "Chef, qu'est ce qu'on fait ?".- Encore là toi ?- J'attends vos Faites moi porter un citron, du café moulu, une cuillère et un Mais...- Toujours là ? J'ai une montagne de se dirigea vers la bibliotheque pour en sortir un livre, "L'art de la guerre, des origines à nos jours". Notre pauvre messager s'exécuta, visiblement soliloquait désormais "C'est vrai, tout de meme !... Il faut etre seul pour étudier des matières comme celle-ci... Au travail !"Il sorti une bouteille de Vladinskaya du livre, ainsi qu'un verre à soirée allait etre studieuse... Professionel, il quémanda un rapport classé confidentiel pour connaitre toutes les positions des domaines Lions et LCDO. "J'ai plein de nouveaux amis..." et il s'enfila un nouveau un homme changé au matin. En fait, plutot qu'un homme, c'était désormais un déchet. Et c'est son intendant qui découvrit le drame. Il avait les yeux dans le vague, rougis et gonflé. Sur le bureau tronait les reliefs de ses excès des cadavres de vodka, de Jack Daniel's et de Despé un coup whisky, un coup despé... meurtrier ! [HRP] Langue de Pute "J'ai des témoins!" Il jete un coup d'oeil par dessus son épaule, se leche la levre et poursuis "Je cite..." [RP], il y avait également un plein cendrier d'américaines, des reliques d'un passé révolu...- Euh... Maitre, vous pleurez ?- Oui, je pleure sur l'homme que j'ai été... et sur celui que je risque de devenir...- Maitre, que faisons nous ? Vous seul pouvez decider...- On ne fait rien !- Pardon ?- On ne change pas nos habitudes. Je reste à la barre...L'intendant s'inclina et déclara "Une décision courageuse, si vous me permettez." Il s' Une décision à la con, oui !Et il éclata d'un rire jaune. Si ces administrés savaient qu'il avait décidé ça aux dés...-Bien voila, je ne mets pas en MV. Et oui, je l'ai vraiment joué aux dés. Et j'espere avoir fait rire et voyager mes je profite de la tribune que m'offre cette guerre pour passer quelques messages personnels. on se console comme on peut... Ange tout d'abord, car il tient un des premiers roles dans tout Ange, j'ai la pretention de penser que tu me connais Aïe, mes chevilles !. Moi je ne te connais pas, sauf par ce que tu renvois de une chose à te demander, et je te le demande sincèrement...A la nous avons des ambassades je voudrais que tu postes ta déclaration de guerre dedans. Je ne te demande pas un RP, juste une petite attention. C'est important pour une derniere chose a rajouter... Merci d'avoir fait un effort sur l'orthographe de - j'y suis meme, je ne le fait pas. C'est mal, je suis un méchant garçon mais ca me donne le droit d'aller au coin. J'arrive Maitresse Stouff ou Paradigme maintenantT'excuse pas; je sais que ton changement d'ally était prévu depuis que tu as franchir le million de points. Et je sais en l'honneur de qui tu agis. Crevette tu verras, ca ira mieux apres. A nos alliésLa menace psychologique que fait peser Ange a fonctionné. La preuve, j'ai du en menacer certains de nos alliés de leur déclarer la guerre et de les mipper pour qu'ils se tiennent à l'écart. Ce qui par conséquent, en aurai fait, de fait, les alliés des Lions... tordu ? oui...C'est à la fois la tete et le coeur qui parle quand je dis que je ne veux pas que vous soyez entrainé dans cet absurdité...Je comprends les autres qui voudront se mettre en MV lorsqu'ils découvriront la situation; et meme, je les y encouragent. A mes compagnons de lutteJ'ai adressé à quelqu'uns d'entre vous des messages, par divers me snobez pas. Le vent est froid et sec dans les parages... Au reste des posteursJ'ai une question qui me brule, elle s'adresse a tout le monde sur ce supportez vous, comment faites vous, pour réussir à flooder autant sur un forum qui raaaaaaaaaaaame ?C'est vrai, c'est une épreuve de force. Je brosse le sa machine, l'homme guette, il guette le moindre signe que lui renvoie les lumières de son ecran... il attend, anxieux... et soudain, un signe !Oh !...L'homme vérifie l'adresse qu'il a rentré. pourquoi donc tombe t'il sur les pages blanches ? KrichnoukRégent d'AiurNombre de messages 490Age 34Localisation 95Date d'inscription 26/10/2006Sujet Re Aiur. RP Lun 12 Fév - 1843 L'immense salle de réception d'Aiur était comble, elle reflétait bien la puissance passée et, tous les invités l'espéraient, la puissance future de l'alliance. Elle résonnait du discours puissant du maître de l'alliance. Vange, maître des gardiens d'Aiur était en train d'annoncer qu'il allait partir à travers la galaxie afin de découvrir ce que les autres peuples auraient à lui apprendre pour rendre sa puissance à l'alliance. En face de lui, devant le luxueux pupitre, la salle était divisée en 3 partie égales à sa gauche, la délégation des BCCN, à sa droite celle de la FAIM et en face de lui, les membres de la Lgda. La conclusion de son discours fut simple est claire "… En définitive, mes chers alliés et amis, je vous demande qui serait capable à vos yeux d'assurer la Régence de notre alliance, en attendant mon retour? J'ais déjà reçu la proposition de Krichnouk qui se propose d'assumer cette lourde responsabilité, ainsi que celle d'animer notre lieu de discussions et de retrouvailles. Je vous demande de debattre de sa avant de passer au vote."Un leger murmure suivit ses paroles, et un bras se leva, au sein des membres de la Lgda "Maître, ne trouvez vous pas que ce Krichnouk est bien inexpérimenté pour soutenir de telles responsabilités?" Des chuchotements approbateurs circulaient parmi les rangs… "Je demande la parole" Edi, membre de la délégation des BCCN avait une idée. "Je vous en prie, faites" Edi rajusta son micro et les traducteurs instantanés se mirent en route " Je suis d'accord avec le fait que Krichnouk soit trop jeune pour assumer seul de telles charges, aussi je propose qu'il prenne en charge la Régence, mais de laisser la gestion du palais à Valheru " Cette proposition parut plaire à l'assemblée, qui ne manifesta aucune objection quand aux termes du vote."Très bien, les termes du vote sont acceptés, ils ne vous reste plus qu'à voter" ABIGORBavardNombre de messages 155Date d'inscription 08/02/2007Sujet Re Aiur. RP Lun 12 Fév - 2201 En l'an de grâce 2100, au large la planete Terre apres des dizaines de tentatives, l'imble Seigneur, digne décendants des démons supérieur des dynasties fondé depuis les temps nouveau ABIGOR réssucita ; sortit de son monde ancestrale et bien décidé à reprendre ça place. Celle qui lui fu attribué pendant longtemps celle de Commandant des LX Légions InfernalesApres un dur reveil le Seigneur se leva et rejoind la fenêtre du vaisseau mère qui vole pour des "Mais quel est cette magie...que faisont nous dans le ciel et où est mon fier destrier noir?"Officier "Majesté, vous avez dormis bien des siecles, les guerres ont évolués et nos Légions d'Infanteries sont devenu obsoléte ; ne faisant pas le poids à terre contre ces machines, nous nous sommes adapté en attendant votre retour. "Abigor "Sage decision Officier. De quel corps venez vous ?"Officier "Centurion de la Premiere Legion Infernale" Abigor "bien vous serez désormais mon conseillé"Officier "c'est un trop grand honneur Majesté. je ne peux accepter "Abigor, frappant le pont supérieur du Vaisseau Amiral avec son sceptre fis trembler tout le Vaisseau Abigor "oseriez vous désobéir ce n'est pas parce que je ne suis plus tout à fait au faite que je suis moins cruel" Officier " A vos ordres Majesté. Mais vous aurez tout le loisir d'apprendre quand nous serons arrivée à Ilfeheim "Abigor "me reconduiriez vous à mon ancien fief ? "Officier "Exactement Majesté depuis le temps que la populations attend ça. "Abigor "ce ne sont que des simples mortel enfin je verais de quoi ils sont capable. "Durant de longues journée l'Officier apprit tout sa science des combats à sa Majesté. Quand aux bout de 2 Semaines la Flotte arriva à destination sur cette terre qui était sombre d'apparance mais dont le sol est encor plus noir que le charbon et les rivieres ne sont que torrent de "hum ça sent bon je suis enfin de retour chez moi. Soldats quitté vos vaisseaux en avant marche. Que Les Gardes d'Ilfeheim garde ma flotte."L'armée des 360000 Hommes se dirigea vers la grande porte qui était la seul entré possible pour acceder à cette magnifique ville. La porte était bordé d'or ornée du sceau d'Abigor que seul lui pouvait "Messieurs nous rentrons enfin chez nous " Abigor prit son sceptre l'insera dans la serrure et la gigantesque porte s'ouvrit et un cheval arriva au "Ecarlate te voilà mon brave" Le Seigneur grimpa sur sa monture et pris la tete de l'armée et dit "Légionnaires en avant retournons chez nous."Les Légionnaires se mirent machinalement en marche certes leurs équiment avait évolué mais leurs discipline était Corps remonta l'allé principal sans croisé aucune âmes vivante du moins...Officier "c'est tres etrange nous avions prévenue de notre arrivée il y a déjà 2semaines" Abigor "Soldat serrez les rangs "Quand surgit l'Administrateur de la ville Légat et sa garnison de 1000000 Hommes en " Que venez vous faire ici vil Démons, nous n'accepterons aucun ordre d'un chef inexistant désormais Ilfeheim est mienne et ceux depuis des générations. De plus nous sommes 3 fois plus nombreux et mieux armée que vous"Abigor eclatant de rire "3 fois plus nombreux. Vous allez me rendre sur le champs mes terres et mon fief avant que je ne m'enerve et vous en profiterez pour dire à votre Millions d'hommes de déposer les armes avant qu'il ne comprenent rien à ce qu'ils meurent betement."Légat "Soldats n'obéissez pas et souvenez vous de notre derniere bataille..." Les Soldats vinrent se placer derrieres le Légat et mirent fusils à l'épaules. Abigor "Vous voulez une bataille je vous la livrerais venez donc à l'exterieur de ma Cité misérables mortels" Légat "Cela me va"Les armées sortirent et se mirent en Légionnaires armées de leurs simple glaive et bouclier se mirent en quinquonce autour des batteries de gauss le même temps l'armée du Légat avait doublé c'était désormais 2 Millions de soldats armées de Fusil laser à baïonnette et de nombreuse batteries d'artilleries gauss ainsi qu'une division blindé plasma. Les Légionnaires se diviserent en LX Légions et aux cris de "Combattont pour notre Terre" avancerent. XXXLégions se ruhérent, plus rapide que le vent plus agile que les ombres sur l'armée ennemies. Le Légat ordonna de tirer à Gauss firent feu sur les XXX Légions et aucun légionnaire tomba l'ennemi n'était plus qu'à 20 pas quand un pluie de laser s'abattu sur les braves qui à couvert derriere leur bouclier avancerent plus lentement mais avancerent toujours. Dégainant leurs glaives dont la note si stridente fit frémir toutes les armées. Il ne restait plus que 10 pas...5 pas quand le Légat donna l'ordre de sonner la charge. Les Légionnaires d'eurent aucune hésitations et bondirent dans les lignes ennemis. Le combat faisait rage quand les X Légions s'engagèrent dans les Vaisseaux et eurent pour objectif prendre le controle de la flotte ennemie, qui commença à se faire voir à l'horizon. Le Légat voyant son infanterie se faire tailler en piece par les glaives des Légionnaires qui étaient désormais couvert de sang. Le son de la corne se fit entendre à des Kilometres, les Fidels du Légat se remplièrent dans la ville et les Blindés essayèrent mais peine perdu II Légions sauterent sur les Véhicules massacrerent les content de lui hurla "la Bataille n'est pas fini suiver moi !" Il prit son sceptre et son Epee démesuré qu'il maniait avec ce temps le Légat faisait l'état des pertes....sur les 2 Millions d'hommes déployés ils avaient 1 Millions 50000 morts 300000 Bléssés plus ou moins grave. Legat " Combattons nous finirons par vaincre !"Les Survivants "c'est impossible ils ne sont pas humains! " Un Cavaliers suivie de la Premiere Légion arriva sur la place "Tuer le Cavalier"Abigor "tuer les tous sauf le Légat"Les Légionnaires entreprirent leur massacre...les corps des fidels étaient disloqué, déchiré par les lames des têtes roulèrent loin des corps ; la place était rouge. Abigor poursuivi le Légat jusque dans les ruels les plus étroites et se rua sur lui et le fendit de part en part le Légat eut juste le temps d'hurler avant de s'effondré en 2 morceaux. La Flotte d'Ilfeheim se rendit et les derniers Fidels déposerent les armes avant d'être décapité sans aucune pitié. Les Habitants réapparurent et le soir même un grand banquet fut donné au coeur du fief pour fêter le retour d' foule l'aclama et Abigor redevint le grand Seigneur tout puissant qu'il était et décidé à reprendre sa place celle de Démon j'espere que vous vous etes bien amusé à lire Master of puppetsBavardNombre de messages 213Age 35Localisation Sur une autre sphère qu'on apelle la LuneDate d'inscription 21/01/2007Sujet Re Aiur. RP Mar 13 Fév - 902 Mes Amis!!!La voie du seigneur Templier avait puissament résonné assommant les plus atteint par l'alcool et attirant l'attention des plus sobresJe vous annonce que j'ai décidé de quitter mes frères BCCN et de me rattacher a la LgDa en effet en raison des difficultés rencontrés en ce moment par cette alliance j'ai décidé de leur préter mes mines afin de leur permettre un prompt rétablissement. Cela ne changera pas grand chose étant toujours membre de la Triforce. Mon chemin est celui qui permettra a notre Alliance de devenir la plus puissante possible. Que la Terre tremble car la LgDa a un nouveau Gardien et est en phaze de devenir une des Alliances les plus redouté de l'univers!!!Seigneur Krishnouk je plege allégiance a votre empires et jure de défendre son intégrité quoi qu'il en. Par ce serment je me mets sous vos ordres et vous jure allégeance. Que mon épée foudroie mon adversaire au nom de la LgDa a qui j'ai désormais juré fidélité! KrichnoukRégent d'AiurNombre de messages 490Age 34Localisation 95Date d'inscription 26/10/2006Sujet Re Aiur. RP Mar 13 Fév - 2035 Le Comte Krichnouk était assis dans la petite salle juste àcôté de la grande salle. Il était en effet de coutume sur Aiur qu'un prétendantà un vote quel qu'il soit ne soit pas présent dans la salle. Il consulta samontre 04H27, les tractations et les débats traînaient, ce qui n'était pasbon signe. Nerveux, il se leva et fit les 100 pas dans la petite pièce quicontrastait singulièrement avec le faste de la salle de cérémonie. Troisminutes plus tard, un huissier entra "Monsieur le Comte, le vote estterminé et l'Assemblée souhaite que vous en preniez connaissance."Anxieux, Krichnouk s'avança à la suite de l'huissier. Il savait ce qu'il avaità faire, aussi rejoignit il directement Vange sur l'estrade. " Krichnouk,la Triforce constituée en Assemblée a décidée de vous confier la Régenced'Aiur. Puissiez vous exceller dans cette tâche." Le résultat s'affichaalors sur l'écran de la salle. Il était sans appel, il avait gagné à 947 voiscontre 53"Vous allez maintenant prêter serment." Vange sortit del'ordinateur un vieux discours rédigé jadis lors de la passation de pouvoir deLagune à Hamstel qui alla s'inscrire sur l'écran géant. "Krichnouk, comptede Cadia, jurez vous de maintenir dans cette alliance toutes les grandeorientations décidées par son fondateur, telle que la démocratie? Jurez vousfidélité et loyauté envers votre alliance? Jurez vous enfin de tout faire pourmaintenir les bonnes relations qui existent au sein de la Triforce?" LeComte s'avança, régla son micro et commença son discours. Il l'avait longuementpréparé, mais il y croyait. "Je le jure sur la Terre d'Aiur, je jure fidélitéà l'alliance et à ses principes, je jures que je maintiendrais les relations dela Triforce ! Cela, je le jure sur Aiur, mais devant cette assemblée, je jurede faire tout ce qui est en mon pouvoir pour rendre sa puissance passé etlégitime à notre alliance, et je remercie solennellement tous les membres de laTriforce qui ont déjà opérés avec moi pour éviter la disparition pure et simplede l'alliance ! Je jure de tout faire pour que ma Régence ; car il s'agit bien là d'une Régence,rappelons le, le Maître des Gardiens est toujours le Seigneur Vange ; soit lecommencement d'un âge d'or pour nous ! Je vous remercie."Un tonnerre d'applaudissement vint ponctuer son discours,Krichnouk sentit monter en lui l'ivresse de l'ovation qui accueillit sondiscours. Les pouvoirs qui lui ont étés conférés étaient très importants, maisil mesurait à présent la quantité de travail nécessaire à la satisfaction deces promesses éléctorales. ValheruModérateur bavard et Seigneur DragonNombre de messages 1531Age 32Localisation Bah, sur le Forum bien sûr !Date d'inscription 23/04/2006Sujet Re Aiur. RP Ven 16 Fév - 1744 Je ne fut pas tous le temps nommé Valheru et je ne fut pas non plus Seigneur Dragon dès ma naissance. Je vais donc vous raconter comment je suis devenu celui que je suis. A ma naissance, je m'appelait Pug. Je naquit dans une ferme perdue appartenant à la ville de Krondor. Pas très riche, mes parents déménagèrent et allèrent habiter dans Krondor même. Je ne puis allé à l'école car l'argent que mon père réussissait à gagner nous servait à payer les taxes et le peu de nourriture qu'on pouvait. A l'age de 15 ans, alors que je me promenait je vit un autre enfant de mon age poursuivit par une meute de villageois en colère, je me mit dans une petite ruelle invisible de la rue et attendit quelque instant, quand le poursuivit passa je l'attrapa et l'attira vers moi et ensuite derrière une pile de tonneau. Quelques secondes plus tard, la meute de villageois passa. Le garçon, surprit, me dit avant de filer _La Guilde des Voleurs t'es reconnaissant désormais. Quand tu voudras nous rejoindre, viens dans les Bas Fonds de Krondor et met un brassard noir à ton bras. Quelqu'un t'ammènera à nous. Je ne put même pas répondre, il partit à toute allure sur le même chemin qu'avait pris les villageois et prendre une ruelle semblable à la mienne quelques maisons plus loin. Après avoir réfléchis pendant quelques jours, je me rendis dans les Bas Fonds munit de mon brassard noir autour de mon bras. Je marchait dans les ruelles du Bas Fonds depuis plus heure et je n'avait rencontré personne, pas même un clochard, il avait peur de cet endrois et moi aussi je ne me sentait pas très rassuré. J'entendit un bruit derrière moi, je me retournat précipitament, mais rien, pas un rat. Je n'eu pas le temps de me retourné à nouveau quand un tonneau me tombat dessus et m'emprisonnat, le tonneau se retourna et je me trouva tête en bas dans ce maudit tonneau. On mit le couvercle sur le tonneau et je me retrouva dans le noir. Le tonneau tourna plusieurs fois sur lui même, et se dirigat dans tellement de direction pendant tellement longtemps que je ne su même plus où je me trouvait. Je commençait à avoir des courbatures partout et des bleus par dizaine quand le tonneau s'arrêta. Enfin. On m'ouvra le tonneau. Je sortit péniblement, cligna des yeux pour m'habitué à le lumière et distinguat devant moi le même voleur qu'il y a quelques jours. Il souriait et me tendit un verre d'eau. Je le but péniblement et il m'emmena à son chef. J'arriva dans une petite salle, peu éclairée avec pour seul mobilier une table, deux chaise et une bougie sur la table. Une personne était déjà assise sur une des chaise. Je ne pouvait voir son visage car il était caché par une capuche noir et la bougie n'éclairait pas assez pour que j'en distingue les traits. Le voleur m'indiqua l'autre chaise de l'autre côté de la table et s'en alla. Je m'installa sur la chaise libre et le chef des voleurs commença à parler _Il y a quelques jours tu as sauvé mon fils de cette bande de villageois et je t'en suis sincèrement reconnaissant. Pour te remercier, je te propose de te joindre à nous dans la Guilde des Voleurs. Nous t'apprendrons toutes les moyens de voler, toutes les ficelles du métiers. Nous avons enquêté sur vous entre le moment où vous avez sauvé mon fils et maintenant. Nous avons découvert que votre famille avait des problèmes d'argent, vous croulez sous les dettes. Nous vous proposons de remboursez toutes vos dettes. Qu'en dites-vous ? Je mis peu de temps à réfléchir, les problèmes d'argent de mes parents commençait vraiment à être important. J'accepta et on commença à m'initier dès aujourd'hui. Je rentras chez moi, heureux, j'allais dire la nouvelle à mes parents quand ma mère se tourna vers moi en pleurant de joie _Ton père a réussi à t'inscrire dans la Guilde des Guerriers et quand je suis allé à la banque, tous nos problèmes d'argent avait disparu, ça doit être eux ! Es-tu content ? Je ne savais pas quoi dire, j'étais heureux et en même temps je me posait plein de question, je fit un sourrire, enlaçat ma mère, remerçiat mon père et alla dans ma chambre.*Qu'allait-je faire ? Je n'allait pas dire à ma mère que c'est la Guilde des Voleurs qui a remboursé nos dettes, ni que j'en faisait partie. Elle était si ravie. En plus la Guilde des Guerriers est l'ennemi juré de la Guilde des Voleurs. J'ai vraiment la poisse. Va falloir que je jongle entre les deux Guildes.* On était en fin d'après midi et je m'assoupis déjà sur mon lit. Je rêvas. J'étais un magicien et j'envoyais des sorts, je m'amusait à soulever des objets par la pensée. Quand soudain j'entendit un !!!! Je me réveillat en sursaut en entendant la voix de ma mère. J'ouvrit les yeux et je vit ma table de nuit, ma bougie et mon épée en bois qui planait dans la pièce. Je secoua ma tête pour reprendre mes esprits et les objets retombèrent sur le sol. Ma mère, choqué, laissa tombé le petit plateau repas qu'elle m'avait apporté et s'en alla dans la cuisine. Elle me prépara à manger, il était déjà tard le soir et eux avait déjà soupé. On se coucha tous très tôt, sans un bruit, personne ne parla. Le lendemain matin, ma mère était déjà partit, surement au marché et mon père était partit travailler. Je me rendit à la Guilde des Guerriers et m'entraina toute la journée. Le soir, je rentra à la maison fier de moi, on m'avait donné une épée et une pièce de bronze pour ma première journée. Quand j'arriva à la maison, ma mére était assise sur une chaise à côté de la table, un gros livre avec des symboles bizares. Je mis l'épée et la pièce sur la table avec un sourrire et m'assis en face d'elle sur l'autre chaise. Après quelques minutes de silences, elle commençat à parler _Ce que tu as fait hier soir pendant ton sommeil m'as surpris. Je suis allé voir la Guilde des Mages pour leur en parler. Ils m'ont dit que ce phénomène était déjà arrivé qu'une seule fois à un non initié à la magie. L'autre garçon s'appelait Peter. Au même âge que toi il fit la même chose que toi pendant son sommeil. Ses parents l'inscrivire à la Guilde des Mages et il était déjà membre de la Guilde des Guerriers grâce à son père et de la Guilde des Voleurs où il avait réussi à rentrer seul. Tu ne le connais pas sous le nom de Peter mais je crois que celui-ci te marqueras plus. ?_Oui, Murmandamus, le magicien noir, celui qui combat le royaume depuis plus d'un siècle et qui est toujours en suivre ....._________________Valheru, le Seigneur DragonJe crois en un seul Dieu Dionysos Dieu de l'alcool et de la fête ! Et je me bats contre son ennemi Poseidon Dieu de l'eau.Dernière édition par le Dim 11 Mar - 2115, édité 1 fois KrichnoukRégent d'AiurNombre de messages 490Age 34Localisation 95Date d'inscription 26/10/2006Sujet Re Aiur. RP Ven 16 Fév - 1934 Le templier s'était avancé vers Krichnouk pour lui preter allégence"Rellevez vous Seigneur, pas de soumision d'aucune sorte ici"Le Templier se releva, il s'avera qu'il était bien plus grand que Krichnouk, qui faisait deja pourtant un taille respectable"Ici, ce n'est pas à moi qu'il faut preter serment, mais à la Terre d'Aiur, benis soit Elle. Je ne suis que le Régent de cette alliance, néanmoins, les pouvoirs qui incombent à cette tâche m'autorisent, et même me donne le devoir, d'accepter parmis nous un membre aussi puissant que vous. Je vous remercie de votre aide, seigneur." bdmArrivantNombre de messages 17Date d'inscription 20/02/2007Sujet Re Aiur. RP Ven 23 Fév - 232 -"10222...10223...10124...10125"La route était bel est bien aussi longue que dans ses souvenirs les plus fous. Le seigneur bdm se retranchait chaque année dans les colines d'Alandai. C'était pour lui une façon de s'évader loin de tous les soucis des champs de bataille. C'est donc dans cette optique qu'il traversait champs et bois pour rejoindre sa maison natale; au pied des colines sauvages. Son enfance avait mêlé la nature et la solitude, ce qui expliquait facilement l'étrange caractère du personnage. Un léger filet d'air lui carressait le visage; il était si léger qu'un papillon ne s'y serait pas risqué, de peur de perturber l'harmonie du Enfin..."Il y était. Rien n'avait changé depuis un an, si ce n'est le lierre qui montait à présent jusqu'à la toiture du les horizons, le seigneur bdm prit le temps d'inspirer une large bouffée de l'air pur qui l'entourait. Il s'avança vers l'abris qui servait autrefois d'enclos aux chevaux. La paille jonchait encore un sol souillé par les sabots. -"Aah, il est loin ce temps où l'on se baladait encore sur ces braves bêtes".Il se figea là quelques secondes, quelques minutes même, submergé par la nostalgie. Il enjamba la barrière qui lui barrait la route, et alla s'affaler sur le banc en bois que son père avait sculpté spécialement pour lui. Il resta là assis là toute la avait regardé le soleil se noyer derrière les montagnes depuis l'aube, et à présent la nuit tombait. La mer d'herbe oscillait, et s'agitait au grès du vent en prenant la couleur de l'argent. Ce paysage aux environs de la frontière entre le rêve et l'inconscient ne pouvait pas être unique, il en était persuadé. Un endroit onirique comme celui-ci devait exister alors que, dans une lueur éblouissante, apparut ce qui paraissait être un hologramme. La lueur ne semblait pas vouloir s'appaiser, et le seigneur bdm dû se résoudre à tourner la tête, rendant ainsi impossible l'identification du FAN [...]". La voix raisonnait dans sa aura de mystère planait autour de ce curieux personnageSans qu'ils n'aient eu besoin de bouger les lèvres, les deux interlocuteurs purent dialoguer. Après quelques minutes de silence, la lueur s' Je n'en ai jamais entendu parler... Après tout, une invitation ne se refuse pas. Si les gens sont aussi accueillants que le prétend ce Nettoyeur des Mondes, il n'y a pas de souci à se s'ils avaient de beaux paysages vierges comme ici?"[HRP]Voilà, j'vous avez promis un p'tit RP. Chose dûe, chose faite. J'ai dû bacler la fin, c'est assez flagrant d'ailleurs. Mais je prendrai plus de temps une prochaine aurez reconnu là la chère invitation de Rincevent [/HRP] Contenu sponsoriséSujet Re Aiur. RP Aiur. RP Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumlGdA Taverne et Marché TaverneSauter vers
Jai eu faim et vous m'avez donné à manger j'ai eu soif et vous m'avez donné à boire j'étais étranger et vous m'avez recueilli ; j’étais nu et vous m'avez vêtu j'étais malade et vous m'avez visité j'étais en prison et vous êtes venus vers moi. Ils répondirent “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu ? tu avais donc
-35% Le deal à ne pas rater KRUPS Essential – Machine à café automatique avec broyeur à ... 299 € 459 € Voir le deal La Clairière Les extérieurs Les écuries 4 participantsAuteurMessagecaroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet L'enclos Lun 28 Mai - 2157 Il était grand temps que le merveilleux cadeau de Guidonius pour mon anniversaire, rejoigne la Clairière. J'arrivais enfin aux écuries mais pensais que de la mettre un peu dans l'enclos lui ferait le plus grand bien avant de se retrouver avec Tornade. J'ouvris la barrière, lui ota les rennes et la laissa filerVa ma belle, vaJe la regardais troter, je n'en revenais toujours pas d'un si beau présentEt bien il ne me reste plus qu'à lui trouver un nom, mais je ne sais pas trop plusieurs noms me viennent à l'esprit tendresse, câline, merveille ou ...... je ne sais pas trop moi caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Lun 16 Juil - 005 *******************************************Il faisait un temps magnifique et après avoir fait un petit tour dans le jardin, Jérôme voulait aller voir les chevaux. Arrivés près de l'enclos la jument s'avanca vers moi. Je pris Jérôme dans mes brasVas y mon ange, caresse lui le museau, elle aime beaucoup........Vénusia, vient là ma belle vientVénusia avança sa tête et se laissa caresserTu vois je te l'avais dit qu'elle aimait ça, regarde comme elle se laisse faireJérôme était heureux et ne se lassait pas de la caresser caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Ven 31 Aoû - 1045 **************************************************Non loin de la maison, juste après le petit jardin, il fallait passer devant l’enclos pour rejoindre les écuries. J’étais sortis rapidement de la cuisine ne laissant pas le temps à Guido de réagir. Je savais qu’il ne laisserait pas Jérôme tout me fallait aller à l’écurie seller Vénusia et partir prévenir Aylla. Sur le chemin tout se mélangeait dans ma tête. J’avais l’impression, à la réaction de Guido que j’étais une mère indigne qui abandonnait son fils. Mais pourtant mon fils avait l’habitude d’être loin de moi, et Aylla n’était pas une inconnue, je savais qu’il aurait été bien là-bas……. Mais comment aurais-je fait à l’époque quand tout allait mal et qu’il me fallait partir ? et si je n’étais pas partis mon fils serait orphelin de mère et de père, je n’aurai pas connu Guido…… Des larmes coulaient sur mes joues, je ne savais plus…. Est-il donc plus simple de laisser partir son épouse plutôt que Jérôme ? Je pensais qu’il avait compris que nous avions besoin de nous donner du temps rien que pour nous, que depuis sa rencontre avec Jérôme, nos fiançailles, son élection aux ducales en tant que gardien du peuple, notre mariage et sa réélection en tant que procureur, nous n’avons rien eu pour nous…… ou peut-être suis-je trop exigeante ? Je continuais mon chemin vers l’écurie la vision trouble de par mes larmes qui n’avaient de cesse de bien soit, je me rendrais chez Aylla lui expliquant que cela n’était plus possible pour Jérôme et qu’à l’occasion, je prendrai Abela quelques jours guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Ven 31 Aoû - 1335 Guidonius fut rassuré en voyant que sa belle princesse n'avait pas encore eut le temps de seller son cheval. Il la rejoignit dans l'enclos, et lui posa un tendre coeur d'amour, j'ai surement encore été bien maladroit, mais je t'aime plus que tout et cette journée qui te tiens tant à coeur m'est plus qu'agréable. Pendant que tu ammene Jérome chez Aylla, je vais nous préparer un panier repas, comme celà nous aurons encore plus de temps pour nous promener et aller là ou tu aida sa belle princesse à installer Jérome pour le court voyage jusque chez Aylla. caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Ven 31 Aoû - 1923 Alors que je me dirigeais vers les écuries en passant par l'enclos, Guidonius était venu me rejoindre avec Jérôme. J'eus à peine le temps de sécher mes larmes qu'il me déposa un baiser et s'excusant d'avoir probablement été maladroitJ'avoue ne pas trop avoir compris ta réaction, que je ne savais plus que penser et que laisser Jérôme te contrariait fortement. Tu sais, il m'arrive parfois de réagir au quart de tour, et .......... non en fait, ce n'est pas la peine d'en rajouter, je n'ai pas envie de gâcher cette journée et comme tu sembles prêt à laisser partir Jérôme et bien je vais l'emmener chez AyllaGuido m'aida à seller mon cheval, à y mettre le sac puis Jérôme lui fit un énorme baiser avant que Guido l'aidais à s'installer tout contre moi Merci pour ton aide, je crois que nous sommes prêts, allons-y. Je ne tarde pas trop, je ferai au plus vite Je fis avancer Vénusia pour qu'elle sorte de l'enclos avant de la lancer au trot en direction de chez mon amie caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Dim 2 Nov - 1740 [Le lendemain de la réception]Je venais de subir un nouveau choc et cela ne faisait qu'un de trop. Arrivée près de l'enclos, je m'appuyais sur la barrière, levant la tête au ciel laissant là mes larmes couler. Mon coeur souffrait et je n'arrivais pas à comprendre pourquoi Aristote m'infligeais une fois de plus une telle épreuve. Notre famille n'avait-elle donc pas encore assez souffert pour que cela continue encore et encore ? Je fermais les yeux, baissant ma tête pour la poser au creux de mes mains. Cacher ce visage qui pleurait, cacher ces larmes, cacher cette souffrance qui était au fond de moi. Epouse indigne d'avoir abandonnée son époux, mère indigne incapable d'aider ses enfants... voilà sans doute ce que le Très Haut voulait peut-être me faire passer comme message. Me serais-je donc trompée à ce point là sur ma vie ? moi qui avais toujours pensé faire de mon mieux.... me voilà devant un tableau et une situation à laquelle je ne pensais jamais à avoir faire face un jour... JérômeNombre de messages 10Date d'inscription 02/11/2008Sujet Re L'enclos Dim 2 Nov - 1757 Jérôme avait suivit sa mère, elle était appuyé contre la barrière le visage entre ses mains et il lui semblait qu'elle pleurait. Il arriva discrètement derrière elle, puis la pris dans ses ne pleure plus, tu sais que ce n'est pas à cause de toi, tu.... tu sais que je t'aimeIl serra sa maman dans ses bras, et lui fit un baiser sur la joue. clemenceNombre de messages 18Date d'inscription 18/10/2008Sujet Re L'enclos Dim 2 Nov - 1844 Maman, ne pleure plus, tu sais que ce n'est pas à cause de toi, tu.... tu sais que je t'aimeClémence arrive sur ses mots et les regarde surprise. Tout ses doutes s'envolent et une seule chose reste à son esprit, sa mère..leur mère pleure. *Pourquoi pleure-t-elle?* La petite ne comprend pas, s'avance un peu plus près et cherche des paroles rassurante, comme sa mère fait pour elle, lorsqu'elle est ne pleure pas. Je t'aime aussi, maman. Nous allons rentrer au moulin et nous serons heureux tout les trois comme avant. Tu verra, nous serons de nouveau heureux ensemble. Nous n'avons pas besoin d'eux. pensant que le problème réside dans cette nouvelle famille pour elle aussiClémence s'approche et saisit sa mère et son frère dans chacune de ses vous aime tout les deux. caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Dim 2 Nov - 2054 Des bras se resserraient autour de moi, c'était ceux de mon fils. Du revers de la main je séchais mes larmes coulant sur mes jouesMaman, ne pleure plus, tu sais que ce n'est pas à cause de toi, tu.... tu sais que je t'aimeJe serrais à mon tour mon fils dans mes bras quand une petite voix se fit entendre. Une petite voix que je n'avais plus entendu depuis deux joursMaman...Maman ne pleure pas. Je t'aime aussi, maman. Nous allons rentrer au moulin et nous serons heureux tout les trois comme avant. Tu verra, nous serons de nouveau heureux ensemble. Nous n'avons pas besoin d' voix de mes enfants se faisait douce et rassurante tout comme l'étreinte de Jérôme et la main de Clémence dans la mienne. Mais les paroles de l'un et de l'autre me renvoyait la vérité en face, vérité que je devais de ne pas pleurer je respirais un grand coup Mes enfants, mes très chers enfants... moi aussi je vous aime....tour à tour j'embrassais mon fils et ma fille sur le front, puis le lâchant je m'asseyais à même le sol, en tailleur, dos contre la barrière de l'enclos. Libre à eux d'en faire de même s'ils le souhaitaient. Habillée une fois de plus en braies, chemise et hautes bottes pour le voyage je profitais pour m'installer convenablement. Je regardais vers l'écurie, Guidonius ne nous avait pas encore rejoins, sans doute à s'occuper encore de Tornade. J'espérais silencieusement qu'il nous dévisageais tour à tour mes enfants avant de me laisser aller à dire ce qui aujourd'hui me revenait tel un retour de manivelleMes enfants.... tout ce qui vous arrive est de ma faute.....entièrement de ma faute. Je me rends compte aujourd'hui que j'ai tout gâché, que je vous ai privé de ce qui est le plus important pour des enfants... et je m'en veux Clémence... je vous ai privé de votre père, j'ai abandonné votre père ne pensant pas un seul instant aux dégats que pourraient causer cette séparation. Aujourd'hui votre père est un inconnu pour vous, et.... je ne me le pardonne famille si grande.... si nous ne la connaissons pas... c'est de ma faute. Si vous n'avez pas eu le petit frère ou la petite soeur que j'ai perdue c'est de ma faute aussi.... Je sentais à nouveau des larmes perler mais je ne pouvais les retenir tel en était le mal au fond de moi .... si quelqu'un doit en subir les conséquences, c'est moi et personne d'autre.... c'est moi qui ai divisé notre famille... c'est à moi que vous devez en vouloir. J'ai mal et j'en ai le coeur déchiré de vous avoir fait subir tout cela. Si vous saviez comme je regrette tout cela.... je ....je vous demande pardon guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Lun 3 Nov - 022 Guidonius entendit les dernières paroles de Caro en rejoignant son petit monde; il en eut un choc au coeur. Ce n'était pas ainsi qu'il voyait les choses. Il s'approca et passa ses mains autour du cou de sa belle princesse;Mon coeur, les enfants sont assez grand pour comprendre.... et tu n'es coupable de rien... les vrai coupables, nous les connaissons, ce sont ces maudits arrogants nobles qui nous ont fait tant de mal; qui ont divisé la Champagne, causé l'exil de ses meilleurs habitants, et déchiré notre couple. Nous avons subit cette épreuve du mieux que nous avons pu, et si nous nous retrouvons ici ajourd"hui, c'est bien parce que l'amour que nous avons pour nous deux, que nous avons pour nos enfants est plus fort que tout. Jérome, Clémence, venez embrasser votre mère et moi, votre père, qui ne vous ai jamais oublié, nous avons beaucoup de temps à rattraper, mais l'amour que nous avons pour vous nous aidera à le clemenceNombre de messages 18Date d'inscription 18/10/2008Sujet Re L'enclos Lun 3 Nov - 1757 Clémence ne comprend pas pourquoi sa mère parle de famille divisé. Pour elle, sa famille a toujours été uni....tout les trois. Sa vie est dans le Béarn, ignorant tout ou presque du passé. La petite ignore l'homme qui s'avère être son père et s'adresse uniquement à sa mère, d'abord d'un ton sec qui s'adoucit peu à ne te pardonne pas...je ne te pardonne pas de nous avoir aimé pendant tout ce temps, de nous avoir élevé avec cet amour, d'avoir pris soin de nous lorsque nous étions malade, de m'avoir pris dans tes bras à chaque fois que j'étais triste. Je ne te pardonne ni tout ceci, ni tout le reste, car il n'y a rien a pardonner. laissant apparaitre un sourirePour moi tu es la meilleur des maman et Jérôme le meilleur des frères. Je n'ai jamais manqué d'amour avec vous. Voilà pourquoi je ne ressens pas le besoin de connaitre cette famille. Celle que nous formons tout les trois me suffit, il n'y a rien à regretter. Pendant tout ce temps, l'enfant a réfléchi à cette histoire de petit frère ou petite sœur..ainsi ils auraient pu être quatre, une nouvelle dès plus surprenante. Jamais elle a imaginé sa vie avec un père ou un autre membre, en tout cas elle se l'est interdit....trop de questions sans réponse et de douleur en son cœur. Elle tente d'être drôle, tout en restant puis, je suis contente qu'il en soit ainsi...autrement j'aurai eu moins de petite n'ose s'approcher pour réconforter sa mère, s'approcher d'elle l'amenant inévitablement à s'approcher également de son paroles du messir l'ont mis mal à l'aise. Si elles sont vrai, pourra-t-elle pardonner sa mère ceci? Clémence hésite, puis se ce que tu l'aime...vraiment? Est ce que l'amour de Jérôme et de moi ne te suffit plus, tu as aussi besoin du sien?La réponse lui fait peur, afin de cacher son angoisse, elle s'adresse d'un ton froid à son vous l'aimez, faite en sorte que ma mère ne pleure plus et qu'elle soit heureuse. guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 021 Guidonius sourit aux paroles de sa sais Clémence, des calins, bébé tu n'en a jamais manqué, ni de ta mère ni de moi. Peut-être ne t'en souviens-tu pas, mais à 4 tu en aurrait eu toujours autant, voire plus, car nous t'aimons très fort ta mère et moi. Et puisque tu me pose la question, oui je l'aime, nous nous sommes toujours aimé d'un amour ardent, que beaucoup nous ont envié.... et qu'ils ont cherché en vain à détruire. Ne vois-tu pas comme ta mère est heureuse aujourd'hui, avec ses deux enfants et son mari comme je le suis également ?_________________ clemenceNombre de messages 18Date d'inscription 18/10/2008Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 125 Il sourit? Clémence n'en revient pas, surtout les dernières paroles. Elle hausse un sourcil et lui répond avec oui! Je vois ça...ma mère est très heureuse en ce moment. A tel point qu'elle se sent coupable et en pleure. Depuis que je vous ai vu, je n'ai jamais vu ma mère si heureuse. Elle croise les bras et détourne le regard.*Et cet homme est mon père!?* la petite laisse échapper un long soupir, tout en levant les yeux au ciel. *Ça promet!* caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 208 Alors que je terminais ma confession aux enfants je voyais Guidonius arriver. Plus il se rapprochait plus il pouvait entendre mes paroles et lorsqu'il posa ses mains sur mon cou, je me rendais compte que mes mots l'avaient sans doute pertubé un peu. Séchant une fois de plus mes larmes, je relevais la tête pour le regarder esquissant un léger ce qu'il me disait et il avait raison. Si tous ces malheurs nous étaient arrivés, ce n'étaient dû qu'à certaines personnes. Mais au fond de moi je m'en voulais encore d'être partis et d'avoir privé les enfants de leur père un temps. Même si tout cela était derrière nous à présent et que pour mon plus grand bonheur j'avais retrouvé l'homme que je n'avais jamais cessé d' demanda aux enfants de venir nous embrasser, mon regard se tourna vers eux, me demandant quelle réaction ils allaient avoir. Je m'attendais à ce que Jérôme dise quelque chose, mais contre toute attente c'est Clemence qui prenait la paroleJe ne te pardonne pas...Les premiers mots furent un choc et sur le moment j'avais bien cru que mon coeur allait cesser de battre, mais elle enchainait et ce qu'elle disait me touchait profondément. Je remontais mes mains et les posaient sur celle de Guidonius tout en les serrrant très fort et laissant échapper un soupir tout en écoutant ma fille. Et puis ce petit sourire qui naissait sur son visage. A présent c'est des larmes de joie qui perlaient, des larmes qui montraient à quel point ma fille me touchait de ses mots même si l'allusion à la famille et à son père me renvoie la triste vérité. Et puis ces mots concernant la perte de l'enfant. La comparaison venant d'une enfant de son âge est sans doute normale mais même si je ne lui en voulais pas, je souffrais de cette perte mais le gardais au fond de la regardais ne sachant que dire, que répondre. J'en restais bouche bée. Mais arrivait la question inattendue, comme bien souvent la plupart de ses propos. Du haut de son jeune âge elle parlait souvent comme une adulte et arrivait souvent à m' ce que tu l'aime...vraiment? Est ce que l'amour de Jérôme et de moi ne te suffit plus, tu as aussi besoin du sien?Un regard à Jérôme, à Clemence, un autre pour Guidonius avant de revenir vers ma fille en lui souriant lui répondre mais sans attendre que je ne le fasse elle enchaîna sur un ton froid à son pèreSi vous l'aimez, faite en sorte que ma mère ne pleure plus et qu'elle soit réponse de mon tendre époux était juste et j'espérai que Jérôme et Clemence en avaient saisis le sens et comprenaient vraiment que notre amour était fort et que malgré tout ce que nous avons du vivre, il n'a jamais cessé d'exister. Mais les dernières paroles de Guidonius n'avaient pas étaient compris en ce sens pour Clemence. Une fois de plus elle se retranchait derrière son apparence oui! Je vois ça...ma mère est très heureuse en ce moment. A tel point qu'elle se sent coupable. Depuis que je vous ai vu, je n'ai jamais vu ma mère si me semblait là qu'il était temps pour moi de prendre la parole et de répondre à toutes ces interrogations qui n'avaient de cesse de tourbillonner dans l'esprit de notre fille. Je regardais Clemence qui levait à présent les yeux au puce regarde-moi s'il te plait. Je vais te répondre et te dire ce que moi je votre père, je l'aime vraiment... je l'aime très fort, autant que je vous aime toi et Jérôme..... et l'amour que toi et ton frère pouvez me porter compte beaucoup pour moi. Votre amour et l'amour que peut me porter votre père, tout comme l'amour que moi je peux vous porter à tous les trois est identique. J'ai besoin de votre amour à vous trois, comme j'ai besoin moi de vous donner mon amour à tous les trois. Et si j'ai pleuré ce n'est pas parceque je ne suis pas heureuse, c'est tout simplement parceque je me rends compte que je vous ai privé de choses importantes dans votre vie. Votre père m'a demandé d'oublier ce passé et de regarder devant moi. Je fais de mon mieux mes amours, mais je pense que sans votre aide cela prendra plus de temps que prévu. J'ai besoin de vous. Toi Clemence, toi Jérôme et toi mon coeur. J'ai besoin de vous, j'ai besoin de vous savoir auprès de moi, j'ai besoin de savoir que nous ferons tout pour que notre famille, nous quatre, nous soyons heureux comme avant. Alors ma puce, oui ta maman sera la maman la plus heureuse qui soit, même si je le suis déjà de vous avoir tous les trois, là maintenant en cet endroit qui compte énormement JérômeNombre de messages 10Date d'inscription 02/11/2008Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 2101 Jérôme avait tout écouté sans bronché, des paroles de sa mère, de sa soeur et de son père. Beaucoup d'information étaient venue d'un coup et il ne savait trop quoi penser de tout cela. Il avait au plus profond un malaise qu'il ne savait pas expliqué lui même, mais il ne voulais pas blessé sa fît un petit sourire forcé, il fit un baiser sur le front de sa soeur, sur la joue de sa mère et sourit à son à quoi il s'éloigna, en direction de la forêt. guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 2151 Guidonius vit Jérome s'éloigner avec un air triste. Il se doutait depuis quelque temps que son fils n'était pas tres bien. Il alla le rejoindre pour parler seul avec je vois bien qe tout cela te perturbe beaucoup, mais tu sais, nous allons retrouver notre bonheur à tous les quatre. Ici, loin du domaine, nous y sommes plus au as grandi, Jérome, et il faut nous préoccuper de ton avenir.... y as tu songé un peu ? Tu sais que, comme Baron, j'ai besoin d'un écuyer.. et je pensais que maintenant que tu en as l'age, tu pourrais être mon ecuyer... qu'en penses-tu ? cea te ferait un bon début apprentissage des armes. _________________ JérômeNombre de messages 10Date d'inscription 02/11/2008Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 2343 Jérôme vit que son père le suivait, il s'arrêta pour l'attendre. Aux paroles de son père le visage de Jérôme s'éclaira un peu.[Etre vôtre écuyer, oh oui oui, pourquoi pas , c'est une excellente prit d'un coup son père dans ses ne sais pas pourquoi, mais je me sens mal et je ne sais pas pourquoi. guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Jeu 6 Nov - 1206 Guidonius serra très fort son fils dans ses bras. Il sentait bien qu'il était mal depui quelque temps . Je le vois depuis quelque temps, mon fils, et je voudrais tellement que tu sois heureux. Vois tu, ces boulversements récents ont un peu perturbé tout le monde, ta mère et moi également, c'est bien pour cela que nous avons préféré venir passer un peu de temps ici, à la clairière, ou notre bonheur n'est dérangé par rien. Ici nous allons nous retrouver tous les quatre et reconstruire ce bonheur que nous avons perdu quelque temps. _________________ clemenceNombre de messages 18Date d'inscription 18/10/2008Sujet Re L'enclos Jeu 6 Nov - 1706 Clémence écoute sa mère et tente de comprendre ces attentes."et toi mon coeur" la petite ne peut s'empêcher de faire les gros yeux, surprise, suivit d'une grimace de dégout. Puis oubli bien vite en comprenant qu'à partir de maintenant, la famille se sera à quatre et non plus à trois, qu'elle le veuille ou frère ne dit mot et s'éloigne, la petite va pour le rejoindre, mais se fait devancer par leur père.*Pfff! Va jouer au gentil papa qui s'occupe de nous maintenant?* un dernier regard vers lui, avant d'en profiter pour s'installer au côté de sa mère et pose sa tête sur bien qu'elle ne sache pas trop avec quoi elle l' hésite un instant ne sachant comment sa mère va le prendre. Puis finit par se confier à sa celle ci, profitant que son père ne puisse l'entendre. La réaction de cet homme, lui faisant bien plus Je vais être obliger de l'appeler...papa? caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Dim 9 Nov - 1426 Jérôme sans un mot partait en direction de la forêt suivi de près par Guidonius. Je trouvais que c'était une bonne initiative. Jérôme avait besoin de retrouver la complicité qu'il avait toujours eu avec son père. Ce n'est pas ces quelques temps de séparation qui avait pu tout changer du tout au tout. Il suffisait pour ma part qu'ils puissent se retrouver seul tous les deux à parler pour que très probablement tout cela redevienne comme savais que Guidonius allait sans doute trouver les mots regard se posait alors sur ma petite fille. Ces longs mois de séparation pour elle devait lui paraître être des années et je comprenais qu'elle ait plus de mal que Jérôme. Lorsqu'elle se mis à mes côtés et posa sa question, je passais mon bras autour d'elle pour la serrer légèrement contre moiMa puce...je sais que tout cela te semble difficile et que les quelques temps de séparation te sembles une éternité et que tu as oublié une partie de cette vie à quatre..... Mais ton père reste ton père et..... oui il me semble logique et normal que tu l'appelles "papa", tout comme il est naturel pour toi que tu m'appelles "maman" ou "mère", mot que tu utilises aussi de temps en temps et qui me fait sourire parceque je sais exactement ce que cela signifie pour toiJe soulevais son menton de ma main gauche et lui souriaisTu as peur je le sais, mais tu verras que très vite tu retrouveras tout l'amour que tu as pour ton papa. Je suis certaine qu'au fond de toi tu luttes entre ce que le coeur pourrais te dicter et ce que ta petite tête te dicte aussi. Mais tu sais ma puce.... si j'ai un conseil à te donner, laisse parler ton coeur.....Je l'embrassais sur le front et lâchais ma fille pour me relever. Debout, je lui tendais ma mainAllez ma chipie adorée, viens... on va chercher nos affaires et rentrer à la maison préparer quelque chose à manger. Tu dois avoir faim non ? Moi j'ai faim .... et je pense qu'il doit en être de même pour Jérôme et papa clemenceNombre de messages 18Date d'inscription 18/10/2008Sujet Re L'enclos Mar 11 Nov - 1603 La voix de sa mère l'apaise et la rassure, même si ce qu'elle entend ne lui plait guère. Cependant, peu à peu elle se résout à appeler son père comme il se doit. Clémence prend la min de sa mère pour se relever et la lâche rapidement aux dernières paroles. "pour Jérôme et papa" , un souvenir enfoui depuis longtemps ressurgis, sa gorge se noue et se sens prête a rentrons! J'ai baissée elle reprend la main de sa mère et se concentre sur sa faim pour ne pas replonger dans se souvenir. caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Mar 11 Nov - 1931 Clemence se relevait mais je sentais que mes dernières paroles en évoquant son frère et son père l'avait troublé. Nulle envie de relever, il lui fallait digérer tout cela. D'ailleurs en pensant à digérer Clemence me confirmait bien qu'elle avait nous allions chercher nos affaires avant de nous rendre à la maison JérômeNombre de messages 10Date d'inscription 02/11/2008Sujet Re L'enclos Mer 12 Nov - 2050 Citation Je le vois depuis quelque temps, mon fils, et je voudrais tellement que tu sois heureux. Vois tu, ces boulversements récents ont un peu perturbé tout le monde, ta mère et moi également, c'est bien pour cela que nous avons préféré venir passer un peu de temps ici, à la clairière, ou notre bonheur n'est dérangé par rien. Ici nous allons nous retrouver tous les quatre et reconstruire ce bonheur que nous avons perdu quelque temps. Jérôme ne releva pas les paroles de son père, il se contenta de sourire, puis s'adressant à lui avec je suis prêt à vous servir, j'ai hâte de devenir votre pour l'heure il me semble que nous devrions rejoindre maman et clémence.[/color]Jérôme n'attendit pas de réponse, il se dirigea vers sa mère et sa soeur, qu'il avait laissé un peu plus tôt. guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Jeu 13 Nov - 110 Guidonius rentra à la suite de sa petite famille dans la clairière. Il était temps que la vie reprenne son cour dans ce havre de paix qu'ils aimaient tant avec Contenu sponsoriséSujet Re L'enclos L'enclos Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumLa Clairière Les extérieurs Les écuriesSauter vers
Cheminde croix, message du Pape François. « J’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais
Le Deal du moment -35% KRUPS Essential – Machine à café ... Voir le deal 299 € COMMENCEMENT. Corbeille Aller à la page 1, 2 AuteurMessageInvitéInvitéSujet le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1423 Louhan allez monte. Puré il fait frais, j’ai froid aux jambes moi. Monte ou sinon je te fait grimper moi-même si tu n’es pas encore en état… » Louhan tourna la tête vers le conducteur, ou plutôt la conductrice. Il avait la tête appuée sur l’appui-tête de son siège, il fixa Charlotte, ou Stephanie il savait plus. Du moins il n’arrivait jamais à savoir entre elle et sa sœur. Il la regarda, ba quoi il allait pas foutre le chauffage en été. Elle avait qu’à pasmettre de mini jupe pour son service. Il soupira, cherchant avec sa main la poignée. Il ouvrit la portière et sortit difficilement certe. Je peux encore monter seul chez moi…merci de m’avoir déposé » répondit-il. Il la regarda partir et s’alluma un joing. Après tous il n’était plus à ça près. Il était cinq heures du matin. Son service ayant finit à 3 heure il avait eut deux heures pour se prendre 1,6 gramme de coke, deux bouteilles de vodka et une de rhum. Puis L’une des jumelles Stewton avait décuidé de rentré chopant par la même occasion le jeune home. Pas très sympa de l’interrompre dans sa super soirée. Super soirée, quelle ironie. Il avait terminé son travail se sentant abject. Hopeless hantant ses pensées. Là c’était assez dur de penser à la jeune fille. Allumant une clope il monta les escaliers un à un. Assez lentement pour pouvoir encore tenir debout. L’appartement n’était pas fermé. Heureusement car il n’aurait jamais réussit à rentrer dedans. Il alluma juste une lampe près du canapé, pour ensuite aller à la salle de bain. Il regarda son reflet défoncé, ses traits tirés, ses joeus creusées. Oui il était bien un junkie comme tous le monde le pensait. Il prit trois cahcets censé faire passer le mal de tête. Lui il voulait juste faire passer l’alcool le mal de tête lui permettait de pas trop se concentrer sur un autre mal. Il but ce verre abject. Grimaçant il retourna à son visage. Quelques secondes plus tard il du se précipiter vers les toilettes pour régurgiter quelques verres voir une bouteilles au moins d’alcool. Il s’essauya la bouche reprenant des médicaments. Puis il repartit dans le salon. Zippo en main il alluma un joing. Il fixa cette porte close. Tristan. Où es-tu ? Je ne t’ai jamais demander de revenir car je sais que tu es avec elle. Que vous êtes ensemble…mais j’ai tant besoin de toi. Pourquoi tu peux pas être là. Je peux rien faire…je sais pas comment faire Il tourna la clef dans la serrure, la porte s’ouvrant doucement. Le noir total. Il fit un pas, l’ambiance étrange. Un cadre lui faisant face. Deux jeunes hommes, quasiment semblabes. Assis sur du bitume, riant , amusé d’une blague commune sans doute. Le même regard, les mêmes tatouages. Louhan peu reconnaissable, des tatouages en moins, une vie en plus dans ses yeux. Le jeune homme s’approcha de ce souvenirs, cette pièce recouverte de photos, de souvenirs. Avec une guitare posé sur une banquette abimée. Louhan s’approcha de cette banquette, jouant quelques accords. Il posa cette guitare, s’allongeant dans cette pièce qui encore une fois lui rappelait le passé. Ses yeux se fermèrent peu à peu, son visage crispé par Tristan se mélangeant avec Hopeless… InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1444 J'avais faim. Depuis combien de temps je n'avais pas mangé ? J'avais l'immense flemme de me faire à manger. Deux jours ? Oui, sans doute. Ça faisait deux jours que je n'avais pas mangé correctement ce qui pouvait se voir. Mon corps tremblait doucement, alors que mes pas résonnèrent. J'étais la seule, dans la nuit totale et j'avais peur. Peur du noir. Mais pas que du noir non plus. Peur de ce qui allait se passer avec Louhan, car j'étais bien décidée à aller le voir, de nouveau quitte à ne rien lui dire. Seulement le regarder, vivre. Je voulais seulement le voir. Son regard bleu et son sourire provocant. Je voulais seulement voir ça. Lui. Louhan. Ce doux prénom qui faisait si mal, qui me rendait malade autant qu'il me tuait. Louhan. Mes pas accélèrent, je stressais comme une grosse malade dans la nuit. Dn plus, j'entendais des voix d'hommes. Or, je ne pouvais courir, car je n'en avais pas la force. Et Louhan qui habitait dans un quartier qui craint. Un jour, j'allais lui crever les yeux pour avoir habité ici. Son immeuble était là. Je montais les marches, doucement. Fatiguée. Il était tard. Ou plutôt tôt. Je ne savais pas à quelle heure finissait Louhan alors j'étais venue chez lui, tard. Il était cinq heures du matin surement. Je baillais, doucement. Il fallait que je le vois. Maintenant. Dernier étage, la porte de son appartement. Je toquai doucement. Pas de réponse. Je toquai une nouvelle fois. Pas de réponse. J'enclenchais la porte, dieu merci elle était ouverte. Louhan, tu es là? » demandais-je d'une petite voix, timidement. Pas de réponse non plus. Une porte était ouverte, cette porte close qui m'intriguait. Allais-je me faire tuer et découper en petit morceaux par la suite ? Tant pis. J'entrouvris la porte, délicatement. Il était là, allongé sur le sol, les yeux fermés. Il était beau, terriblement beau. Je souris, peu de temps, avant de grimacer. Il aurait dû m'entendre, là. Pourquoi ne bougeait-il pas ? Effrayée, je m'approchais de Louhan en vitesse, le secouant. Louhan, tu me fais quoi là ? » Ne le voyant pas ouvrir les yeux, je le secouais, encore. Il commençait sérieusement à me faire peur. Je pris peur, sans savoir pourquoi. Il était là, ne répondant pas. Je levai la tête, regardant autour de moi et vu une photo, de deux garçons. Je ne les voyais pas bien, tant pis. Je m'en foutais à vrai dire. Parce que Louhan ne répondait toujours pas et que mon cœur se serrait de plus en plus. Répond moi, Louhan bordel ! Répond moi ! InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1750 A travailler, à se droguer et à boire il allait un jour finir par crever. Il le savait mais arès tous, tous le monde finissait un jour par mourir. Et Louhan était persuadé qu’en mourrant il rejoindrait Tristan. Pourquoi ne pas le rejoindre dirctement ? Ce serrait facile à vrai dire, une voiture qui va trop vite, un saut dans le vide, une corde, trop de coke, trop d’alcool. Il avait le choix, trop de choix. Mais à chaque fois qu’il y avait pensé, à chaque fois qu’il avait vouluit le faire. Il y avait ce souvenir. Cette dernière nuits, ensemble, rien que tous les deux. Et Tristan lui faisant juré de vivre pour deux, cette promesse sceller par leur lèvres se collant l’un à l’autre pour échanger le même air, un air plein de tabac. Alors il ne pouvait le faire, car aussi bizarre que cela pouvait paraître c’était Tristan qui depuis des années le forçait à pas aller jusqu’à l’overdose. Même mort il le forçait à ne rien faire de trop absurde. Alors pourquoi ne l’avait-il pas forcer à ne pas tomber amoureux de cette fille ?Louhan s’était endormit sur ce canapé, la guitare de Tristan posée à terre, dans cette univers qui pouvait sans doute le ramener au temps où il n’y avait pas encore tous ces souvenirs. Où il y avait juste le présent et l’interrogation de savoir se qu’ils ferraient le lendemain tous les deux. Il était défoncé, bien soule aussi. Il aurait vraiment du mal le lendemain matin. Ca présageait un mal de tête féroce. Mais pour le moment il avait sombré dans les bras de Morphé. Il n’entendit pas sa porte s’ouvrir. Ca pouvait être dangereux, n’importe qui pouvait pénétrer son appartement mais il y avait peu de chose à voler vu que cette pièce était toujours fermée. Il ne la sentit pas approcher. Comment l’aurait-il pu ? Il se sentit alors secouer. Pourtant il n’arrivait pas à réagir. Trop dans son sommeil. Qu’on le laisse tranquil. Il voulait juste dormir mince. Il ne bougeait pas. Pourtant il fut tellement secoué, reconnaissant cette voix affolé. Il sortit peu à peu de son sommeil. Puré impossible de dormir tranquil. Il repoussa un peu Hopeless essayant de retrouver ses souvenirs, se qui se passait. Il refit vite surface néanmoins. La voyant la face à lui. Que faisait-elle ici ? Pourquoi était-elle là ? Pourquoi venait –elle le voir comme si il avait une réel importance ? C’est alors qu’il repéra où ils étaient. Le lieu. La chambre. Que faisait-elle ici ? Louhan pourtant apaisé resota sur ses jambe où du moins d’abord en mode assis il se leva rapidement. Dégages…qu’est-ce que tu fous ici ? Sort !!! » Sa voix furieuse brisant le silence. Il la prit par le bras, la forçant à se tirer de cette pièce. Il la tira violament vers la sortit. Un remake de la scène où un jour il était en manque mais peut-être en plus furieux. Il claqua la porte de la pièce derrière lui. Cachant son visage dans ses mains. C’est alors qu’il réalisa se qu’il avait fait, il réouvrit la porte sortant dans le salon. Sur une Hopeless qui n’avait pas bougé. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1845 Et s'il venait à mourir. Nan mais c'est vrai quoi, il avait un mode de vie plutôt étrange. S'il venait à mourir comment je ferai moi ? C'était égoïste, je le savais, mais là, à ce moment même, je ne voulais pas m'imaginer vivre sans lui, sans ce putain de regard bleu qui avait envahit mon esprit sans oser en repartir. Il était là, graver et je ne pouvais m'en passer. Non. Jamais. C'est pour ça que j'étais présente, chez lui dans cette pièce étrange à le secouer de toutes mes forces alors que mon cœur lui, ne battait plus. Il ouvrait les yeux lentement et je soupirais. Quel con ! Il emmargea peu à peu sautant sur ses jambes se levant rapidement. Dégages.. Qu'est-ce que tu fous ici ? Sors ! » Me prenant par le bras, il me faisait mal. Il m'avait jeté comme une vulgaire chose à la porte. Je ne compris pas. Il était dans la pièce et moi aussi. Ce qui me laisserai le temps de trouver une excuse bidon pour ma présence ici. Fouillant dans mon sac, je trouvai son débardeur. Bingo, j'allais m'en sortir. Il ouvra la porte, doucement. Il était vraiment horrible. Enfin, pas physiquement horrible mais, ses yeux étaient tellement rouges, sans vie. Pire que quand nous nous étions vus au bar. Il avait du se droguer, après. Encore. Je soupirais lentement. Pourquoi m'était-il sa vie en danger, ainsi ? Et pourquoi la drogue ? Je sais pas, il y a de nombreuses autres choses dans le monde. Pourquoi ça ? Ne tenait-il vraiment pas à vivre ? Un de ces jours il allait en crever, chose que je ne voulais pas. Absolument pas. Je m'approchais de lui, dangereusement, sortant son débardeur de mon sac. Je voulais te rendre ça.. » dis-je d'une petite voix, lui tendant. Nous étions à quelques centimètres, il ne bougeait pas. Je soupirai, le posant sur la petite table alors que je n'avais pas bougé. Non. Toujours cette même proximité entre nous deux. Enivrante, mais surtout vertigineuse. J'avais la tête qui tournait, les jambes qui tremblaient. Instinctivement, je m'accrochai à Louhan - ce ne fut pas la meilleure idée de ma vie - trop faible pour attraper quelques choses d'autres. Mais qu'est-ce qui m'arrivait ? Pourquoi étais-je devenue si faible, si tremblante d'un seul coup ? Ma tête se posa lourdement sur l'épaule de Louhan, j'essayais de la relever. Aucune réponse de ma tête devenue trop lourde. J'aurais dû édition par Hopeless J. Shinedown le Dim 27 Juin - 2235, édité 1 fois InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 2118 Je voulais te rendre ça.. » Louhan la regardait, la face à lui. Elle avait quelque chose dans ses mains. Louhan regarda un instant le bout de tissu. Puis il remonta le regard vers Hopeless sans rien dire. Comprennant alors que c'était un de ses débardeurs, il n'en eut pourtant pas grand chose à faire. Elle le posa sur la table basse, sans bouger d'un pas. Elle était là. Si près de lui. L'observant comme un animal de foire. Il ne comprennait pas. Il allait bien, qu'elle le laisse tranquil. Il allait bien, qu'elle s'en aille. Il allait bien, pourquoi revenait-elle pour troubler cette paix instorée par la drogue. Nan pourtant elle était là. Après tous se qui s'était passé comment pouvait-elle être là? Il la regardait essayant de savoir comment réagir. Mais son cerveau encombré par du coton semblait plus savoir. Etait-ce la drogue? Où alors simplement qu'il ne savait plus comment se comporter. Un sience s'installa entre eux. Pesant, Louhan ne disait rien. Dos à la porte qu'il avait refermé. Face à elle, si proche de lui et pourtant si loin en même temps. Que devait-il faire? Comment pouvait-il effacer ces images de sa tête? Comment pouvait-il faire confiance à une fille qui disait l'aimer mais qui avait coucher et eut une relation de couple avec un autre? Merci... tu aurais pu le garder mais c'est...sympa » répondit-il au bout d'un moment. Sa voix calme et posé, une voix blanche de toute émotions. son cerveau refusant de comuniquer autre chose. Quel heure était-il? N'avait-ce été qu'un rêve? Tout ce qu'il avait vut ces dernières heures n'avait-il été qu'un cauchemard? Pourtant tous semblait si réel, si proche, si douloureux. C'était cette douleurs qui lui broyait la poitrine qui lui montrait que c'était réel. Et il se haissait que seulement une fille puisse le mettre dans cet état?. Quoi c'était pas la fin du monde? Ce n'était qu'une fille. Non ce n'était pas qu'une fille. C'était cette fille , et elle remettait tout en cvause, elle faisait tous remonter. Il la regarda, que devait-il lui dire? Car il en avait aucune idée. Néanmoins elle avait une sale tête, pas autant que lui certe. Mais elle avait l'air crevé et affamé. C'était facile à deviner car la jeune fille mangeait comme dix d'habitude et que là il vit rapidement . Il la regarda toute trace de colère refoulé. Tu veux manger quelque chose? » InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 2343 Le silence, c'était ça le pire. Aucun bruit, seulement son souffle et le mien. Trop proche, beaucoup trop proche. L'idée de l'embrasser me vint à l'esprit, mais je la rembarrai aussitôt, c'était une mauvaise initiative, car je ne savais pas comment il allait réagir si jamais je venais à toucher ses lèvres. Ses lèvres qui m'appelaient sans le savoir. Ses lèvres que je regardais un bon moment, avant de plonger mon regard dans le sien, vide. D'habitude si provocant, si joueur. En trois petits mots, il avait perdu ce qu'il était. Ce garçon si sûr de lui. Trois petits mots qui avaient changé ma vie. Trois petits mots qui avaient relancé mon cœur, pour mieux le briser. Pourtant, je n'avais pas de quoi avoir le cœur brisé, mais savoir Louhan souffrir à cause de moi, ça me tuait. Je n'étais qu'une fille parmi tant d'autre. Pourquoi moi ? Pourquoi m'avait-il dit ça à moi ? Pourquoi pas à une autre, une fille plus simple, une fille qui lui ressemble, une fille qui aurait pu trouver les bons mots pour le faire revenir. Une fille qui aurait pu l'aimer sans le faire souffrir, car je l'aimais oui, mais au final il avait mal. Ça se voyait. Il n'avait jamais été aussi froid avec moi, jamais aussi distant. Je regrettai ces nuits simples mais douces dans ses bras, sans ces trois mots. Sans sentiments. Sans rien. Merci... Tu aurais pu le garder mais c'est.. Sympa. » il me répondit, enfin. La voix dénué de sentiments. Si distant. Je soupirais. Sentir son odeur à longueur de temps ? Autant directement sauter d'un pont, ce serait plus simple. Sa peau était si lisse, si dure, si.. Rah non, je devais m'interdire de divaguer ainsi. Mon ventre gargouillant et sans le vouloir je m'accrochais légèrement à Louhan. Tu veux manger quelque chose ? » Je le regardai, serrant les lèvres et souris intérieurement. C'était déjà bien, il ne me haïssait pas jusqu'à me faire mourir de faim. Euh, oui je veux bien, s'il te plait.. » dis-je en rougissant, timidement. Pourquoi je rougissais ? Je ne savais pas. Mais je rougissais, souriant bêtement, ne le regardant plus dans les yeux. Je me reculai et le suivis dans la cuisine, m'asseyant sur la première chaise qui se trouvait dans la pièce, beaucoup trop faible et fatigué pour faire un pas de plus. J'avais seulement envie de manger là. Manger Louhan ? Encore plus mais bon, ça, c'était une autre histoire. Baillant, je croisais mes bras et posa ma tête dessus, regardant Louhan se débrouillait à me préparer un truc de mangeable. Je souris. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1108 Euh, oui je veux bien, s'il te plait.. » Il hocha la tête sans un mot. Il la regarda, elle lui sourit doucement rougissant. Il la regarda sans rien dire. Ce truc qu'il aimait tant, sa réserve que faisait qu'elle rougissait tous le temps, ce sourire timide. Il aurait voulut lui ordonner d'arreter ça, ça faisait trop mal. Mais il n'en fit rien. Il tourna les talons allant vers la cuisine. Il tourna juste avant la clef dans la cerrure. Toujours autant fuireux qu'elel y ai n'ajouta rien. La cuisine, toujours avec ce bordel continuel. Louhan se nourissait peu, il avalait des fruits, des céréals, du lait et du café. Pas de viande, ni rien d'autre. La drogue servait à la combler l'estomac lorsqu'il avait trop faim. Il l'entendit s'assoir sur une chaise; il ne vérifia pas. Non moinbs il la voyait moins son coeur semblait imploser. Il ouvrit le frigo, bière, vodka, fruit, bière et encore bière. Il trouva auissi un paquet de clope. Surprit il le posa sur le haut de son frigo avant de renfermé la porte, ouvrant un placard il en sortit un paquet de céréal, il tendit aussi du pain. Débarassant légèrement la table des paquet de clopes, cendrier, livre et fait divers il lui posa ça devant elle. Puis lui donna un bol et des couverts. Il y avait rien dans son appartement; mais en même temps il y avait peu souvent des invités à faire manger ici. Il y a pas grand chose d'autre.. si tu veux des fruits sert toi dans le frigo» L'einforma -t-il levant à nouveau les yeux vers elle. Etrange sa présence ici, là sans se toucher, sans ce petit truc, sans être se passa une main dans ses cheveux court, sortant un verre il le remplit d'eau y plongeant de nouveau un médicament. Si il finissait pas drogué il finirait addict aux médocs. Il le laissa se diluer dans l'eau, sortant une clope. Il partit chercher son zippo. Le voyant sur le meuble, il se rappela quelques jours plutôt Hopeless jouer avec, l'allumant avec joie. Il détourna les yeux allant chercher un autre briquet dans un meuble. Puéril peut-être mais rien que cela faisait mal. Il revint dans la cuisine, Hopeless devait être fatiguée vu sa tête. Quoi? Que devait-il faire? Pouvait-il jouer encore longtemps ce rôle d'être serviable malgré tous ça. De ne pas lui crier dessusn de ne pas la détester. Non il ne pourrait pas rester longtemps mais il savait qu'il ne pourrait pas non plus la détester. C'était impossible tous simplement. Il s'accouda à l'évier, les yeux posé sur la table. Silencieux, le bruit de son médoc efervescent rompant juste le silence. Pas de musique pour une fois. Il posa du tabac sur sa feuille et roula une cigarette. Silencieux avant de la porter à ses lèvres l'allumant. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1200 Que pouvais-je faire pour le rendre de nouveau normal ? Pour pouvoir glisser ma main dans la sienne, pour pouvoir toucher ses lèvres, si parfaites ? Je ne savais pas quoi lui dire, encore moins quoi faire. Pourtant, il allait falloir que je trouve, car ce silence était pesant et je voulais tout régler. Je voulais être avec lui, le voir sourire. Le voir vivre et en découvrir un peu plus sur sa vie, petit à petit et non pas sur cet être distant et maladroit. Celui qui souffrait en silence, mais qui se trahissait par son regard. Je pourrais tout donner pour rester dans son regard, pour voir cette étincelle de provocation qui lui était fidèle. Or à cet instant, il n'y avait plus que de la peine, de la haine et de l'amertume. Je ne voulais pas qu'il me déteste, je ne voulais pas qu'il ai une fausse imagine de moi. Et pour ça, je devais parler. Mais pas maintenant, moi, il déposa un paquet de céréales et du pain. Puis un bol et des couverts. Il y a pas grand-chose d'autre.. Si tu veux des fruits sert toi dans le frigo. » Il regarda en ma direction, je fuyais son regard trop bleu. Merci.. » soufflais-je doucement, lui souriant en coin. Une fois qu'il eu détourner le regard, je le regardais à mon tour. Il était beau, encore plus quand il se passait la main dans les cheveux. Une fois de plus, mon cœur rata un battement. Je versai des céréales dans le bol, mâchant lentement. Même le fait de voir ce bol et ces céréales me rendaient nauséeuses. Ils me rappelaient un matin, où j'avais dormi chez lui et que nous avions déjeuné ensemble, aussi banalement qu'un couple normal. Je me souviens que ce matin-là, j'avais souri, pour rien. J'avais souri, car ce banal je voulais en faire mon quotidien, avec lui. Je le regardais bouger, à l'instant même, allant chercher un briquet surement. Le bruit de son médicament qui se diluait dans l'eau me paru bruyant. Serait-ce parce que ce silence était trop étouffant ? Je n'osais même pas mâcher ayant peur que cela fasse trop de bruit. Avalant une nouvelle cuillère, je baissais le regard. Il était là, adosser à l'évier, le regard fixait vers la table. J'avalai difficilement, m'apprêtant à parler. Écoute Louhan je.. Je suis désolée. Demain, j'irai parler à Nathaniel parce que, même si tu risques de le nier, je sais que ça te fait mal au fond, ton regard te trahit. » Ton si beau regard bleu, pensais-je. Et que, même si ça ne mène à rien, même si ça ne ressemble à rien, même si ça se terminera mal, je.. Je veux essayer. Essayer d'être avec toi, même si c'est dur, même si c'est impossible. Je veux être avec toi. » Je terminai ma phrase, le regard sur le bol. Je n'avais pas envie d'affronter son regard et je craignais ses mots. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1440 Les seuls bruits qui brisaient le silence étaient ceux de son médicament et les céréals de Hopeless. Rien de plus. Louhan fumait en silence, fixant cette table sans rien dire. Qu'est-ce qui était à dire? Il prit un cendrier plus loin et y déposa la cendre sans ce soucier du reste. Une voiture passa à vive allure dans la rue en bas. Il n'y pretta pas attention. Ils se faisaient face, pourtant incapable de se parler. Rien, il n'y avait rien à dire. autant pour Hopeless que pour lui. Il sentait cette atmosphère tendue. Écoute Louhan je.. Je suis désolée. Demain, j'irai parler à Nathaniel parce que, même si tu risques de le nier, je sais que ça te fait mal au fond, ton regard te trahit. ... Et que, même si ça ne mène à rien, même si ça ne ressemble à rien, même si ça se terminera mal, je.. Je veux essayer. Essayer d'être avec toi, même si c'est dur, même si c'est impossible. Je veux être avec toi. » Louhan releva la tête. Elle ne le regardait pas. Elle avait les yeux posé sur son bol. Il ferma les yeux, la machoire serrée. Pourquoi retourner le couteau dans la plaie? Mais si il se répétait qu'entre lui et Hopeless rien ne pourrait se passer, quel était donc ce truc que lorsqu'elle termina sa phrase il ressentit? Il secoua légèrement la tête, comme si il voulait s'éclairicr les pensées. Non rien ne pourrait fonctionner, il la détruirait. Il préférait se détruire lui plutôt qu'elle car au finale ça serrait se détruire tous les deux. Il tendit la main vers son verre, le faisant tourner entre ses mains il le regarda. L'eau moitié blanche. Il le porta à ses lèvres et but le liquide d'un coup. Grimaçant il reposa le verre dans l'évier. Restant adosser au rebords de l'évier. Tu devrais rester dormir ici cette nuit...ma voiture et resté sur le parking du bar et c'est dangereux que tu rentres à pieds à cette heure là... donc tu peux dormir dans ma chambre. » dit-il. Sa voix neutre, brisant le silence. Calme, serein. Ca lui couptait d'agir comme si de rien était mais s'était ainsi. De plus il avait vraiment besoin de dormir pour voir se que cela ferrait les idées moins embrouillées. Il souhaitait juste que cela ne soit pas pire, que la douleur ne soit pas plus intense. Il avait parlé sans faire par de se qu'avait dit Hopeless. Il se remit debout, écrasant sa cigarette. Et tu verras demain ce que tu ferras... ou pas » continua-t-il. Ne voulant rien dire de plus. Il prit son paquet de clope, et une bouteille de bière fraîche. Passant dans sa chambre il prit juste un oreillé pour lui; laissant le reste à Hop'. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1516 Il était là, adosser à l'évier, à ne pas bouger. Il me rendait nerveuse. Beaucoup trop nerveuse. Portant une nouvelle cuillère à ma bouche, mon ventre commençait lentement à cesser de me bruler. C'était bon de manger. Le bruit des céréales croquant dans ma bouche retentissait dans la cuisine. Louhan bu son médicament, grimaçant. Je souris doucement. Tu devrais rester dormir ici cette nuit.. Ma voiture est restée sur le parking du bar et c'est dangereux que tu rentres à pied à cette heure là.. Donc tu peux dormir dans ma chambre. » il avait dit ça, d'une façon tellement neutre. Dormir dans sa chambre, sans lui. Je grimaçais, mangeant une dernière bouchée de céréales. De plus, il n'avait pas fait attention à ce que j'avais dit.. L'avait-il au moins entendu ? Je soupirais. Et tu verras demain ce que tu feras... Ou pas. » Il passa à côté de moi, ne disant rien de plus. Il m'agaçait, dans sa manière d'être. J'avais envie de le frapper tellement fort pour qu'il revienne, pour qu'il soit de nouveau normal ». J'étais fatiguée, c'était vrai. Mais dormir dans sa chambre, sans lui, ça me faisait encore plus mal au ventre que lorsque j'avais faim. Je me levai, déposant mon bol dans l'évier. Je n'avais pas la force à faire ma maniaque ce soir. Passant dans le couloir, le regardant. Je soupirai et entra dans sa chambre, ne fermant pas la porte. Je n'avais pas envie de sentir cette solitude encore plus s'accrocher à moi la nuit. Je déboutonnai mon jean, le glissant le long de mes jambes et le laissa là, par-terre. Sa chambre sentait Louhan et c'était horrible. Je me mis sous les draps, mettant un bras sous l'oreiller, montant mes jambes pour les rapprocher de mon ventre. J'avais froid, je me sentais mal et son odeur me tuait. Dn plus, son oreiller sentait vraiment lui. Je fermai les yeux, doucement, une larme coula le long de ma joue. Je pleurais silencieusement. Je voulais être dans ses bras pour me réchauffer, je voulais le sentir inspirer, puis expirer. Je voulais qu'il me sert, tellement fort pour oublier. Oublier tout cela et cette pièce étrange. Il me collait à la peau, tout le temps. Dans ma tête, c'était des flashs qui n'arrêtaient pas de barrer le chemin à mon sommeil. Je le voyais, dans ce lit, souriant. Je le voyais, dans ce lit, m'embrassant. Instinctivement, je passais mes doigts sur mes lèvres, souriant. Un sourire qui devait plutôt ressembler à une grimace. Essuyant mes larmes, je remontais les draps par-dessus mon visage. Au moins eux, me protégeraient des cauchemars. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1529 Louhan la laissa dans sa chmbare. Il fut surprit de ne pas entendre la porte se fermer. allant vers son canapé il vit qu'elle l'avait laissé entre-ouverte. Il soupira, venant s'assoir sur le canapé. Fixant cette télé, pencher en avant, ses coude posé sur ses genoux. Il ne savait plus quoi faire. Il n'entendait aucun bruit provenant de la chambre. Dormait-elle? Il n'en savait rien. Il aurait aimé aller la voir, la regarder, refaire les mêmes gestes comme avant. La regarder dormir, caresser son visage, ses lèvres, jouer avec ses cheveux. La sentir se blottir dans ses bras. Louhan se mordit la lèvre. Ressentant cette même sensation que plutôt dans la soirée, dans la réserve du bar. Il porta son index à sa joue caressan sa peau humide. Pourtant il ne les fit pas disparaitre, sa tête basculé en avant, fixant ses genoux. Pourquoi ça faisait si mal? Il voulait la voir. L'avoir que pour lui. Mais quelque chose le retenait. Il resta un long moment comme ça, avant de s'allonger sur son canapé, pied nue, en jeans et tee-shirt. Il du s'assoupir un bon moment, dans un demi sommeil. Continuant d'entendre les bruits de la rue, mais ne pouvant réagir. ans un état comateux. Il du rester ainsi quelques heures. Peut-être réouvrit les yeux, la nuit dsparaissait peu à peu à sa fenêtre. Il regarda le plafond, se levant alors péniblement. Retournant dans cette chambre si fondamental pour lui, il regarda la guitare. La frolant avec ses doigts. Etait-ce tous ces secrets qui les avaient éloigné? Etait-ce que Louhan n'avait jamais voulut se confier qui l'avait poussé dans les bras de son frère? Il en savait rien et ça le tuait. De pas savoir se qu'il avait fait. Il regarda des papiers, des lettres sur le bureau en désordre. La pièce pourtant la plus rangée de l'appartement. Il regarda la plus vieille. Serrant les dents. Il retourna dans le salon, ne s'arretant pas vraiment. Pénétrant dans sa chmabre. Elle dormait. Elle était là. Les draps froissé sur elle, elle était là si belle dans son sommeil. Il vint s'assoir sur le lit, se prenant la tête entre ses mains. Il la regardait sa respiration douce, calme par le sommeil. Il avança doucement sa main. Que lui avait-elle fait pour le rendre ainsi? Si démunit face à elle. Il caressa sa joue doucement. Il se releva alors, laissa juste cette lettre près de son visage. Et tourna les arriva dans le salon, ouvrant la fenêtre il l'enjambea allant sur le minuscule balcon. S'en était pas un, mais la place avant la barrière de fer forgée pouvait servit de balcol. Il s'assit dessus, passant ses jambes entre les barres de fer, ses pieds dans le vide. Regardant la ville déjà réveillé il alluma une cigarette. Pourquoi faisait-il cela? Pourquoi donner à Hopeless toutes les piècespour le détruire? Elle avait déjà réussit une fois. Avec peu de chose elle y était parvenu. pourquoi recommencé pour que se soit pire? Mais si il devait le regretter, regretter son geste, si il devait la regretter autant que se soit jusqu'au bout. Et sinon, sinon demain, après-demain ce serrait des jours nouveau. Il était peut-être temps depuis maintenant cinq années. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1615 J'étais bien là. Dans mes pensées il était là, à côté de moi, m'embrassant. En vrai c'était son odeur qui me rendait ainsi, qui me faisait sourire alors que je ne devrais pas. J'étais bien, entre la nuit et le jour, entre la mort et la survit. Entre deux ponts. Je dormais à moitié sans vraiment le vouloir. Je sentais les bras de Louhan autour de moi, ses lèvres sur les miennes. Mon imagination me jouait des tours, mais elle eut les moyens de le faire pour de bons. Un champ. Un champ de tulipes rouges qui reflétaient dans les yeux de Louhan. J'étais en plein rêve, un doux rêve. Il était là, devant moi ses lèvres dessinaient un sourire. Le sourire de l'autre fois, le sourire qu'il avait eu quand sa carapace s'était brisée. Je me voyais, courir en riant de bons coeurs. J'échappais à Louhan qui essayait de me retenir. Un, deux, trois. Il me sauta dessus, m'attrapant les bras. Je lui souris, il me sourit. Nos lèvres se touchèrent et des papillons vinrent autour de nous, nous portant. Nous étions seuls et avions l'air heureux. Oui, ce rêve était magique. Ce rêve était bien loin de notre triste réalité. Je sentais une pression sur ma peau et bougea légèrement. Les pas de celui qui venait de me sortir de mon sommeil s'éloignèrent. Je baillai en silence, étirant mon bras. Il tomba sur une feuille. J'ouvrai les yeux, un peu. Le jour ce levai. Quelle heure était-il ? Aucune idée. Je pris le bout de papiers soigneusement et ouvrais les yeux, peu à peu, pour la lire. Je me demandais pourquoi elle était là, d'ailleurs.. Une larme coula le long de ma joue, je déposais la lettre contre le lit, délicatement. Je compris alors. Tout s'éclaircissait. Sa façon d'être distant, son penchant pour la drogue et ses tatouages, qu'il n'avait jamais voulu m'expliquer. Je comprenais aussi l'importance de sa guitare, que j'avais vu hier ou aujourd'hui dans cette pièce, bizarre. Je comprenais tout, peu à peu et avait mal pour lui. Était-ce vraiment son frère ? Ou une grande marque d'affection ? Dans les deux cas, il avait perdu son meilleur ami et je ne pouvais imaginer sa souffrance. C'était comme ne plus avoir Polly à mes côtés, une chose que je ne voulais pas me levais brusquement, cherchant Louhan. Il n'était plus sur le canapé. Je regardais partout et enfin, je le trouvai. Il était là, sur les barres de fer de l'extérieur, les jambes dans le vide. Je m'approchais de lui, doucement. Je passai mes bras autour de sa taille, posant ma tête contre son dos, fermant les yeux. Merci.. » soufflais-je doucement. Ma voix du matin était horrible. Je serrai un peu plus mon étreinte, sentant son corps collait au mien. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1811 Louhan avait beau avoir passé cinq ans à fuir cette réalité. A ne plus y penser et à la cacher aux autres, il avait finalement été rattrapé. Il aurait pu ne rien lui dire, faire comme avant, lui pardonner. Mais pardonner, comment pouvait-il le faire? Lui qui donnait si peu sa confiance, lui qui savait qu'il ne pouvait que compter sur lui. Hopeless avait bien montrer qu'il avait raison de ne faire confiance à personne. Mais faire confiance à personne c'était la perdre elle. Et quelque chose lui disait qu'il ne le supporterait pas. On lui avait voler Tristan, il n'avait pas eut son mot à dire. C'était injuste mais il n'avait rien pu y faire. Alors que Hop' , Hopeless on lui donnait la possibilité d'être avec elle. On lui donnait toute la cartes en main, alors comment pouvait-il après dire et crier à l'injustice? Non il devrait assumer ses choix, et il savait qu'il ne pourrait pas assumer celui de la perdre. Nan il ne pouvait pas lui pardonner, mais ils pouvaient tous recommencer. Après tous ils étaient tous les deux en regarda sa cendre tomber dans la vide, et plus bas, beaucoup plus bas sur le sol. Il était au dernier étage, si il avait sauter il se serrait tué. Ses yeux dans les vagues il détourna son regards de ces pensées morbides. Regardant le ciel qui devenait plus clair à l'horyzon. Il avait de la chance de sa salle de bain on voyait le couché de soleil de son salon le levé. Il n'avait pas à se plaindre. Mais il n'était jamais en état pour les contempler ni l'un ni l'autre. Il n'en voyait pas l'utilité à vrai dire. Il regardait les toits, les oiseaux qui se réveillaient et déjà en bas les gens qui passaient. Il la sentit alors, il ne l'entendit pas arriver mais la sentit derrièrelui. Il sentit ses mains autour de sa taille, frissonnant légèrement il la sentit dans son dos. Merci... » Il ne dit rien, s'appuyant contre la poitrine de la brune. Il posa sa tête sur l'une de ses épaules, ses yeux continuant de fixer l'immensité de l'horyzon. Il porta la cigarette à ses lèvres expirant ensuite la fumer. Là, assis, sentant la jeune fille dans son dos. Et il savait que plus rien ne serrait facile, mais qu'au moins elle serrait là. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1841 Je n'osais pas bouger. J'étais bien, malgré avoir légèrement froid. Contre lui, son odeur parcourant mes narines, souriant. Je pouvais enfin le toucher, de nouveau le prendre dans mes bras. Il me faisait penser à un enfant auquel on venait de lui retirer son jouet préféré. Sauf que son jouet n'en était pas un mais son meilleur ami et que ça l'avait encore plus endurcit que de perdre un simple jouet. Les morceaux du puzzle se reconstituèrent. Enfin. Enfin il s'était ouvert à moi. Enfin je comprenais pourquoi. Enfin. Cet homme que j'embrassais à ce moment même alors qu'il avait les jambes dans le vide avait beaucoup trop souffert. Au fil des mots, je m'en étais rendue compte. Je voulais partager sa douleur pour lui retirer, un peu. Pour lui retirer cette peine qui devait le déchirer. Je posa mes lèvres contre sa nuque, doucement, desserrant mes bras autour de sa taille. Je reculai, titubant et m'affalai contre le canapé, baillant longuement. J'étais fatiguée, encore. Je posa ma tête contre l'oreiller que Louhan avait prit hier soir et le regarda, toujours. Je n'avais plus peur de le regarder, aussi bizarrement cela soit. Je n'avais plus peur d'oser l'affronter. C'était horrible de se dire que maintenant que je connaissais sa faiblesse, je pouvais lui tenir tête. Je m'en voulais de penser ainsi, comme une salope, mais lui aussi connaissait l'une de mes faiblesses, mon frère. Je fermai les yeux, doucement. Je ne dormais pas, j'avais juste besoin de fermer les yeux, la lumière m'aveuglait. Je repensais à cette lettre. J'avais tellement de question à lui poser. Mais pas maintenant. Pas maintenant qu'il venait de s'ouvrir à moi. Je bailla, encore une fois, c'est court. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1956 Louhan sentit les lèvres de la jeune fille dans son cou. Il la laissa faire. Conscient qu'il lui faudrait du temps pour retrouver cette confiance et oublié peu à peu ce qui s'était passé. Il la laiss afaire puis la sentit se décoller de son dos. Il resta un moment dans la même position face à la ville. Puis il tourna la tête vers l'intérieur de son appartement. Il vit qu'Hopeless avait élu domicile sur son canapé, allongée. Elle avait prit son oreillé et avait les yeux fermé bien qu'elle ne semblait pas totalement endormie. Louhan écrasa sa cigarette. Il se leva restant en équilibre sur le bords de sa fenêtre. Pied nue entre le vide et son appartement. Cela aurait été si simple de sauter du coté de la ville. De s'envoler vers un autre endroit. Il avança son pied et sota. attérisant sur le parquet sans bruit. Il regarda l'heure de la cuisine. neuf heure et demie. C'était déjà le lendemain. Demain était aujourd'hui. Pourtant le jeune homme se sentait aussi crevé que la veille. aussi vide d'énergie. Bien qu'il se doutait que le problème n'était pas que Hopeless mais surtout la nuit qu'il venait de passer. Il observa la jeune femme sur le canapé. S'approchant il l'a prit dans ses bras un demi sourire aux lèvres. Avec souplesse il la issa près de lui et se dirigea vers sa chambre. Oui il était neuf heure mais ce n'était pas pour cela ques'était l'heure de se lever. Loin de là posa la brune sur sopn lit, puis s'allongea à coté d'elle. Ce lit jamais fait, cette chambre jamais rangé, cet appartement qu'Hopeless détestait tant. elle n'avait cessé de lui répéter. Elle détestait venir ici dans ce quartier "mal famé" comme elle disait. Lui il l'aimait son appartement, il aimait son quartier et ses habitudes. Louhan bailla légèrement, se sentant totalement épuisé. Comme si il n'avait pas dormit depuis des jours et des jours. Il regarda la jeune femme, ne sachant plus comment agir avec elle. retrouver les anciens gestes... Il ota son tee-shirt te son jeans. Le soleil se levait alors que lui comptait bien ne pas l'imiter. Se rallongeant sur son lit il attira Hopeless à lui. Déposant un baiser dans sa nuque, sur sa nan j'aime et moi aussi c'est court / InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 2047 J'avais cours aujourd'hui, à dix heures même, mais je n'allais pas y aller, autant que je n'allais pas quitter Louhan maintenant. Dans quatre vingt ans peut-être, mais pas maintenant. Non. Je voulais être avec lui, lui apprendre à vivre sans souffrir. Lui apprendre comment moi-même je vivais. En souriant au bonheur de la vie, tout simplement. Je n'ai jamais dit que c'était facile, au contraire, mais il faut savoir se satisfaire de peu pour construire son avenir. Un avenir avec des risques, des bas et surtout des hauts, parce qu'il fallait se réjouir d'être en vie alors que d'autres sont partis bien trop vite. Comme son meilleur le sentais s'approcher, son odeur le suivait, mais je n'avais pas la force d'ouvrir les yeux. Je sentais ses bras, autour de moi, me soulever. Je souris contre lui. Je m'accrochai à lui, alors que nous traversions son appartement pour aller dans sa chambre, je suppose, puisqu'il me posa sur un meuble mou, j'ouvris les yeux, un peu. Il enlevait son tee-shirt, puis son jean. Je souriais, comme une enfant heureuse. Son corps était bien foutu, n'empêche. Louhan s'allongea à côté de moi, m'attirant vers lui. Ses lèvres se posèrent dans ma nuque, me provocant un tas de frissons puis sur ma clavicule. Je soupirais légèrement, sans m'en rendre compte et souris. Doucement, j'avançais mon visage vers le sien, hésitant. Devais-je l'embrasser ou non ? Allait-il me rejeter ou pas ? Je regardais ses yeux, puis ses lèvres. Puis ses yeux et encore ses lèvres. Nos souffles se mélangeaient, doucement. Son souffle chaud et brutal avec le mien. Je me poussais légèrement pour pouvoir enfin le toucher, glissant ma main contre son torse, remontant doucement vers sa nuque pour finir par caresser sa joue, tendrement. Ça faisait horriblement bien, de se sentir en vie, seulement parce que je venais de l'embrasser. Timidement, comme une enfant. Nos lèves, ensembles. Pour toujours, car je n'allais pas le laisser partir, pas maintenant qu'il s'était ouvert, qu'il m'avait ouvert son cœur. Pas maintenant qu'il était nu, face à moi, moi la fille trop pure, mon son parfait contraire qui l'aimait, beaucoup plus qu'elle ne l'aurait souhaité. C'était fou comme je l'aimais. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 2151 Louhan avait mit sa tête sur pause, son coeur brulant sur off et tous le reste aussi. Pourquoi penser? Il ne savait pas lui même se qu'il voulait , enfin si. Il voulait être avec elle. Mais il ne savait plus quoi penser. Alors pourquoi continuer à essayer de le faire ? Il avait donc décidé de ne plus se poser de question. Et s'est ainsi qu'il conduisit Hopeless dans sa chambre. Elle était à deux doigts de sombrer dans le sommeil. Il la déposa sur le lit, rétirant alors son tee-shirt et son jeans. Seulement en boxer il s'approcha e la jeune fille l'attirant à lui. Il déposa un baiser dans son cou, respirant son parfum avec envie. Il la sentit bouger léèrement et lui sourire. Un sourire qui retournerait n'importe quel mec. Sauf que s'était lui qui était là, dans ce lit. Lui qui pourtant n'avait plus confiance en eux. Mais en voyant ce sourire, si timide ,si incertain. Il comprennait qu'il avait beau ne plus y croire, Hopeless semblait vouloir le faire pour deux si il baissait un jour les bras. Il la vit se rapprocher de visage si proche, leur souffle s'entremélant. Louhan la regardait sans bouger, appuyer sur sa main. Il ne bougeait pas, il la regardait. Ses yeux faisant l'aller-retour entre ses yeux si marron et énivrant, et ses lèvres si attirante. Il la regarda s'approcher, sentant sa main venir caresser son épaule, sa joue. Puis enfin, enfin leur lèvres se touchèrent doucement. Louhan la laissant alors l'embrasser. Alors que doucement, il commença à reprendre surface. Passant alors doucement sa main dans les cheveux de la jeune fille il répondit à son baiser. Comprenant qu'il ne pouvait rien faire de plus pour la repousser. Non il ne pouvait le faire c'était impossible. Pourquoi donc continuer à jouer au c**? Il l'attira un peu plus à lui, profitant de son parfum tandis qu'il savourait finalement ce baiser. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 30 Juin - 2236 Son regard bleu, parfois rouge, parfois vide, parfois étincelant ou provoquant. De toutes les manières que son regard soit, son regard était ma priorité, ma première pensée. Dépendante de lui, autant de ses lèvres que de sa peau collée à la mienne. Autant que lui avec moi. Maintenant tout pouvait se faire, parce que je pouvais enfin imaginer me réveiller dans ses bras le matin et prendre le petit-déjeuner avec lui, comme un couple banal. Je pouvais enfin imaginer lui prendre la main, l'embrasser dans la rue, me serrer contre lui lorsque j'aurais froid et même rester des heures avec lui s'il le fallait dans nos rues de San Fransisco. S'il baissait les bras, s'il déprimait, je pourrais être avec lui et lui dire que tout ira bien, lui redonner espoir et goût à la vie, car désormais ce sera logique. Je pouvais maintenant imaginer être sa petite amie et lui, mon petit copain, car même si nous sommes différents, même si nous venons de deux mondes opposés, je l'aimais plus que je ne l'aurai souhaité, je l'aimais quitte à ne plus jamais parler à mon frère. Nos lèvres étaient scellées, délicatement, comme la première fois qu'on s'était embrassé. Doux et destructeur. La première fois, il avait brisé mon âme pure et désormais, il brisait mon monde, mes pensées. J'étais sous son emprise, totalement envoûtée. Il me colla un peu plus à lui doucement, pendant que nos visages s'écartèrent, laissant nos souffles communiquaient à nouveau. Un sourire vint se dessiner sur mes lèves et je caressai délicatement sa peau, du bout des doigts, parcourant sa bouche, sa mâchoire, descendant. Je caressai son bras, le droit, passant sur ses tatouages, ceux dis dans sa lettre. J'embrassai timidement le nom qui apparaissait sur son bras. Baillant, je revins me caler dans ses bras, dans ses bras qui réchauffaient mon corps de glace. L'embrassant une dernière fois, je fermai les yeux ensuite alors que je sombrais rapidement dans un sommeil lourd et profond, me laissant fondre contre lui. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 30 Juin - 2247 Louhan avait bel et bien comprit qu'aujourd'hui plus rien ne serrait facile. Que pendant un temps tous serrait si difficile, si beau et si chiant. Il le savait, il s'y était engagé. S'engager avec Hopeless s'était tous recommencer, revenir à zéro, arréter le reste, tirer un trait sur le passé. En était-il capable? Le voulait-il vraiment? Il l'ignorait mais maintenant s'était fait. La machine était enclenchée et plus rien ne permettait de faire machine arrière. A présent plus rien ne serrait pareil. Seul le futur pourrait dire si oui ou non cela avait été une bonne continua d'embrasser Hopeless. Jusqu'à ce qu'elle sépare leur lèvre. Qu'ils reprennent leur souffle, qu'il voit ce sourire sur ses lèvres à elle. Il sentit sa main caresser son bras, il posa ses yeux bleu sur les doigts qui frolaient sa peau. voyant les lèvres approcher de son bras. Il ne se recula pas. Il garda quelque temps encore ces yeux posé sur ce prénom. Tristan, où es-tu? Il fut interromput dans ses pensées par un baiser d'Hopeless. Il y répondit puis la sentti se blottir dans ses bras. Elle ferma les yeux. Louhan reposa sa tête sur l'oreillé. La brune à ses cotés ne tardant pas à respirer calmement signe qu'elle dormait. Louhan reposa de nouveau son regard sur son bras. Trista. Le regardait-il? Où était-il? que faisait-il? Etait-il fière de lui? Louhan leva les yeux vers le plafond. Au dela du toit un ciel sans fin, et peut-être quelque part dans l'infinit son meilleur ami, sa vie, celui qui lui avait tout apprit même se qu'était l'amour. Celui qui grâce à lui, aujourd'hui, Louhan était avec Hopeless pour le meilleur ou pour le pire... InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Jeu 1 Juil - 1436 J'ouvrai les yeux, lentement. Depuis combien de temps dormais-je ? Assez pour avoir le cerveau brumeux. Assez pour me sentir molle de la tête aux pieds. Assez pour avoir chaud bien qu'en étant en simple tee-shirt. Je le sentais, contre moi. Sa respiration contre ma nuque. Je souris délicatement. C'était agréable de me réveiller dans ses bras, chauds et protecteurs. Je me tournai doucement, face à lui, sa respiration frappait contre mon nez. Je me collai à lui, un peu plus, glissant ma tête dans le creux de sa nuque. Je l'embrassai délicatement, remontant vers sa mâchoire, touchant ses lèvres. Cela ne le réveilla pas. Une vraie marmotte ce gars. Je l'embrassai à deux nombreuses reprises, attendant qu'il se réveille sous le léger choc de mes baisers sur sa peau. Son bras droit était passé par-dessus mon corps, venant rapprocher nos deux êtres. Je l'embrassai encore une fois et il y répondit doucement. Ses paupières s'ouvrirent, laissant place à son regard bleu endormi. Ma main vint caresser son dos, de manière tendre, comme pour ne pas le brusquer de son réveil. Bien dormi ? » lui soufflais-je doucement contre ses lèvres. Il était adorable quand il se réveillait et avait des airs d'enfants, d'enfants perdus qu'on voudrait aider par tous les moyens. Une nouvelle fois, je collai mes lèvres aux siennes sans me poser de questions, sans réfléchir au pourquoi du comment de nos disputes passées. Il était là, moi aussi. Quoi de plus important ? Ses lèvres étaient enivrantes, horriblement enivrantes. Je fondais dans ses bras, c'est court. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Jeu 1 Juil - 1521 Louhan finit par se laisser gagner par le sommeil. Glissant dans les bras de Morphé sans émettre la moindre résistance. Il se laissa aller dans ce gouffre sombre et réparateur. Loin des interrogations, des problèmes. Loin des disputes, loin de toux. Juste peuplées de créatures bizarres, de situations étranges, de rêves dérangeants mais non réel. Louhan ne sut combien de temps avait-il dormit. Dehors il faisait toujours jour, c'était peut-être déjà l'après-midi. S'étant couché le matin assez tard cela ne serrait pas choquant qu'en effet cela soit l'après-midi. Il fut réveillé, tiré de son sommeil par de doux baisers. Au début glissant entre rêve et réalité il n'arriva pas à discerner qui était quoi. Puis peu à peu il émergea Il sentit les lèvres de Hopeless appuyer légèrement plus fort. Un réveille comme celui-ci on ne pouvait demander mieux. Il répondit dopucement à son baiser, ouvrant peu à peu ses paupières. Le soleil agressant ses pupilles endormies. Il cligna des yeux quelques fois faisant enfin acte de présence dans la réalité. Bien dormi ? » Il la regarda un demi sourire aux lèvres bien que Louhan était pas le genre à sourire comme un con même sous l'effet de l'amour. Il ferma de nouveau els yeux fronçant les sourcil et étouffant un baillement. ouai...j'ai connus pire...et toi? » demanda-t-il au bout d'un moment. Bon Louhan et les conversations du matin s'était pas toujours frais et génial. Les seules conversations assez longues qu'il avait pu avoir avaient était avec Maïween mais cela finissait tuojours en engueulade et départ violent. Louhan caressa le visage de la jeune fille avant de s'éloigner de ses bras. Et essayant de vraiment se réveiller alla dans la salle de bain. Envie du matin, pisser et prendre un médicament. Il aperçut son reflet dans le miroir et soupira en se passant de l'eau dessus. Puis il sortit de la salle e bain, chopant son briquet au passage il voulut prendre une cigarette lorsque son regard se posa sur un joing, il fut surprit qu'il soit d&éjà près. Il le prit et l'alluma; revenant dans la chambre avec Hopeless. Il avait au passage prit un bol de céréals pour Hopeless et lui apporta. Le glissa sur la couverture il s'allongea à ses cotés. Sur le dos faisant volé la fumer vers le aussi désolé xD InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 7 Juil - 1631 Même comme il dormait, Louhan était beau. Mais ce qui était encore plus beau chez lui, c'est que sans le savoir il avait un visage d'ange. Certes, il était carré, dur. Mais non, moi je le voyais comme doux et simple. Un visage dont je ne pouvais plus me passer. Sous la pression de mes baisers, il émergea. Enfin. Je l'accueilli dans le monde des réveillées, un grand sourire aux lèvres, l'embrassant une dernière fois. Même quand il avait la tête dans le brouillard, Louhan était terriblement sexy.. Comment faisait-il ? Ouais.. J'ai connus pire.. Et toi ? » Je lui souris, doucement, caressant délicatement son torse. Je ne peux que bien dormir dans tes bras. » Ces paroles étaient terriblement franches et je rougis, une énième fois face à lui. Si être naturel me rendait dans un tel état, je n'étais pas sortie de l'auberge expression pourrie, certes. Ses mains caressèrent mon visage, avant qu'il ne quitte mon étreinte d'enfant et il sortit de la chambre. Prenant une inspiration, son odeur entrait dans mes narines, une nouvelle fois bien qu'elle ne soit pas revint, un joint à la bouche. Ça ne sentait pas pareil que d'habitude. Il glissa un bol de céréales sur le lit que je pris, me relevant. Ce gars savait tout de moi, comme le fait que j'étais une grosse-bouffe surtout le matin. Lui, allongé en train de fumer. Je finis mon bol avant qu'il ne finisse son joint, ce qui me surpris. J'allais finir grosse, si ça continuait. Je posai le bol par terre, attendant sagement qu'il ne fisse de fumer, le regardant en souriant bêtement. Comme une enfant. Je me mis sur lui lorsqu'il finit son joint, l'embrassant à pleine bouche. Non, tu n'as pas le droit de me repousser, tu as seulement le droit de rester immobile et de répondre à mes baisers. » J'avais toujours peur qu'il ne me rejette, l'embrassant à nouveau, goûtant à ses lèvres, son haleine au goût bizarre. Je grimaçai. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Ven 9 Juil - 1318 Je ne peux que bien dormir dans tes bras. » Louhan avait juste sourit. Que dire de plus à ceci? Rien, il n'y avait rien à dire. Aucune réfléxion piquante dont il était maître, aucune méchanceté. Non juste un plaisir amusé de voir que la fille qu'il aimait, la fille qui avait tant gagner en lui, prenait tous simplement du plaisir à être avec lui. rien que sa présence la comblait, que dire que souhaiter de plus? Il la vit rougir, et s'échappa dans la salle de bain pour ne pas non plus tomber dans le truc cliché des matins en amoureux. Il avait beau avoir fait des efforts. Depuis les dernières heures avoir franchit un cap énorme. Il ne pouvait pas pour autant changer d'un coup et axepter tous. Nan il y avait des choses qui encore resterait. La drogue, son coté "je m'en fou", les soirées, l'alcool, sa vie. Oui il ne pouvait pas y rénoncé, c'était ça qui lui avait permit de tenir durant toutes ces années. Donc il ne pouvait pas se stoper d'un coup. Il l'aimait oui. Comme un fou, comme un soldat, comme une star de cinéma et passons... Non il savait qu'il l'aimait, pas que pour son corps, par que pour son coté revèche et tétue, ni son coté borné et collante. Non il l'aimait car elle était Hopeless tous simplement car elle formait un tout et car malgré tous, malgré ce qu'il avait apprit la veille. Elle était bien plus pure et angélique que lui et n'importe quel acte commit par elle ne changerait cette certitude. Il en était bel et bien amoureux de cette fille s'était installé sur le lit, fumer son joing. Décompressant lentement, de toute cette pression accumulé depuios la veille. Il avait envie de partir aux Caraïbes. Il était entrain de se demander combien sa devait couter et si il devrait prendre juste des jeans et maillots de bain, ou alors pull en laine. Oui en effet Louhan était vraiment pas le mec ordinaire à s'épiloguer sur une fille, sur l'amour et la dichotomie de la haine à l'amour. Non il était déjà loin et s'était sa manière de ne pas se laisser sumrger par tous ces sentimentssi nouveaux, si terrifiant mais si bon au fond. Il termina son joing, l'écrasa dans le cendrier posé sur le matela à ses cotés. Il ferma une seconde les yeux puis le réouvrit sentant un poid plume sur lui. Il sourit amusé réouvrant ses paupières. Sentant les lèvres de Hop' venir s'emparer des sienne. Il se laissa faire par les maisn et les lèvres de la jeune femme. De sa copine. Non, tu n'as pas le droit de me repousser, tu as seulement le droit de rester immobile et de répondre à mes baisers. » Il rit, il s'ésclafa en la regardant qui lui tenait les bras. Il sourit à ceci et répondit néanmoins à ses baisers. Tu te figures que tu es en position de m'ordonner quelque chose? Avec cette froce de moineau? » répondit-ilm au bout d'un moment. Il enroula ses jambes autour des fines hanches de la jeune fille. Puis d'un coup de bassin il la souleva et la fit tourner. Se retrouvant sur elle, la tenantpar les poignets. Un sourire machiavélique aux lèvres. C'est pas bon de jouer avec le feu...» Il sourit venant l'embrasser dans le cou, mordillant doucement sa peau tiède et si enivrante. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Ven 9 Juil - 1836 Mon professeur de Littérature allait me tuer demain et surement me demander pourquoi je ne lui avais pas fait l'honneur de ma présence. Je pourrai lui dire la vérité. Lui dire que j'étais avec mon copain » - rien que le fait de le prononcer mentalement me fit frissonner - car la veille, je me suis endormie chez lui, beaucoup trop fatiguée pour rentrer chez moi. Et pourquoi j'avais été fatigué ? Parce que j'avais passé ma soirée à lui courir après, pour lui expliquer ma relation étrange avec mon frère. Oui, j'aurais pu le dire, mais non, je n'allais pas le faire. Je lui dirai seulement que et bien, je n'avais pas entendu mon réveil sonner ce qui n'était pas faux d'un sens, car je ne l'avais même pas mis. Il tira sur son joint, une nouvelle fois, pendant que les céréales craquaient sous mes dents. J'avais tout le temps faim, j'étais un estomac ambulant, bon à manger tout ce que je pouvais trouver. Même manger Louhan me paraissait possible. Je déposai mon bol, attendis qu'il finisse de fumer et lui grimpa dessus délicatement. Je ne comptais pas non plus l'écraser. Mes lèvres se scotchant aux siennes une énième fois. Louhan Canteberry, tu es ma drogue. L'attrapant par les mains, je lui souris. Tu te figures que tu es en position de m'ordonner quelque chose ? Avec cette force de moineau? » En un rien de temps, il se retrouva sur moi, m'attrapant les poignets en souriant. C'est bien connu que les femmes te sont soumises, n'est-ce pas ? Et merci pour la comparaison, j'aime être un moineau. » Boudant, je ne pus dire non lorsqu'il déposa ses lèvres dans mon cou. C'est pas bon de jouer avec le feu...» Je me mordis alors la lèvre inférieure. Et c'est toi qui dit ça ? » soupirais-je, étouffant un rire. Je le laissai m'embrasser, me mordre, me lécher, me manger, dans ses bras, je me laissais complètement aller. Je glissai mes jambes derrières les siennes, nos lèvres se caressèrent, nos langues se cherchèrent pour enfin se trouver. J'adorai être dans les bras de ce garçon aux yeux bleus. J'adorai être dans les bras de mon copain. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 14 Juil - 1827 Louhan ne fichait jamais grand chose de ses ournées. Il lisait, il se baladait ou décuvait tranquillement. Il n'avait rien d'autre à faire que se qu'il voulait donc ne risquait pas de devoir rendre des comptes à qui que ce soit. Bien qu'il avait peut-être des potes à aller voir. Mais la présence de Hopeless lui faisait oublier toute vie réelle. Il ne pouvait pas lui en vouloir, il se doutait bien qu'elle n'avait pas l'intention de lui faire oublier le reprit le dessus lorsqu'il la vit se pencher sur lui pour le bloquer. Il en rit et en quelque secondes se retrouva sur elle. C'est bien connu que les femmes te sont soumises, n'est-ce pas ? Et merci pour la comparaison, j'aime être un moineau. » Louhan explosa de rire, ne pouvant se contrôler. Puis la voyant bouder il commença à déposer de doux baisers dans son cou. Bloquant toujours ses maisn avec les siennes. Ce n'est quand même pas ma faute si mon charme légendaire vous soumet toutes, si?.. Toi tu es encore mieux tu es hyper sexy comme moineau... » souffla-t-il sachant très bien qu'il était pas très franc ses sentiments le rendant moins objectif. Non même sans être dingue de Hope' on ne pouvait que la trouver sexy. Il l'embrassa de nouveau. Sa langue venant courir sur sa peau si délicieuse. Il l'entendit rétorquer. Et c'est toi qui dit ça ? » Il revint à ses lèvres plongeant ses yeux bleu sérieux dans le regard de la jeune femme. Il bloqua ses deux mains avec l'aide d'une seule des siennes. De l'autre il remit une mèches de cheveux brun à sa copine. Je préfère que ce soit moi alors qui y joue alors... » dit-il. Puis il sourit de nouveau chassant ce petit air sérieux de ses yeux. Il la sentit enrouler ses jambes autour des siennes; il se mordilla la lèvre envieux. Ses lèvres plongeant à la recherche de celles d'Hope'; leur langues se trouvant rapidement. Tandis qu'habitué, sa main libre venait caresser la peau de la jeune fille sous son désolé Contenu sponsoriséSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi le doux souvenir amer de toi et moi Page 1 sur 2Aller à la page 1, 2 Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum COMMENCEMENT. Corbeille
Etl’évangile nous éclaire sur la mise en pratique de ce commandement nouveau, en nous rappelant ce que nous avons fait ou oublié de faire : « J’avais faim, vous m’avez donné à manger, j’avais soif, vous m’avez donné à boire, etc » Le calcul est simple.
J`avais faim, et vous m`avez donné à manger Chemin de croix, message du Pape François J’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi. » Mt 25, 35-36. Ces paroles de Jésus répondent à l’interrogation qui résonne souvent dans notre esprit et dans notre cœur Où est Dieu ? ». Où est Dieu, si dans le monde il y a le mal, s’il y a des hommes qui ont faim, qui ont soif, sans toit, des déplacés, des réfugiés ? Où est Dieu, lorsque des personnes innocentes meurent à cause de la violence, du terrorisme, des guerres ? Où est Dieu, lorsque des maladies impitoyables rompent des liens de vie et d’affection ? Ou bien lorsque les enfants sont exploités, humiliés, et qu’eux aussi souffrent à cause de graves pathologies ? Où est Dieu, face à l’inquiétude de ceux qui doutent et de ceux qui sont affligés dans l’âme ? Il existe des interrogations auxquelles il n’y a pas de réponses humaines. Nous ne pouvons que regarder Jésus, et l’interroger lui. Et voici la réponse de Jésus Dieu est en eux’’, Jésus est en eux, il souffre en eux, profondément identifié à chacun. Il est si uni à eux, presqu’au point de former un seul corps’’. Jésus a choisi lui-même de s’identifier à ces frères et sœurs éprouvés par la douleur et par les angoisses, en acceptant de parcourir le chemin douloureux vers le calvaire. Lui, en mourant sur la croix, se remet entre les mains du Père et porte sur lui et en lui, avec un amour qui se donne, les plaies physiques, morales et spirituelles de l’humanité entière. En embrassant le bois de la croix, Jésus embrasse la nudité et la faim, la soif et la solitude, la douleur et la mort des hommes et des femmes de tous les temps. Ce soir, Jésus, et nous avec lui, embrasse avec un amour spécial nos frères syriens, qui ont fui la guerre. Nous les saluons et nous les accueillons avec une affection fraternelle et avec sympathie. En parcourant de nouveau la Via Crucis de Jésus, nous avons redécouvert l’importance de nous configurer à lui, à travers les 14 œuvres de miséricorde. Elles nous aident à nous ouvrir à la miséricorde de Dieu, à demander la grâce de comprendre que sans miséricorde on ne peut rien faire, sans miséricorde, moi, toi, nous tous, nous ne pouvons rien faire. Regardons d’abord les sept œuvres de miséricorde corporelle donner à manger à ceux qui ont faim ; donner à boire à ceux qui ont soif ; vêtir celui qui est nu ; offrir l’hospitalité aux pèlerins, visiter les malades ; visiter les détenus ; ensevelir les morts. Nous avons reçu gratuitement, donnons gratuitement. Nous sommes appelés à servir Jésus crucifié dans chaque personne marginalisée, à toucher sa chair bénie dans celui qui est exclu, qui a faim, qui a soif, qui est nu, détenu, malade, sans travail, persécuté, déplacé, migrant. Nous trouvons là notre Dieu, nous touchons là le Seigneur. Jésus lui-même nous l’a dit, en expliquant quel sera le protocole’’ sur la base duquel nous serons jugés chaque fois que nous aurons fait cela au plus petit de nos frères, c’est à lui que nous l’aurons fait cf. Mt 25, 31-46. Les œuvres de miséricorde corporelle sont suivies des œuvres de miséricorde spirituelle conseiller ceux qui sont dans le doute, instruire les ignorants, exhorter les pécheurs, consoler les affliger, pardonner les offenses, supporter avec patience les personnes ennuyeuses, prier Dieu pour les vivants et pour les morts. Dans l’accueil du marginalisé qui est blessé dans son corps, dans l’accueil du pécheur qui est blessé dans son âme, se joue notre crédibilité en tant que chrétiens. Et ce n’est pas la crédibilité au niveau de l’idée. Aujourd’hui, l’humanité a besoin d’hommes et de femmes, et de manière particulière de jeunes comme vous, qui ne veulent pas vivre leur vie à moitié’’, des jeunes prêts à consacrer leur vie au service gratuit des frères les plus pauvres et les plus faibles, à imitation du Christ, qui s’est donné tout entier pour notre salut. Face au mal, à la souffrance, au péché, l’unique réponse possible pour ledisciple de Jésus est le don de soi, y compris de la vie, à imitation du Christ ; c’est l’attitude du service. Si quelqu’un, qui se dit chrétien, ne vit pas pour servir, sa vie ne vaut pas la peine d’être vécue. Par sa vie, il renie Jésus Christ. Ce soir, chers jeunes, le Seigneur vous renouvelle l’invitation à devenir des protagonistes dans le service ; il veut faire de vous une réponse concrète aux besoins et à la souffrance de l’humanité ; il veut que vous soyez un signe de son amour miséricordieux pour notre temps ! Pour accomplir cette mission, il vous indique le chemin de l’engagement personnel et du sacrifice de vous-mêmes c’est le Chemin de la croix. Le Chemin de la croix est celui du bonheur de suivre le Christ jusqu’au bout, dans les circonstances souvent dramatiques de la vie quotidienne ; c’est le chemin qui ne craint pas les échecs, les marginalisations ou la solitude, parce qu’il remplit le cœur de l’homme de la plénitude de Jésus. Le Chemin de la croix est celui de la vie et du style de Dieu, que Jésus fait parcourir y compris par des sentiers d’une société parfois divisée, injuste et corrompue. Le Chemin de la croix n’est pas un acte de sadomasochisme, il est l’unique qui vainc le péché, le mal et la mort, parce qu’il débouche sur la lumière radieuse de la résurrection du Christ, en ouvrant les horizons de la vie nouvelle et pleine. C’est le Chemin de l’espérance et de l’avenir. Celui qui le parcourt avec générosité et avec foi, donne espérance et avenir à l’humanité. Il sème l’espoir. Je voudrais que vous soyez semeurs d’espoir. Chers jeunes, ce Vendredi Saint là, beaucoup de disciples sont retournés tristes dans leurs maisons, d’autres ont préféré aller à la maison de campagne pour oublier la croix. Je vous pose la question. Répondez en silence dans votre cœur. Comment voulez-vous retourner ce soir dans vos maisons, dans vos lieux d’hébergement ? comment voulez-vous retourner ce soir pour vous rencontrer avec vous-mêmes ? Le monde nous regarde. Il revient à chacun de vous de répondre au défi de cette question.Ledocumentaire vainqueur « I was hungry, you gave me to eat » (J’avais faim et vous m’avez donné à manger) raconte la poignante histoire des personnes frappées par la sécheresse à Korr, Kenya, et a, comme protagoniste, une fille avec des problèmes mentaux. En racontant l’histoire et la genèse du documentaire, le metteur en scène, le salésien indien P. Jiji Kalavanal, a dit
Louis Segond LSG Version Previous Next 35 Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli; 36 j'étais nu, et vous m'avez vêtu; j'étais malade, et vous m'avez visité; j'étais en prison, et vous êtes venus vers moi. 37 Les justes lui répondront Seigneur, quand t'avons-nous vu avoir faim, et t'avons-nous donné à manger; ou avoir soif, et t'avons-nous donné à boire? 38 Quand t'avons-nous vu étranger, et t'avons-nous recueilli; ou nu, et t'avons-nous vêtu? 39 Quand t'avons-nous vu malade, ou en prison, et sommes-nous allés vers toi? 40 Et le roi leur répondra Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous les avez faites. Read full chapter dropdown
Dansla Bible, chacun est invité à accueillir l’étranger, la veuve et l’orphelin. Les repas et les grands festins sont nombreux et sont signes d’hospitalité. L’Évangile de Matthieu nous montre l’importance de prendre soin des plus faibles. Jésus dit : « En effet, j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif 01 Alors, le royaume des Cieux sera comparable à dix jeunes filles invitées à des noces, qui prirent leur lampe pour sortir à la rencontre de l’époux. 02 Cinq d’entre elles étaient insouciantes, et cinq étaient prévoyantes 03 les insouciantes avaient pris leur lampe sans emporter d’huile, 04 tandis que les prévoyantes avaient pris, avec leurs lampes, des flacons d’huile. 05 Comme l’époux tardait, elles s’assoupirent toutes et s’endormirent. 06 Au milieu de la nuit, il y eut un cri “Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre.” 07 Alors toutes ces jeunes filles se réveillèrent et se mirent à préparer leur lampe. 08 Les insouciantes demandèrent aux prévoyantes “Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s’éteignent.” 09 Les prévoyantes leur répondirent “Jamais cela ne suffira pour nous et pour vous, allez plutôt chez les marchands vous en acheter.” 10 Pendant qu’elles allaient en acheter, l’époux arriva. Celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée. 11 Plus tard, les autres jeunes filles arrivèrent à leur tour et dirent “Seigneur, Seigneur, ouvre-nous !” 12 Il leur répondit “Amen, je vous le dis je ne vous connais pas.” 13 Veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l’heure. 14 C’est comme un homme qui partait en voyage il appela ses serviteurs et leur confia ses biens. 15 À l’un il remit une somme de cinq talents, à un autre deux talents, au troisième un seul talent, à chacun selon ses capacités. Puis il partit. Aussitôt, 16 celui qui avait reçu les cinq talents s’en alla pour les faire valoir et en gagna cinq autres. 17 De même, celui qui avait reçu deux talents en gagna deux autres. 18 Mais celui qui n’en avait reçu qu’un alla creuser la terre et cacha l’argent de son maître. 19 Longtemps après, le maître de ces serviteurs revint et il leur demanda des comptes. 20 Celui qui avait reçu cinq talents s’approcha, présenta cinq autres talents et dit “Seigneur, tu m’as confié cinq talents ; voilà, j’en ai gagné cinq autres.” 21 Son maître lui déclara “Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.” 22 Celui qui avait reçu deux talents s’approcha aussi et dit “Seigneur, tu m’as confié deux talents ; voilà, j’en ai gagné deux autres.” 23 Son maître lui déclara “Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.” 24 Celui qui avait reçu un seul talent s’approcha aussi et dit “Seigneur, je savais que tu es un homme dur tu moissonnes là où tu n’as pas semé, tu ramasses là où tu n’as pas répandu le grain. 25 J’ai eu peur, et je suis allé cacher ton talent dans la terre. Le voici. Tu as ce qui t’appartient.” 26 Son maître lui répliqua “Serviteur mauvais et paresseux, tu savais que je moissonne là où je n’ai pas semé, que je ramasse le grain là où je ne l’ai pas répandu. 27 Alors, il fallait placer mon argent à la banque ; et, à mon retour, je l’aurais retrouvé avec les intérêts. 28 Enlevez-lui donc son talent et donnez-le à celui qui en a dix. 29 À celui qui a, on donnera encore, et il sera dans l’abondance ; mais celui qui n’a rien se verra enlever même ce qu’il a. 30 Quant à ce serviteur bon à rien, jetez-le dans les ténèbres extérieures ; là, il y aura des pleurs et des grincements de dents !” 31 Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire. 32 Toutes les nations seront rassemblées devant lui ; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des boucs 33 il placera les brebis à sa droite, et les boucs à gauche. 34 Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite “Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde. 35 Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; 36 j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !” 37 Alors les justes lui répondront “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu… ? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ? 38 tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ? 39 tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?” 40 Et le Roi leur répondra “Amen, je vous le dis chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.” 41 Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche “Allez-vous-en loin de moi, vous les maudits, dans le feu éternel préparé pour le diable et ses anges. 42 Car j’avais faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ; j’avais soif, et vous ne m’avez pas donné à boire ; 43 j’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli ; j’étais nu, et vous ne m’avez pas habillé ; j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité.” 44 Alors ils répondront, eux aussi “Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, avoir soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ?” 45 Il leur répondra “Amen, je vous le dis chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait.” 46 Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle. »
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ANS – Panama City – La maison de production audio-visuelle Don Bosco IMAGE » avec siège à Kochi, Inde, a gagné le Prix du meilleur film dans la catégorie Esprit Missionnaire » au Goodness Reigns Film Festival » Festival La Bonté Règne’, un concours qui a eu lieu à Panama, dans le cadre des Journées Mondiales de la Jeunesse 2019, et qui a voulu promouvoir la création de produits artistiques et de communication avec un regard de foi. Le documentaire vainqueur I was hungry, you gave me to eat » J’avais faim et vous m’avez donné à manger raconte la poignante histoire des personnes frappées par la sécheresse à Korr, Kenya, et a, comme protagoniste, une fille avec des problèmes mentaux. En racontant l’histoire et la genèse du documentaire, le metteur en scène, le salésien indien P. Jiji Kalavanal, a dit Je suis allé à Korr, au Kenya, l’an dernier, pour réaliser un documentaire sur la sécheresse qui a frappé cette région désertique. Korr est une station missionnaire dans la Province de l’Afrique Est, dans un désert désolé, sur la route vers Marsabit. Quand j’y suis arrivé, c’étaient deux ans qu’il ne pleuvait, à Korr, et les gens et les animaux n’avaient rien à manger ni boire. Un jour nous sommes allés pour distribuer de la nourriture dans un village éloigné. Alors que nous étions en cours de la distribution, une fille, mal habillée et qui avait deux enfants avec elle, attira mon attention. C’était une fille avec des problèmes mentaux. Cette scène m’a ému, j’avais les larmes aux yeux pendant que je la filmais. Au soir, au cours des opérations de routine pour sauver les reprises sur un disque rigide et pour revoir ce que j’avais tourné dans la journée… J’ai revu ces images, agrandies, qui ont, de nouveaux frappé mes yeux… Ses lèvres sèches, les sédiments de saleté et le regard pénétrant dans ses yeux… Je me suis vu obligé à raconter son histoire. J’avais été invité à faire une vidéo générique sur la situation de la mission à Korr, mais maintenant je n’avais plus l’intention de tourner un documentaire semblable. Grâce à la collaboration du P. Thomas Anchukandam, SDB, nous avons corrigé et fait des petits changements dans le scénario, mais qui font une grande différence. Le résultat est la vidéo J’avais faim et vous m’avez donné à manger’ ». Le documentaire est en réseau, à l’adresse
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Matthieu25 41 Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche: Retirez-vous de moi, maudits; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges. 42 Car j'ai eu faim, et vous ne m'avez pas donné à manger; j'ai eu soif, et vous ne m'avez pas donné à boire; 43 j'étais étranger, et vous ne m'avez pas recueilli; j'étais nu, et vous ne m'avez pas vêtu; j
7 juin 2016 2 07 /06 /juin /2016 1319 J’avais faim et vous m’avez donné à manger »… De quelle faim ? de présence, de parole partagée, de ses,de nourriture terrestre comme spirituelle ! L’homme ne se nourrit pas seulement de pain mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu Mt 4,4 Pauvreté rurale un état des lieux La pauvreté dans les campagnes revêt différents aspects. Certes, le manque de nourriture est rare chez les agriculteurs, mais certaines familles ayant beaucoup travaillé se retrouvent, à cause de la crise de l'élevage notamment, dans l’impossibilité d'offrir à leurs enfants les études qu'ils aimeraient faire, ou de renouveler une voiture arrivée depuis longtemps à bout de souffle. Chez ces personnes on trouve souvent un état de découragement et de révolte important Tant travailler et ne plus arriver a assumer l'essentiel ! ›› Les agriculteurs retraités ont vécu la modernisation de l’agriculture sans pour autant en bénéficier. Pour ceux encore en activité, le suicide reste malheureusement trop souvent la seule issue envisagée. Il existe une autre forme de pauvreté, nouvelle celle-ci des couples avec des enfants jeunes, louent souvent de vieilles maisons en campagne. Ils occupent en général un emploi précaire qui leur permettrait de vivre décemment si seulement ils étaient inventifs et bons gestionnaires. Les bonnes pratiques traditionnelles Cultiver un potager, stocker à temps du bois de chauffage, hiérarchiser les dépenses, maîtriser la consommation d'alcool et de tabac... ›› ne sont pas forcément suivies. Résultat précarité, déprime morale, recherche de copains qui leur ressemblent au bar, incapacité de payer les frais essentiels électricité, garage, cantine scolaire... ! La descente sociale s'accélère. Des situations très différentes donc, avec des besoins d'écoute, d'attentions, et d”aides très différents aussi. Nos missions sur le terrain s'adaptent à ces situations et nous tentons, dans le respect des personnes, d'apporter des solutions matérielles, humaines et spirituelles. René et Marie Andrée Stuyk, diacre en mission auprès des agriculteurs et son épouse René Borie, diacre en mission auprès des travailleurs saisonniers Fernand Sanchez, diacre responsable du service d”écoute Published by St Robert des Rives du Lot - dans actualité - débat
javais faim, et vous m’avez donné à mange ; j’avais soif, et vous m’avez donné à oie ; j’étais un étange, et vous m’avez a ueilli ; j’étais nu, et vous m’avez haillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en pison, et vous êtes venus jusu’à moi ! Note éflexe en entendant e texte, d’haitude, ’est de nous mette dans la peau de l’aidant : l ANS – Panama City – La maison de production audio-visuelle Don Bosco IMAGE » avec siège à Kochi, Inde, a gagné le Prix du meilleur film dans la catégorie Esprit Missionnaire » au Goodness Reigns Film Festival » Festival La Bonté Règne’, un concours qui a eu lieu à Panama, dans le cadre des Journées Mondiales de la Jeunesse 2019, et qui a voulu promouvoir la création de produits artistiques et de communication avec un regard de foi. Le documentaire vainqueur I was hungry, you gave me to eat » J’avais faim et vous m’avez donné à manger raconte la poignante histoire des personnes frappées par la sécheresse à Korr, Kenya, et a, comme protagoniste, une fille avec des problèmes mentaux. En racontant l’histoire et la genèse du documentaire, le metteur en scène, le salésien indien P. Jiji Kalavanal, a dit Je suis allé à Korr, au Kenya, l’an dernier, pour réaliser un documentaire sur la sécheresse qui a frappé cette région désertique. Korr est une station missionnaire dans la Province de l’Afrique Est, dans un désert désolé, sur la route vers Marsabit. Quand j’y suis arrivé, c’étaient deux ans qu’il ne pleuvait, à Korr, et les gens et les animaux n’avaient rien à manger ni boire. Un jour nous sommes allés pour distribuer de la nourriture dans un village éloigné. Alors que nous étions en cours de la distribution, une fille, mal habillée et qui avait deux enfants avec elle, attira mon attention. C’était une fille avec des problèmes mentaux. Cette scène m’a ému, j’avais les larmes aux yeux pendant que je la filmais. Au soir, au cours des opérations de routine pour sauver les reprises sur un disque rigide et pour revoir ce que j’avais tourné dans la journée… J’ai revu ces images, agrandies, qui ont, de nouveaux frappé mes yeux… Ses lèvres sèches, les sédiments de saleté et le regard pénétrant dans ses yeux… Je me suis vu obligé à raconter son histoire. J’avais été invité à faire une vidéo générique sur la situation de la mission à Korr, mais maintenant je n’avai
J’avais faim et tu m’as donné à manger. » (Mt 25, 35) Œuvres de miséricorde corporelle ; Au désert quand le peuple a faim, Dieu lui envoie la manne. Il montre qu’il est un Dieu proche de son peuple. Quand elle distribue des repas, Sœur Marie-Jo fait l’expérience de cette proximité de Dieu pour les hommes : « ça nous a rendus proches des gens » témoigne-t-elle. L
24 novembre 2019 Méditer la Parole 5. Car j avais FAIM, et vous m avez donné à MANGER… Jésus parlait à ses disciples de sa venue Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire. Toutes les nations seront rassemblées devant lui ; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des chèvres il placera les brebis à sa droite et les chèvres à sa gauche. Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le royaume préparé pour vous depuis la création du monde. Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade et vous m’avez visité ; j’étais en prison et vous êtes venus jusqu’à moi !» Alors les justes lui répondront Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu… ? Tu avais donc faim et nous t’avons nourri ? Tu avais soif et nous t’avons donné à boire ? Tu étais un étranger et nous t’avons accueilli ? Tu étais nu et nous t’avons habillé ? Tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi Et le Roi leur répondra Vraiment je vous le dis, chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.» Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le feu éternel préparé pour le démon et ses anges. Car j’avais faim et vous ne m’avez pas donné à manger; j’avais soif et vous ne m’avez pas donné à boire , j’étais un étranger et vous ne m’avez pas accueilli ; j’étais nu et vous ne m’avez pas habillé ; j’étais malade ou en prison, et vous ne m’avez pas visité.» Alors, ils répondront, eux aussi Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu avoir faim et soif, nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ?» Il leur répondra Vraiment, je vous le dis, chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces petits, à moi non plus vous ne l’avez pas fait.» Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle.» Beaucoup d’entre nous, nous sommes habitués, à la fin de chaque année fiscale de faire le bilan financier des douze derniers mois. En ce dernier dimanche de l’année liturgique, l’évangile d’aujourd’hui nous propose de faire le bilan de notre vie chrétienne, de l’année qui se termine. Ce bilan se fait à partir de ce que le Seigneur appelle “son commandement nouveau” Tous sauront que vous êtes mes disciples si vous vous aimez les uns les autres». Et l’évangile nous éclaire sur la mise en pratique de ce commandement nouveau, en nous rappelant ce que nous avons fait ou oublié de faire J’avais faim, vous m’avez donné à manger, j’avais soif, vous m’avez donné à boire, etc » Le calcul est simple. On croyait que le jugement porterait sur des actions d’éclats, des faits d’héroïsme, une moralité impeccable… que l’on y jugerait les péchés les plus graves, les actions les plus mauvaises ! Eh bien non ! En fait, il s’agit de gestes de tous les jours, de gestes que font les parents pour leurs enfants, les gens ordinaires pour leurs voisins, des gestes de solidarité, de gentillesse, d’accueil, de sollicitude… des gestes qui peuvent être faits par tous et chacun et qu’une foule de gens font effectivement, sans pour autant le crier sur les toits… On pourrait aussi penser que ces gestes dont parle Jésus, devraient être fait au nom de Dieu, comme des gestes religieux, des offrandes, des sacrifices… Mais non, ni les gens du premier groupe, ni ceux du second n’ont reconnu le Seigneur dans ces gestes simples. Aucune des actions mentionnées par le Seigneur ne semble être de nature strictement religieuse. Jésus nous rappelle aujourd’hui, que nous serons jugés sur l’amour et exclusivement sur l’amour. Il s’agit d’un amour très simple donner à manger, à boire, accueillir, habiller, visiter, soigner, encourager, relever, soutenir… Ainsi, nos plus humbles gestes d’amour ont une valeur infinie, une valeur d’éternité. La liste citée par Jésus n’est d’ailleurs ni limitative, ni exhaustive. Ce sont des exemples que nous pouvons prolonger dans notre vie mon enfant pleurait la nuit, et je me suis levée pour le consoler et le soigner. Ma vieille maman ne pouvait plus bouger, et je l’ai aidée à sortir de son lit pour s’asseoir dans son fauteuil. Nos voisins avaient besoin d’amitié, et nous les avons entourés. Dans la paroisse, on cherchait des bénévoles et j’ai retroussé mes manches pour donner un coup de main. Mon collègue de travail avaient besoin d’être défendu et j’ai osé m’opposer à ceux qui le calomniaient. Un appel a été lancé pour parrainer un enfant en grande difficulté et j’ai apporté ma petite contribution… Mon conjoint, mes enfants, mes amis, mon colocataire, mon employé… je vous laisse terminer la liste ! Jean Chrysostome fait remarquer avec beaucoup de finesse que le Seigneur ne demande ici, que des gestes bien modestes. Il n’est pas dit, non plus, que celui qui a faim est rassasié, que celui qui est malade est guéri, que celui qui est en prison est libéré. Ce qui compte, c’est de faire quelque chose, si petite soit l’action accomplie. C’est alors que, lors de ce rendez-vous ultime avec le Christ, Dieu n’aura même pas à nous juger» puisque nous nous serons jugés nous-mêmes tout au long de notre vie. En fait, Dieu n’aura qu’à dévoiler ce qui était caché» dans chacune de nos journées. Ce jour-là, le Seigneur nous aidera simplement à vérifier, par nous-même, si nous avons été réellement humains envers les autres humains. En fait, l’examen ne produira pas de grandes surprises. Nous pouvons connaître les résultats à l’avance car nous savons quelle est la matière à examen. Le professeur nous a donné les questions, tout en nous indiquant en même temps les bonnes réponses. Et contrairement à ce qui se passe lors de nos examens à nous, les plus intelligents et les plus studieux n’auront pas des avantages spécifiques. Tous peuvent réussir cet examen final, sans distinction de race, de religion, de quotient intellectuel. Le Christ ne nous demandera pas si nous sommes diplômés d’une université prestigieuse, si nous avons réussi une brillante carrière, si nous avons gagné beaucoup d’argent, si notre carte de visite est bien fournie… Le tableau du jugement dernier n’a pas pour but de nous remplir de peur en mettant l’accent sur une condamnation à venir, mais c’est une invitation à nous préoccuper du moment présent. C’est maintenant que commence l’éternité, c’est maintenant que nous pouvons donner à manger à ceux qui ont faim, c’est maintenant que nous pouvons visiter ceux et celles qui vivent dans la solitude, aider nos voisins qui ont besoin d’assistance, consoler ceux qui sont dans le deuil… C’est maintenant que nous pouvons assurer notre amitié avec Dieu. Chaque fois que vous le faites à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous le faites !